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Alice au Pays des Merveilles (Alice In Wonderland), 1 DVD, 104 minutes
Rapport de forme : 1.78:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Dimensions du produit (L x l x h) : 19,3 x 13,5 x 1,5 cm; 68,04 grammes
Réalisateur : Tim Burton
Format : Couleur, PAL
Durée : 1 heure et 44 minutes
Date de sortie : 24 juillet 2010
Acteurs : Mia Wasikowska, Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Anne Hathaway, Crispin Glover
Doublé : : Anglais, Français
Sous-titres : : Français, Anglais
Langue : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
Studio : Walt Disney France
ASIN : B003BEDTF0
Pays d’origine : France
Nombre de disques : 1
Prix : 7,00 €
(à partir de Jun 02, 2025 21:32:03 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Arago Fabienne
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Bien merci
Review: Je les en dessin animé, voilà pourquoi je les achètes après ça passe le temps
Reviewer: Angèle Rosée
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Super film
Review: Comme pour le deuxième.Je les aimes d’amour.Je ne m’en lasse pas.
Reviewer: Les livres en folie (et plus)
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Un univers particulier transporter sur écran avec talent !
Review: Ce film m’a énormément fait penser au Monde fantastique d’Oz de Sam Raimi, sorti en 2013 et aussi de Disney. Donc plus récent que Alice mais ce n’est que aujourd’hui que je viens de le voir pour la première fois dans une très belle édition Blu-Ray Disc avec un fourreau brillant. Encore un bel objet de chez Disney.Je n’ai jamais vu Alice aux Pays des Merveilles le Disney classique de 1950. Je connais plus les personnages avec le jeu vidéo Kingdom Hearts. Bien que je connais aussi l’univers par les livres. Comme vous devez vous doutez, tous les personnages sont présents. Le lapin blanc, les jumeaux, le chat qui peut devenir invisible, la Reine, les cartes, le chapelier fou…Autant de personnages loufoques que réussis. Le premier quart d’heure se passe comme un film basique. Puis Alice rentre dans son rêve et là la magie du monde irréel se dévoile sous nos yeux ébahi. Alors ça peut ne pas plaire car je sais qu’il y à des personnes qui n’aiment pas les films qui ont été tournés avec 99% de fonds verts mais c’est le cas pour celui-ci. C’est pour cette raison que j’ai fait la comparaison avec Oz. Un monde imaginaire spectaculaire de par les effets spéciaux et de tout ce qui l’accompagne. Les paysages et les couleurs, les animaux, les fleurs, tout est magnifique ! On est entre un monde enchanteur et à la fois gothique. On passe à des décors bucoliques à des décors de désolation. Le lapin, les grenouilles, le chien, les singes, le chat sont très réussi. Plus vrai que nature, surtout le chien ! À part le fait qu’il puisse parler 🙂 On reconnaît bien le style si particulier de Tim Burton. L’univers d’Alice semble être créer pour lui pour en faire un film.J’ai pas été super emballé par l’actrice qui joue Alice (Mia Wasikowska). Par contre le reste du casting est bon. Johnny Deep joue parfaitement bien son personnage avec encore une fois une métamorphose de dingue de son physique. À le voir dans son rôle, jamais j’aurai pu deviner que c’est lui si on me demanderait qui c’est sans connaître le film. Et Helena Bonham Carter qui joue la reine avec ses innombrables « qu’on lui coupe la têêêête !!! ». Au final il y à pratiquement aucun autres acteurs réels si on ne compte pas le début et la fin, les deus moments en dehors du rêve. Tout les autres personnages à part eux cités au dessus ont été fait par animation.J’ai bien aimé ce Walt Disney sans pour autant que ce soit un coup de cœur. Une suite est en préparation suite au gros succès du premier. Il sort en 2016 sous le titre de Alice de l’autre côté du miroir.LES BONUS :Ils sont peu nombreux et ont une durée de 20 minutes au total. On peut y découvrir les effets spéciaux avec les fonds verts, les personnages imaginaires dont une toute nouvelle créature pour le film, le rôle de Deep en tant que chapelier fou et sur le rôle d’Alice avec l’actrice. Bonus courts mais sympathiques.
Reviewer: Patricia
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: DVD Alice au Pays des Merveilles
Review: Très bonne version d’Alice aux Pays des Merveilles avec de très bons acteurs comme Johnny Depp, génial en Chapelier. A voir et à revoir.
Reviewer: User B.
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Film déjanté à la sauce Tim Burton
Review: Un réalisateur au top un acteur qui valide le tout. L’univers de Tim Burton est tellement plaisant à regarder.
Reviewer: Cécile taguemout
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Alice au Pays des Merveilles
Review: Peu fidèle à l’oeuvre de Lewis Caroll, la version burtonienne d’Alice au pays des merveilles, bien que plaisante, manque de singularité et de féerie, ressemblant plus à un ersatz de Narnia qu’à un film de son cinéaste.L’argument : Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu’elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s’embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.- Box-office record pour Alice… aux USANotre avis : Même robe bleu azur, chevelure blonde et coiffure identiques…. Alice version 2010 reprend les codes physiques du personnage de 1951, créé par Walt Disney, avec une différence, et non la moindre, la jeune fille a désormais 19 ans et est devenue une femme. Elle se montre audacieuse avec sa mère et affirme ses opinions. Ses centres d’intérêt ne sont plus les mêmes. Son appréciation des merveilles qu’elle découvre, non plus. Elle n’a aucun souvenir de son périple passé et, lorsqu’elle retrouve ces lieux à l’aube de l’âge adulte, elle commet exactement les mêmes erreurs qu’auparavant, notamment lors de la chute dans le terrier. Celle-ci fait, par ailleurs, penser au Alice de Jan Svankmajer : mêmes plans, mêmes cadrages serrés, même photographie contrastée. Tim Burton a multiplié ses sources d’inspiration pour offrir sa version d’Alice au pays des merveilles (le cinéma en compte déjà plus d’une dizaine).
Reviewer: Todd M. Barty
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Tim Burton and Lewis Carrol’s « Alice » books seemed, when this project was announced, to be a perfect combination. I waited with great anticipation to see the result and I know many others did too – and I was not disappointed.The story follows an adult Alice, who is at a crossroads after being proposed to her by a wealthy heir, but one whom she feels nothing for. At just this moment, she espies the White Rabbit, who leads her into Wonderland, a strange land that she visited in her childhood, but believed to be just a dream. There she meets the familiar characters of the Mad Hatter and his tea drinking posse, Tweedledum and Tweedledee, the Caterpillar and the Cheshire Cat. They have been waiting hopefully for her return, as she is the one who will end the rule of the paranoid and violent Red Queen, a character amalgam of the Red Qeen from « Through the Looking Glass » and The Queen of Hearts from « Alice’s Adventures in Wonderland ». She eventualy becomes the champion of the benevolent but exiled White Queen and is set on a collision course with the Red Queen and her forces, including the sly and mean-spirited Knave of Hearts (who seems to amalgamate The Knave of Hearts from « Alice’s Adventures in Wonderland » and The Red Knight from « Through the Looking Glass ») and the fearsome Jabberwocky, the dragon that protects the Red Queen from challenges.Many, it sems, were disappointed with this. Some complain that it eschews the books fragmented plot in favour of a quest structure, while others complain of the lack of storyline. Burton, by his own admission focuses on characters and imagery rather than story. This is a valid approach as cinema is a visual medium – not like a novel. This being said, I was surprised that Burton was more interested in a version with a story than the fragmented original, although this may not have been his decision alone. The result, however, works. There is just enough of a story to give the characters more of a history and motivation – a feature of Burton’s previous film adaptations of « Sleepy Hollow » and « Charlie and the Chocolate Factory » – in which characters were given more depth by introducing more of a back story. Yes, as many have pointed out, the film does utilise the monomyth structure as many other recent fantasy epics have – but stories do tend to use it – and this is not the first « Alice » adaptation to do so. The film has to be judged on the merits of how it achieves its own goal, and Burton’s key is in using his distinctive imagination to give this « Alice » and this monomyth its own peculiar feel. Some may miss elements of Carrol’s nonsensical wit that are not here, but there is sufficient essence of Carrol in the language of the characters and the confusion Alice faces in dealing with many of them. It must be remembered that much of the plot is derived from « Through the Looking Glass » which has more structure than « Alice in Wonderland ». The story of « The Jabberwocky », a poem from « Through the Looking Glass » is also used in the plot structure – introducing the key folkloric motif of the special weapon – the Vorpal Sword. The brilliant result of this is in creating a new, surreal version of the monomyth filtered through the sensibilities of Carrol and Burton.The CGI I is used sparringly and has the weighted feel of Burton’s stop motion work, making it feel more real and much warmer than much of the cold, slick CGI of other films. Some say that the 3D was tacked on and not integral, I offer other adjectives: unintruseive and understated. I ddo not want to walk away from a film with my memory focused on the special effects – to me there is a great failing in the characters if this is the case. Burton’s brilliant visual quality stands out in every frame of the film – beautifully tonal and detailed. Slightly gothic and with a wonderful technicolour palette.All actors are outstanding. The CGI characters are voiced to perfection. Wasikowska is a curious and assertive presence without gushing at her surroundings like an Alice from a bad panto adaptation. Depp is a delighfully nuanced, bi-polar Mad Hatter with the right blen of whimsy and psychological damage. Bonham-Carter is a wicked Red Queen, delightfully spoiled and OTT, but also showing the damage that made her a monster. Ann Hathaway is a warm but motivated presence who has done exceelent work in the building of her character. Some find the characters a little cold – I find an emotional honesty rather than the sentimental syrup many expect from family fantasy and Hollywood movies in general.This is a wonderful fantasy that harkens back to great fantasy films like « Labrynth », The Dark Crystal », « The Princess Bride », « Return to Oz » and even Disney’s earlier animations such as « Sleeping Beauty » « Snow White » and their original « Alice in Wonderland » – that were unafraid to be stylistically bold, slightly wierd, a bit scary, very whimsical and a lot of fun!
Reviewer: shivanand teggi
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Awesome
Reviewer: Amazon Customer
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: great movie nothing wrong
Reviewer: sumith ramachandran
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Excellent
Reviewer: Venta
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: When this film was released, and there was all the hoo-ha about it going to dvd within weeks, I was totally underwhelmed in the interest department. I’d read the Alice books, seen films and tv versions, so was pretty sure this film couldn’t add anything new.How wrong I was!!I ended up watching this on a plane trip as there was nothing else worth viewing. From the beginning I was mesmerised – by the characters and the colourful ‘scenery’. I loved (in fact, I’d like to adopt) The Tweedle Twins (Matt Lucas); Jonny Depp still manages to be gorgeous despite the madness and make-up; Steven Fry as the ubiquitous Cheshire Cat is divine; Alan Rickman’s blue caterpillar is lugubriously lovely; Mia Wasikowska is the perfect Alice, and so on. The only slightly jarring note for me was that Helena Bonham Carter seemed to have entirely based her character on ‘Queenie’ from Blackadder – I feel Helena’s a good enough actress to have devised her own characterisation of the the Queen of Hearts, however, she was brilliant nonetheless; and a star studded list of supporting characters gets an A+ from me too, including Anne Hathaway and Crispin Glover.Well, virtually as soon as we landed, I had ordered the blue-ray disc, and I LOVE it. I’m sorry I didn’t see it in 3D, but the BD is such good quality that I don’t feel I’ve missed out too much, and the extra features, particularly the ‘making-of’ is fascinating, answering lots of ‘How did they DO that? » questions.If you have managed to stick with me so far, you’ll probably have gathered by now that this has instantly become one of my all-time favourite films in the history of the world – ever! I have never been a fantasy film fan, but I’m more than happy to make an exception in this case. My 7 year-old grandaughter,12 year-old grandson, 57 year-old husband, and 77 year-old Mum all absolutely love it too – so a film for any age or gender – and we can’t ALL be wrong!!
