S1m0ne (Edition Prestige) [Édition Prestige] [Édition Prestige]
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S1m0ne [Ãdition Prestige]
Rapport de forme : 2.35:1
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 19 x 13,6 x 1,6 cm; 100 grammes
Réalisateur : Andrew Niccol
Format : PAL
Durée : 1 heure et 53 minutes
Date de sortie : 5 juin 2003
Acteurs : Al Pacino, Catherine Keener, Pruitt Taylor Vince, Jay Mohr, Winona Ryder
Doublé : : Français, Anglais
Sous-titres : : Français
Langue : Français (Dolby Digital 5.1), Anglais (Dolby Digital 5.1 EX)
Studio : Metropolitan Film & Video
ASIN : B00007144T
Nombre de disques : 1
Prix : 7,90€
(à partir de Apr 29, 2025 08:25:15 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Cristobal
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: S1mone – Simulation One (S1)
Review: En 2002 donc, Andrew Niccol (Bienvenue à Gattaca, Lord of War, Time Out, Les Âmes Vagabondes, Good Kill, The Truman Show en tant que sénariste et producteur, et enfin Anon en 2017, film en cours de production) délivrait S1mone, une comédie et satire qui explore le possible futur proche du cinéma et du monde dans lequel nous semblons pour partie évoluer. Avec Al Pacino et Rachel Roberts dans le rôle de S1mone, seul rôle au cinéma pour cette actice semble-t-il. Rachel Roberts et Andrew Niccol se marièrent d’ailleurs, et bien que je ne sache pas s’ils eurent et ont beaucoup d’enfants, on comprend aisément et on imagine sans peine aussi l’origine de ce film, et pourquoi le métrage semble par moments un peu long (bien qu’il n’y ait aucun plans véritablement inutiles), le réalisateur ne se lassant pas de regarder son amour en mode plein écran.Le film est drôle tout du long, et la musique l’enveloppe avec bonheur et sans hésitations. La photo et l’intensité des couleurs, le jeu qu’affectionne Andrew Niccol avec les filtres jaunes, et verts, et bleus, firent de ce film un choc esthétique rare à l’époque où l’écran de télévision était relativement petit et permettait au simple dvd (il n’existe toujours pas d’édition blu-ray pour ce film…. huh… douleur…) de proposer une image intense et hautement colorée. Sur grand écran, et même en 4K, le dvd a tout de même perdu un peu de sa splendeur, et c’est dommage. Et comme tout auteur et créateur singulier, on retrouve avec plaisir là aussi, comme dans la plupart de ses autres films, cet amour pour les voitures noires et de collection (une exception cependant, dans « Les Âmes Vagabondes », plutôt bon film de science-fiction, les voitures sont magnifiques, contemporaines et argentées…., il fallait le dire).Le propos consiste ici à explorer la réalité de plus en plus évidente, réelle et sérieuse, de l’acteur virtuel au cinéma. C’était en 2002, et en effet les années qui suivirent n’ont fait que confirmer ce phénomène qui ne cesse de s’amplifier. En témoignent par exemple évidemment « Avatar » (2009), premier seuil majeur, sans oublier évidemment « Gollum » dans le Seigneur des Anneaux, Yoda dans Star Wars. Avec le déferlement de plus en plus concret des acteurs virtuels dans nombre de métrages où l’on fait littéralement ressusciter les morts, rajeunir les vieux (Tron 2, les derniers Star Wars et tant d’autres), la technologie permet presque maintenant de rendre réels à l’écran les acteurs virtuels et pixellisés. Le propos de « S1mone » est en passe de devenir un lieu commun, une évidence et un fait établi. On évoque même, ici et là, le cas Tom Cruise, sorte de personnage en phase avancée de pixellisation et qui répète en boucle, de fort belle manière d’ailleurs, certains schémas de comportements, de films en films, et sans vieillir jamais. Au point que « le Tom Cruise » pourrait devenir une marque et le nom d’un avatar, bankable, et recyclable à l’infini.Film drôle, magnifique et inspiré, avec un Al Pacino flamboyant jouant le rôle d’un réalisateur d’art et d’essai, que personne ne regarde ni n’écoute vraiment (il faut dire qu’il s’appelle Viktor Taransky, sorte de clone du bien aimé mais ô combien difficile à suivre quand même Andrei Tarkovsky (Solaris, Le Miroir, Stalker, Nostalghia, Le Sacrifice…)). Et Simone/S1mone, actrice virtuelle, programme informatique dénommé « Simulation One », sauvera notre réalisateur esseulé et sans soutien financier, lui permettant, après moultes péripéties, de regagner non seulement la confiance des studios hollywoodiens mais bien plus encore de refaire sa vie.Un de mes films préférés, avec « L’Agence » de George Nolfi (« The Adjustment Bureau », avec Matt Damon, excellent, et Emily Blunt, non moins brillante), mais c’est une autre histoire.
Reviewer: Metalyan
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: un bon petit film
Review: sujet avant-gardiste pour l’époque , aujourd’hui on nage en plein dedans. Andrew Niccol, réalisateur visionnaire !
Reviewer: Okidoki
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Sympa et divertissant
Review: Que dire sur ce film…Etant un grand fan d’Andrew Niccol, ma critique ne va probablement pas être objective…Autant le dire tout de suite, moi j’adore.Le scénario écrit par Niccol est une caricature de ce qu’est devenu Hollywood, ou les acteurs nuls sont les rois du pétrole. Alors que ce passe t’il quand Al Pacino décide que grâce à un programme informatique sui va lui permettre de créer son actrice parfaite et qu’il n’a plus besoin de ces acteurs qui ne comprennent ni lui ni son art ??La réponse est simple un personnage complétement skizo qui va dans un premier temps aimer sa créature puis la détester. Mais je vous laisse le découvrir. Mention spéciale à Al Pascino qui fait du Al Pascino, avec tout ce que ça implique (parfois juste parfois exubérant, parfois énervant)…La réalisation sont à l’image de son premier film Bienvenue à Gattaca, on sent le réalisateur amoureux des années 30 et la sombriété esthétique. ce qui laisse d’autant plus de place aux acteurs pour s’exprimer.Je sais pas si ma critique sera bien comprise et si elle poussera les personnes à regarder ce film.
Reviewer: Veilleur
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Devenir esclave de sa propre création
Review: Superbe comédie douce-amère sur le show-business, sur la venue des effets numériques avancés, sur la relation qu’un cinéaste peut avoir avec ses acteurs et la manière dont il se projette dans ses acteurs. Ce film parle de création, de star system, de groupies et de fans, d’un homme seul qui veut retrouver le contact. Film d’anticipation et film moraliste à la fois, S1mOne (pour Simulation ONE) vaut par un jeu d’acteur impeccable avec un Al Pacino roublard, touchant et très humain qui porte le film. C’est pour moi une belle découverte.
Reviewer: dhv
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Excellent scénario et actrice sublime
Review: Scénario original et très actuel, la découverte d’une actrice sublimement belle et un Al Pacino toujours aussi excellent
Reviewer: Nicolas Vuillemin
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Un chouette film revu avec plaisir…
Review: Ce film, réalisé par Andrew Niccol, reste méconnu du grand public et c’est fort dommage. Il est intéressant dans son thème, tout en étant formidablement bien écrit et joué ! Il a un peu vieilli, mais reste percutant.
Reviewer: Robert Redford
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Sympa
Review: Ce film me fait penser à Truman Show, une idée de base originale mais pas assez exploité en profondeur.Le film reste agréable à regarder et regorge de bonnes surprises.
Reviewer: elobas
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Al Pacino immense dans ce film sur des acteurs virtuels
Review: Avec Andrew Niccol, on n’est jamais déçu par un manque d’ambition du scénario, car dans ce 2e film la science-fiction de Bienvenue à gattaca laisse la place à une satire du milieu du cinéma sur fond de film d’anticipation.Sous cette forme qui laisse cours à davantage de liberté, Andrew Niccol jette ses piques sur les acteurs pourris gatés, sur les journalistes qui ne s’intéressent qu’à la vie privée des gens, et sur le public « mouton » capable d’aduler en 2 temps 3 mouvements n’importe qui.Mais le vrai écrin du film, ce n’est pas Simone, mais Al Pacino, qui passe par tous les états et montre encore une fois quel immense acteur( bien réel ) il est.Bref, un vrai chef d’oeuvre, ambitieux, drôle, et intelligent.