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Ce DVD a été fabriqué à partir de la meilleure source vidéo actuellement disponible. Le film n’a pas fait l’objet d’une restauration numérique de l’image et du son.
Aspect Ratio ‏ : ‎ 4:3 – 1.33:1
Is discontinued by manufacturer ‏ : ‎ No
Rated ‏ : ‎ Universal
Package Dimensions ‏ : ‎ 19 x 13.4 x 0.4 cm; 100 g
Director ‏ : ‎ Léo Joannon
Media Format ‏ : ‎ DVD-Video, PAL
Run time ‏ : ‎ 1 hour and 19 minutes
Release date ‏ : ‎ 24 Feb. 2016
Actors ‏ : ‎ Danielle Darrieux, Albert Préjean, Jean Parédès, Fred Pasquali, Germaine Reuver
Studio ‏ : ‎ Gaumont
ASIN ‏ : ‎ B017Y7SI0A
Country of origin ‏ : ‎ France
Number of discs ‏ : ‎ 1
Prix : €13.00
(à partir de Jul 12, 2025 10:52:21 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: D. André
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: une fantaisie à redécouvrir
Review: Tourné sous l’occupation, ce petit film oublié est à redécouvrir d’urgence par tous les amateurs de cinéma classique français et aussi par tous ceux qui apprécient les comédies à la Lubitsch.Il s’agit d’un marivaudage excellemment écrit par Jacques Companeez et André Cayatte et superbement interprété par un trio de comédiens (Darrieux, Préjean et Paradès). C’est charmant du premier au dernier plan, très plaisant à suivre, avec toutefois quelques baisses momentanées de rythme. Cette fantaisie débridée a visiblement été tourné avec un manque de moyens évidents, sans doute du à l’époque. Néanmoins, il témoigne du dynamisme dont fit preuve le cinéma français sous l’Occupation. Avec des sous-titres français pour malentendants
Reviewer: Paul Gascimeri
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: faussaires
Review: « Jeu » est un autre…Une jolie comédie où chacun trompe l’autre à son tour dans une construction-gigogne avec mises en scène en abyme qui se succèdent et renouvellent jusqu’à la fin l’intérêt du récit. Un rythme soutenu sans temps mort pour un film qui ne dure que 79 minutes, lorgnant avec brio du côté de la comédie à l’américaine. Un milieu d’acteurs dans le sou qui dépendent du commanditaire. On recommandera donc à la jeune première de se montrer « gentille » avec lui. Dans le rôle du Harvey Weinstein en puissance, le jeune Bernard Blier dans une brève apparition en tenue de toréro, chevelure ondulée (et oui!) et ventre déjà rondelet (il avait eu le temps de se remplumer après son évasion du Stalag). Machisme, encore, quand le pygmalion inflige une douche forcée à la trop pimpante fausse bouquetière. « Il m’a lavé la tête » s’exclame la belle, extatique et mouillée, aussitôt conquise…Danielle Darrieux, puisque c’est elle, fait feu de tout bois et se montre à son meilleur, épatante en chipie ou en femme fatale, poussant (comme de bien entendu) la chansonnette dans un Montmartre de pacotille. Elle pratique aussi l’argot (« j’ la saute! ») pour dire que son appétit la tenaille…Les dialogues (André Cayatte) font mouche, Albert Préjean est un peu amorti (faisant nettement plus que son âge) mais la plupart des autres rôles sont bien interprétés, Jean Parédés en tête, qui excelle véritablement en valet stylé : « On ne collabore plus, Monsieur et moi ».Collaborer? s’il y a deux qui ont su ce que cela voulait dire à l’époque, ce sont bien Jean Brochard (qui joue ici aussi) et Léo Joannon qui signe la réalisation. Il faut faire un peu d’histoire et rappeler que ces deux tristes sires dirigèrent de conserve les studios de Boulogne, propriété de la Continental (firme allemande) avant de devenir des pontes de la propagande vichyssoise sur grand écran. L’oeuvre (écrite par Jacques Companeez, juif) aurait dû être dirigée par Raymond Bernard (fils du grand Tristan) cinéaste reconnu mais juif lui aussi et donc interdit de travail sous Vichy. Joannon lui vola donc la paternité du film, sorti en février 42, au prix d’un chantage ignoble. Belle crapule, beau faussaire, qui se fit discret à la Libération avant de reprendre benoîtement le chemin des studios au début des années cinquante pour des oeuvrettes insignifiantes. Voir « Continental Films » de Christine Leteux, ouvrage remarquable sorti en octobre 2017, qui cite un article vengeur du vachard Henri Jeanson (octobre 44) dans le « Canard enchaîné » intitulé « M.Joannon fait un caprice ou la mouche du boche »…Joannon avait toutefois eu le temps de tourner « Le Carrefour des enfants perdus » sous l’Occupation, sorti fin avril 44, à quelques semaines du Débarquement. Cette histoire (bien écrite, réalisée et interprétée) de délinquants juvéniles remis sur le droit chemin sous la conduite éclairée d’un CHEF était alors une réponse politique de Vichy à « Prison sans barreaux » (L.Moguy, 1938), joli film soutenu en son temps par le Front populaire, avec Annie Ducaux et l’éphémère Corinne Luchaire (fille de son père, le « Louche Herr »).NB : sur Préjean et son interprétation dans « Caprices », ces mots de Rebatet, fasciste et antisémite au jugement artistique souvent très sûr : « Il paraît regretter le chantail et la casquette de l’exquis ‘Soir de rafle’ « , citation extraite de « Quatre ans de cinéma » aux éditions Pardès (Rebatet.D’Hugues) .Il s’agit d’un film de C.Gallone (1931) écrit par le jeune HG Clouzot qui vient justement d’être réédité dans le coffret « Clouzot avant Clouzot ». Voir à ce film…
Reviewer: oliver60
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: fan de blier
Review: cette romance efficace soigne ses textes et son jeu , avec Danielle Darrieux dans le role titre, à voir .
Reviewer: delrue
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Très bien
Review: Cadeau

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📅 Date de mise à jour : Jul 12, 2025 10:52:21 UTC

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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