Le Dîner de cons [Blu-ray]
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Le Dîner de cons, 1 Blu-ray, 80 minutes
Rapport de forme : 2.35:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 17 x 13,4 x 1,2 cm; 80 grammes
Réalisateur : Francis Veber
Format : Blu-ray
Durée : 1 heure et 20 minutes
Date de sortie : 26 avril 2017
Acteurs : Thierry Lhermitte, Jacques Villeret, Francis Huster, Daniel Prévost, Alexandra Vandernoot
Doublé : : Français
Sous-titres : : Anglais
Langue : Français (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 2.0)
Studio : Gaumont
ASIN : B01N4ISKJ6
Pays d’origine : France
Nombre de disques : 1
Prix : 12,83€ - 12,15 €
(à partir de Mar 28, 2025 10:05:45 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Metin Kilin
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: La meilleure comédie française des années 90 avec « Les Trois Frères » !
Review: Une pièce de théâtre monumentale adaptée sur grand écran de façon magistrale, Une comédie délicieusement Culte. Rarement le spectateur aura vu un film aussi efficace en matière de précision signé Francis Veber. Le réalisateur atteint ici des sommets dans son art, les dialogues d’une grande finesse apportent à l’oeuvre une force indéniable ! Le pari n’était pas gagné d’avance car il est fort difficile d’adapter une pièce de théâtre à succès comme celle-ci.. Le réalisateur a su trouver en Jacques Villeret un acteur d’une grande justesse dans le rôle de »François Pignon ». il est simplement remarquable et très touchant. (Ce qui fait la force des grands comédiens..) Que dire également de Thierry Lhermitte qui lui, joue une partition opposée, il touche l’excellence simplement par des regards et une simple gestuelle, Complètement jubilatoire. Le tout s’enchaîne avec précision, nous laissant aucun répit.C’est l’histoire de Pierre Brochant, un éditeur parisien qui participe tout les mercredi soir avec ses amis a un diner vraiment pas comme les autres nommer « Le diner de cons ». Lors de ce dîner chaque personne doit inviter la personne la plus débile possible et le principe est de faire parler ses « débiles » pour se moquer d’eux toute la soirée. Celui qui a réussit à inviter la personne la plus con possible devient le grand vainqueur de la soirée. Pierre Brochant décide d’inviter à se diner un type nommer François Pignon qui est un modeste fonctionnaire du ministère des finance passionner par les construction de maquettes en allumettes. Avant d’aller diner Pierre décide d’inviter François chez pour faire plus ample connaissance et voir son niveau de connerie sans précédent. Il n’imagine pas encore que les bourdes de François Pignon va transformer sa soirée en un véritable cauchemar.En 1998, le réalisateur Francis Veber, réalisateur de grosses comédies à succès devenus cultes (La chèvre, Les compères, Les fugitifs… ) était revenu en force avec ce Diner de cons. Une comédie hilarante devenu culte qui rencontra un immense succès populaire à sa sortie en salle plus de 9 millions d’entrées. L’idée du Dîner de cons est venu à Francis Veber par une rumeur qui se propageait depuis plusieurs années dans Paris comme quoi des personnes des milieux aisés organisaient des dîner un peu spéciaux ou ils invitaient des personnes un peu débiles pour se moquer d’eux. Francis Veber trouvait que cette rumeur pouvait faire un bon sujet de comédie. Mais contrairement à d’habitude il trouvait que ce sujet serait plus adapter dans une pièce de théâtre que dans un film de cinéma. Il se lança alors dans l’écriture de sa première pièce de théâtre qui sera donc baptiser le dîner de cons. La pièce de théâtre qui fut jouer sur scène pendant plusieurs années rencontra un immense succès. Vu l’immense succès de la pièce Francis Veber se dit que la pièce avait finalement du potentiel pour être adapter au cinéma et qu’elle pouvait faire une très bonne comédie. Il adapta donc sa propre pièce au cinéma en 1998…C’était la folie des grandeurs clairement ! Veber avait vu gros avec, pour mettre en scène un quasi huis clos (à quelques scènes près, dont une assez courte à bord d’un TGV), puisqu’il bénéficiait d’un budget de 12 500 000 francs, digne d’une superproduction. L’auteur de La chèvre, à l’image de Jean-Marie Poiré et plus récemment de Dany Boon, a toujours été dans la démesure dans ses budgets, mais visionnaire dans son genre, il rapportait gros, dépassant même les frontières franchouillardes pour imposer ses éclats de rire à l’Europe et l’Amérique. Qu’importe le risque initial, Gaumont vend l’adaptation de sa pièce de boulevard dans le monde entier ; les Américains de Dreamworks en achètent les droits pour un remake qui sera en fait un nanar de première catégorie, avec Steve Carrel et Paul Rudd… Cette relecture à la sauce yankee n’arrive pas à la hauteur de la comédie originale. Et pour cause. Le Dîner de cons est un must du savoir-faire français en matière de divertissement. Truculent, audacieux, assez féroce même dans son humour puisqu’il s’agit tout de même de se payer la poire d’un imbécile le temps d’un repas. Niais mais gentil, le personnage éponyme, donc, le “con”, est campé par Jacques Villeret, dont il s’agira de son plus grand rôle. Il lui apporte naturel et une petite dose d’émotion, ce qui lui permet de renverser adroitement le rapport de force face au cynisme du personnage interprété par Thierry Lhermitte.Les seconds rôles, parfois, volent même la vedette à Lhermitte, cruel éditeur qui se régale d’un dîner de cons par semaine, avec ses amis guindés. Daniel Prévost époustouflant de charisme en contrôleur fiscal s’est taillé un personnage culte qui ne le quittera jamais, Catherine Frot en gourde collante donne un aperçu du talent qu’elle déploiera tout au long des années 2000 qui seront sa décennie à elle. Jacques Villeret reprend le rôle qu’il a créé au théâtre et a interprété plus de 600 fois durant trois ans. En candide bienveillant désireux de bien faire et enchaînant bien malgré lui les « boulettes », il y est magistral de bout en bout. On se régale de chacune de ses mimiques, chacune de ses expressions, toutes soigneusement éprouvées sur les planches et irrésistibles d’efficacité fourmille de répliques et de scènes devenues cultes (« Juste Leblanc » « Marlène Sasoeur » « c’est pas la stratégie qui m’inquiète, c’est le stratège »…) L’accent Belge au téléphone est un grand moment de jubilation hilarant « Bonnnsoiiiir Monsieur Le Blanc» Georges Van Brueghel a l’appareil, Pardon de vous déranger a une heure aussi tardive, Je suis producteur belge, n’est-ce pas, j’arrive de Belgique une fois, et je suis intéressé par votre roman le petit Cheval de Manege » ! « Et voila, on a les droits !!! Ouh, ouhlalalalalalalala ! Et pour pas cher à mon avis, il a marché, il a marché à fond le gars ! » Brochant : Et ma femme ? Pignon : Quoi ? Il a oublié ma femme… Brochant : Il fait le clown pendant 5 minutes et il oublie ma femme ! « Ah la boulette ! » Ça dépasse tout c’que j’ai pu imaginer ! Ah oui, j’ai fait la boulette… « On a repoussé les limites là… La classe mondiale, Peut-être même le champion du monde ! Pignon « J’le rappelle… »Le Dîner de cons enchaîne les séquences cultes et dialogues hilarants. De nombreuses répliques du film sont rentrées dans notre mémoire collective : Ah bon il a pas de prénom, On vous a raté aujourd’hui on ne vous ratera pas la semaine prochaine, On a les droits, etc. Pour les décors, on retrouve le décor fonctionnel de la pièce, on regrettera que l’arrière-plan de la Tour Eiffel se distingue très clairement comme une photo et non la vraie. On retiendra notamment la présence de l’incorrigible Francis Huster, célèbre éditeur parisien potentiellement coureur de jupon au risque de piquer les conquêtes féminines de ses amis brille par sa performance ! Daniel Prévost qui campe un incroyable et machiavélique Lucien Cheval (inspecteur des impôts et collègue de Pignon) en arrivant à lui donner une belle profondeur en un instant. Catherine Frot et Alexandra Vandernoot sont très bien également, chacune dans leur registre. On a parfois l’impression de voir du théâtre filmé par (alternance de gros plans et de plans larges fixes, excepté ce regard caméra magique de Daniel Prévost) dans sa voiture, impression peut-être aussi dû au huis-clos.Difficile de faire une critique d’un film aussi culte, au même titre que Les Visiteurs, Les Trois Frères même Intouchables, La Grande Vadrouille ou encore Bienvenue chez les Ch’tis, Et à juste raison pour se reconstituer dans le contexte de 98, On vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître : Jacques Chirac coule son premier mandat trankilou placé sous le signe de la vache folle, la France est championne du monde de foot pour la première de son histoire, (Deuxième fois en 2018, 20 ans après) et dans les salles obscures, vingt millions de français pleurent devant les démêlés aquatiques de Rose et Jack à bord du Titanic. Dans l’ombre du gros bateau, 1998 est également une belle année pour la comédie française : Les visiteurs II et Taxi réunissent en effet à eux deux presque quinze millions de spectateurs, et Le dîner de cons provoque l’hystérie frénétique des spectateurs, plaçant le film de Francis Veber à la deuxième place du box-office cinéma de l’année. Témoin d’une époque lointaine où les César récompensaient aussi le cinéma populaire, Le dîner de cons avait d’ailleurs obtenu trois distinctions, avec les César du meilleur scénario pour Francis Veber, celui du meilleur acteur pour Jacques Villeret, ainsi que celui du meilleur second rôle pour Daniel Prévost.Brochant est évidemment détestable de par son égoïsme. « J’ai pas de con pour mercredi et je commence à paniquer! » Menteur, il profite de la crédulité des gens pour la tourner à son avantage. Il fait croire à Pignon qu’il va publier un livre sur ses maquettes tout en se fichant pas mal des espoirs qu’il fait naître chez sa victime. « Vous avez changé ma vie Monsieur Brochant » Peu importe, du moment que Brochant peut se moquer de l’autre. Cet homme a un cynisme tel qu’il dénigre tout. Plus rien ne compte que son petit plaisir. « On vous a raté cette semaine, on ne va pas vous rater la semaine prochaine » Sans scrupule, il a piqué la femme de son pote. Et il serait prêt à inviter le père de son meilleur ami pour le ridiculiser. Même ses amis se méfient de lui. «Tu m’prends vraiment pour un salaud ? « Oui » C’est le fait du Prince. Brochant est un bourgeois malintentionné et malhonnête qui vit dans un bel appartement Parisien, avec vue sur la Tour Eiffel. Corporatiste, il est évidemment ami avec ses anciens camarades de promotion, certainement comme ses parents avant lui. Il dissimule sa richesse comme le font les puissants. Sa tête doit absolument être coupée car il fait plus que de la faire à l’envers au peuple, il le méprise. L’homme du peuple justement est François Pignon, insupportable de connerie. Le fonctionnaire minable, largué par sa femme pour plus con que lui encore. Petit. Gros. Chauve. Ses centres d’intérêt sont ridicules.Son humour ne fait rire que lui. Il est tellement con qu’il ne réalise même pas qu’on se moque de lui. Prêt à pardonner à celui qui l’a planté dans le dos. Pignon essaie même de rendre service ce qui fait de lui le bon con, mais con quand même. Il est celui dont on se moque parce qu’on peut s’en moquer. Ses tentatives de faire le bien se soldent par des échecs cuisants. Pathétique, il enchaîne les bourdes. Il est tout simplement exaspérant de connerie. La morale est qu’on ne doit avoir pitié de personne. Comme Brochant le fait remarquer avec beaucoup de réalisme, nous cherchons toujours à prendre parti. « Il méchant monsieur Brochant, il est mignon Monsieur Pignon » Gentils ou méchants, nous sommes tou·tes à mettre dans le même sac. On ne va pas plaindre ce gros con de Brochant qui s’est fait mal en jouant au golf provoquant un sale tours de reins et dont la femme s’est barrée parce qu’il l’a trompée. De la même manière, on ne va quand même pas s’apitoyer sur le sort de ce notable qui noie son désespoir dans du Château-Latour. De la même manière, on ne doit avoir aucune sympathie pour Pignon, l’abruti de service. Il est pénible. S’il ne se rend compte de rien, c’est de sa faute. On se fout de la gueule de Pignon car il est fait pour cela. On doit absolument se moquer de lui.François Pignon « Vous faites peine à voir ! On dirait un cheval qui a raté une haie. On vous abattrait sur un champ de course ! » Villeret dessine en creux le portrait d’un personnage de clown triste aux blessures affectives encore vives, partagées à l’évidence par un acteur aux failles sensibles. Pignon devient ainsi le pilier de la perte d’un Brochant de plus en plus exaspéré par les facéties involontaires de son invité, le menant en moins d’une heure à la séparation, dans les bras de la maîtresse qu’il évite et au contrôle fiscal. L’impayable Daniel Prévost devient la quatrième pièce de ce puzzle magique, aérant l’intrigue en amenant une menace supplémentaire qui sera désamorcée dans une scène d’anthologie. Scène où François Pignon, Pierre Brochant, Juste Leblanc et Lucien Cheval téléphonent à Pascal Meneaux « Le Publicitaire » pour savoir s’il était en compagnie avec Christine Brochant (la femme de Pierre) Et cela ne se passe pas vraiment comme prévu. Il s’aperçoit qu’au bout du fil c’est son ami et collègue de travail qui est « Le plus gros obsédé sexuel de paris » et n’a visiblement pas la bonne femme au lit ! Pascal rétorqua : Je suis pas avec Madame Brochant, je suis au lit avec la femme de mon contrôleur fiscal, je suis en train de sauter sa femme, je ne suis pas du tout avec Madame Brochant »… Lucien parlera avec sa compagne l’air dépité au téléphone « Je veux que tu quitte cette appartement immédiatement tu as compris, Bien sûr, tu te rhabilles, évidemment que tu t’rhabilles ! » Charlotte… Je t’avais enregistré le patinage artistique » ! Ce moment de cinéma est unique dans son genre, épique dans son interprétation !Et cette scène en toute fin de film de Pignon à Brochant « Je suis épuisé moi ! C’est horriblement fatiguant d’être intelligent » Brochant : « Je sais pas, faudrait que j’essaye ! » Entre 1999 et 2000, Le Dîner de cons a été sélectionné 9 fois dans diverses catégories et a remporté 5 récompense. Des acteurs hallucinants et des dialogues croustillants. Que dire de plus sur ce chef d’œuvre du cinéma français ? On ne s’en lassera jamais, Avec un Jacques Villeret qui obtient le César du meilleur acteur (Mérité) en pleine apogée d’une très belle carrière. Une légende ! Pour une comédie Intemporelle !
Reviewer: Btlle anthony
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Bonne comédie française
Review: Classique du cinéma français
Reviewer: SUSAYA45
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Super
Review: Super film humouristique
Reviewer: Elea Jazeron
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Génial
Review: Meilleur film de mon enfance!On se tord le bide à force de rire
Reviewer: Marcel FRUCHTER
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Vu et revu. Toujours aussi marrant
Review: J’ai vu et revu ce film 3 fois. Je le revois toujours avec grand plaisir. Des acteurs merveilleux ; vraiment, on ne s’en lasse pas.
Reviewer: boucher
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Pour re-découvrir
Review: Hilarant, génial,,un jeu d acteurs d une grande efficacité. A voir et à revoir on ne s en lasse pas
Reviewer: holouddi
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Ne pas hésiter !
Review: Si vous souhaitez découvrir ou revoir François Pignon dans des conditions idéales, n’hésitez pas avec cette édition blu-ray. La qualité de l’image est top, avec en prime une bande son en 5.1Cerise sur le gâteau, les bonus sont pour une fois intéressants.
Reviewer: Rob
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Genius
Review: Very funny film, worth a watch but be better if translation was in English as well for those who don’t speak French
Reviewer: Cancer 1967
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: La vida misma. Los listos a veces soon más tontos que los oficialmente tontos. Para amantes del cine frances . Se entiende muy bien si tienes nivel A2 . Lo pasarás bien
Reviewer: Sylvain Garnier
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Du début à la fin, tout simplement génial. Des scènes hilarantes, devenues cultes interprétées de main de maître par l’ensemble des personnages. En cas de coup de blues, ce film garanti 80 minutes de bonne humeur et de rire. Mention spéciale pour le regretté Jacques Villeret, César du Meilleur Acteur 1999 pour son rôle de François Pignon.
Reviewer: Franco Averno
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: grande film, divertentissimo, Jacques Villeret est magnifique .
Reviewer: Marie
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
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Review: Französischer Aberwitz pur! Interessantes Drehbuch und gute Schauspieler. Sehr sehenswert!
Reviewer: Snowflakecake
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
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Review: Eines ist sicher, die Lachmuskulatur wird hier auf’s äusserste strapaziert!!Ich bin nur durch Zufall auf diesen Film gestoßen, habe ihn sogleich gekauft und bin darüber auch sehr froh. Endlich wieder mal ein Film, der nur so vor Witz und Esprit strotzt!! Ein Dinner für Spinner – eine grandiose Idee mit hohem Spaßfaktor, wäre sie moralisch nicht so bedenklich.Eine Gruppe gut betuchter Intellektueller macht sich wöchentlich einen Spaß daraus, ein Dinner zu veranstalten, zu dem jeder einzelne einen « Spinner » mitbringen muß. Natürlich kennen die « Spinner » nicht den wahren Grund für diese unerwarteten Einladungen, werden Sie ja unter einem Vorwand zu diesem gesellschaftlichen Abend berufen und ahnen nicht im Entferntesten dass sich auf ihre Kosten bestens amüsiert werden soll.Der Verleger Brochant ist in Nöten, da er für diesen Abend noch keinen Spinner gefunden hat und ein Freund vermittelt ihm noch rechtzeitig die skurile Zugbekanntschaft Pignon mit dem abstrusen Hobby aus Streichhölzern Miniaturmodelle großer Bauwerke zu fertigen – also einen vielversprechenden Spinner!Und so lädt Brochant den Bastler Pignon zu sich ein unter dem Vorwand sich für dessen Arbeiten zu interessieren und diese evtl. in einem Buch zu veröffentlichen. Für den Finanzbeamten Pignon ist dieses gesellschaftliche Ereignis natürlich ein Gottesgeschenk, eine willkommene und ersehnte Abwechslung der täglichen Tristess.Was Brochant hier nur noch nicht ahnt, Pignon ist ein echter « Spinner », der sein geordnetes und schönes Leben völlig durcheinanderbringen wird. Der Abend verläuft vollkommen anders als Brochant es geplant hat. Von Rückenschmerzen geplagt und in der Bewegungsfreiheit stark eingeschränkt wird er erst per Anrufbeantworter von seiner Frau verlassen und der unseelige Pignon macht keine Anstalten sich zu verabschiedeten. Statt dessen will Pignon auf seine naive aber aufdringliche Art Brochant helfen und beistehen und so nimmt das Chaos seinen Lauf.Aber statt die Situation zu verbessern schafft es Pignon durch seine endlose und ungewollte Hilfsbereitschaft sie stetig und drastisch zu verschlechtern!Für Brochant ist dieser Abend wahrlich kein Spaß aber für uns Zuschauer dafür umso mehr!!Der Film ist von Plott bis zu den Darstellern brilliant und stellt alle amerikanischen Komödien weit in den Schatten und beweist viel mehr – Franzosen können es besser!Humor vom Feinsten – daher ganze 5 Sterne!!