The Grand Budapest Hotel [Blu-Ray] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Le film a été tourné en ratio Academy 1.37 pour mieux servir l’histoire. Le format vidéo carré est donc normal
Rapport de forme : 1.37:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 17 x 13,6 x 1,2 cm; 80 grammes
Numéro du modèle de l’article : 3344428057312
Réalisateur : Wes Anderson
Format : Couleur
Durée : 1 heure et 40 minutes
Date de sortie : 3 septembre 2014
Acteurs : Ralph Fiennes, F. Murray Abraham, Jason Schwartzman, Jude Law, Tilda Swinton
Doublé : : Français, Anglais
Sous-titres : : Français, Anglais
Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1)
Studio : 20th Century Studios
ASIN : B00IO1641G
Nombre de disques : 1
Prix : 13,27 €
(à partir de Jun 05, 2025 04:28:29 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: declerck suzy
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Un film exceptionnel où l’intrigue est garantie
Review: Plongez dans les aventures de Gustave H le gérant du Grand Hôtel avec son lobby boy.Gustave H flirte avec les clientes de l’hôtel, elles sont âgées… très très âgées..Mais patatras, l’une de ses romances décède subitement (est ce de mort naturelle ?) et le voilà l’héritier d’un tableau d’une valeur inestimable !!!!Ce qui n’est pas du tout du goût des héritiers !Un film exceptionnel où l’intrigue pour captivera !
Reviewer: Patrick P.
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Très bon film !
Review: J’ai adoré ce film !
Reviewer: Yetti
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: une extrapolation élégante, douce amère et raffinée du Monde d’hier de Stéphan Zweig
Review: L’histoire contée nous amène à faire connaissance avec Mr Zéro, incarnée par l’acteur Fahrid Murray Abraham, le même qui jouait Salieri en quête de rédomption dans Amadeus…Le mode narratif du flash back d’un seul tenant, garde 40 ans plus tard la même saveur, les même ficelles. Ici, vous découvrez l’esprit européen d’avant guerre, animé par le courant sécession, ou art nouveau, les personnages sont attachants, et à la fois malmenés par des événements qui les carambolent comme un jeu de quille. Vous rentrez dans les grands hôtels de l’époque, terre promise du travail des plus humbles, sérail choisi des plus fortunés. Le maître de cérémonie est le concierge de l’Hôtel Mr Gustave H, qui va nous diriger de bout en bout. Bien sur cette comédie dramatique germanobritannique de 2014 prend racine très concrètement dans un fait divers: une vieille dame fortunée lègue toute sa fortune à son concierge favori au grand damne de sa famille pas prête à se laisser évincée si facilement.Le conte prend le prétexte narratif pour imaginer et transposer ce qu’aurait pu penser Stéphan Zweig sur l’évolution des événements de la première moitié du xxéme siècle, car ces 2 guerres ont bien suicidé l’Europe, cette Europe surannée et à la fois si prometteuse, inventive et si destructrice à la fois. De nombreux acteurs américains célèbres se sont invités à la fête, partageant le goût pour cette douce mélancolie d’un passé révolu, si sympathique à la fois.
Reviewer: 3, 5, 9
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: OH BOY !
Review: Je suis forcément de « parti pris » car je raffole des films de Wes Anderson : le traitement de l’image, la mise en couleur des décors, des costumes, de l’environnement, de la lumière, la poésie, la musique … et quoi encore ? La recherche esthétique est d’une très grande subtilité, tout comme la psychologie des personnages. Il ne se moque pas des spectateurs, LUI !Les acteurs bien sûr. Et là, dans « Grand Budapest Hôtel », vous avez une brochette de merveilleux acteurs, dont le rôle « titre » : Gustave, interprété par un Ralph Fiennes, facétieux, très juste dans son interprétation. J’ignore par ailleurs sa filmographie, mille excuses !) et Tony Rivolory (un acteur qui m’est encore plus obscur ; tant pis pour moi : excellent et émouvant dans son rôle de garçon d’hôtel Mustapha Zéro). Tous les autres sont non seulement très célèbres mais très bons.Qu’importe que vous soyez un pépé ou un adolescent, une ménagère de plus de 50 ans ou un play boy, découvrez l’univers de Wes Anderson (il y a toujours le mystère de l’enfance qui traverse les « chapitres ») et ce film, notamment. Je vous dis : « abracadabra ».
Reviewer: Jean Jacques Hanet
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Un « petit » bijou !
Review: Que Stefan Zweig ait produit, à son époque, des écrits qui sont exploités dans ce film, est déjà une surprise. Mais ce qui est le plus surprenant, c’est le fait de retrouver nombre d’acteurs très connus, dans des rôles qui ne leur sont pas habituels. Entre autres, Amalric, en pseudo-méchant; Brody, lui, en vrai méchant; et tous les autres: amusez-vous à les reconnaître tout le long du film !!! c’est un vrai régal !L’époque du film, pour la partie narrative, c’est-à-dire l’entre-deux guerres, est fort bien retracée, et la montée des nationalismes de cette période y est rapportée sans jamais nommer qui que ce soit de tristement connu; mais les évidences sautent aux yeux. C’est là que Zweig transparaît.
Reviewer: Mouillaud Gerard
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Du très bon cinéma
Review: Un scénario original, des images réfléchies (tonalités, graphisme,…), la musique qui faut, des dialogues au poil, des acteurs maîtrisés… bref un tout réussi. La musique de Desplat est dans la lignée de celle pour « Moonrise kingdom » même si pour ce dernier je trouvais une rupture de style extraordinaire sur son œuvre passée et, à mon avis, un peu supérieure et qui, elle, aurait méritée un Oscar !Je ne peux m’empêcher de voir dans la mise en scène de ces deux films la grande influence de Jean-Pierre Jeunet et Caro dans la réalisation de ce film : je pense à « Delicatessen » et à « La cité des enfants perdus ».
Reviewer: stallaert alan
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: EXCELLENT
Review: A voir, à revoir et à re revoir, on ne s’en lasse pas, c’est comme un de ces sublimes gâteaux qu’ils dégustent dans le film. Une qualité et une noblesse mise à l’épreuve de la vulgarité et à la dure hypocrisie de notre modernité pour laquelle on tente de nous faire croire que le beau est moche et que ce qui pue sent bon. Psscht Psscht, un peu d’eau de Panache s’il vous plait.Alan S.
Reviewer: Vilcoyote Bîp-bîp m’a tuER
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: Abandonné au bout de 10 mn… entre perplexité et déception
Review: Visuellement, c’est particulièrement soigné ; les décors, les costumes, l’esthétique des personnages forment un ensemble coloré et atypique plutôt jubilatoire.C’était initialement cet aspect théâtral qui avait piqué mon intérêt. Ça et la promesse d’une intrigue mêlant enquête décalée et univers à l’élégance tragi-comique.La triste réalité d’un monologue initial qui m’a semblé chiantissime, s’est chargé de doucher mon enthousiasme.La platitude des dialogues qui ont suivi m’a alors laissée perplexe. J’y ai senti un désir d’absurdité à l’entrain forcé aussi subtil qu’une brique. Cela ne m’a guère fait rire ni même sourire de gêne.Bref, ce film et moi n’étions pas faits l’un pour l’autre.
Reviewer: Jeephers
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Unique movie, never been able to find this on streaming for free. I finally broke down and bought it. The movie is not as humorous as the trailers made it look but it’s quite usual. There’s so many well known actors in it that I wasn’t aware of. DVD worked well and arrived quick.
Reviewer: Roman García
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: No sé qué version les llegó a algunos, pero a mí fue precisamente la de la foto del artículo, es decir la importada lanzada el 17 de Junio del 2014, lo digo porque sí viene doblaje español latino, soy de México, de hecho el europeo no figura, y eso que maneja varios doblajes que no se mencionan en la parte trasera de la caja, estaba resignado entonces a tratar de disfrutarla como viniera y mi sorpresa fue mucha =) lo curioso es que en la cartulina del código de descarga digital aparece el año 2021 Movies Anywhere, en fin. Llegó sin slipcover aunque la verdad ni lo esperaba. 5 estrellas.
Reviewer: Cliente Amazon
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Wes Anderson può piacere o meno ma la sua genialità nell’organizzare le scene (frutto di uno studio attento e maniacale) e i personaggi che crea e sviluppa, beh solo questo vale l’acquisto. Tutti da vedere e rivedere, ad ogni visione si colgono particolari e nuovi dettagli. Consiglio sempre le versioni con più contenuti speciali possibile, sempre interessanti per apprezzare il lavoro del regista.
Reviewer: MoGo
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: The uber-stylised film aesthetic of Wes Anderson finds its culmination in this film. An absolutely entertaining movie but then this is Wes Anderson we are talking about. A galaxy of Hollywood and British film stars makes this movie truly sparkling. The plot borders on fantasy and that’s what good stories are made of. The young Zero Mustafa especially stands out for his portrayal. Ralph Fiennes is Ralph Fiennes. And good luck with trying to spot Tilda Swinton.I have one thing to say for this film: DON’T MISS IT!The DVD was carefully packaged and arrived before time so kudos to Amazon for that.
Reviewer: Cjbevan
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: This was a film that offered the promise that is all too seldom kept; an ensemble cast , a picturesque location, a peculiar plot. Normally such films, such as those by Gilliam, fail to deliver this promise. This may have succeeded.It take place in a fictional central European state called Zubrowka, which is Polish word meaning ‘bison grass’ or ‘sweet grass’; and is also the name of a vodka, flavoured with the same . The style of the film represents an old vision of central Europe; the Austro-Hungarian uniforms, the architecture, and the sub-alpine scenery. The names are a mixture of Slavic, German, French, Italian, Yiddish and Ottoman.The story unfolds in a series of images and ideas calculated to speak of the passing of time. Nostalgia, poignancy, grief, loss, death, and destruction leave the survivors weathered and changed by the processes of time.The initial image is a monument covered with tokens of faith. The next is an old shabby hotel, with faded, dated, shabby looking furnishings, obviously imposed anachronistically over an even more ancient style of building, equally or even more shabby in the old traces of its former splendour. A vast building, it is almost empty, emphasising just how neglected it is, with its handful of solitary visitors and scarce staff. As the young author goes about, the incongruity of the outdated style of the bath house with its communal baths clashes with the faded upholstery, displaying how just how time has changed customs and habits and expectations.The narrative is about the concierge whose talent is not just to manage the front of desk for the hotel, but in particular to charm and it transpires, to seduce, wealthy dowagers, and thus ensure their faithful patronage. He reassures them of their past glories, of their remaining beauty and status, and so cultivates their affections. It is presented partly as a practical way for him to get laid, and partly as an act of altruism, of compassion to the aging, the lonely, and the insecure; of a connoisseur of humanity appreciating the finer points and subtle nuances of society. It is all consistently a work of hospitality; the perfect host putting his guests at ease, accommodating them, and showing them joy. He is the perfect host; perceptive, conscientious, discrete.The new lobby boy, Zero, turns out to be a refugee, from the killing of his family and the destruction of his village, and this pattern is repeated throughout; it is a motif that all the characters, and thus we, are like refuges from the destructions of our pasts. The Crossed Keys society of concierges therefore helps one another out in the mission to aid refugees in their flight from destruction, and their comfort in the present, and their plans for the journey ahead. The concierges are the perfect facilitators, helping, abetting, aiding, invisibly, convinced of the purpose of their unknown missions, the anonymous requests that come to them.Throughout there is this sense of purpose of people helping each other, openly or clandestinely, legally or illegally, and pervading all, the love stories; friendship, romance, marriage, comradeship, patronage, fidelity, which motivate and sustain and resource and empathise with each story of help.Human life is described a series of loves and helps, which give purpose and meaning and relish and colour to life. Without them, life dies, losing its meaning. But all these things pass, and what we are left with the memory. The wise will remember with humility, gratitude and good humour, hence the comedy, but also the aching poignancy of the film. All things pass, and we remain, for God has put eternity into our hearts, but none can understand what he has done from beginning to end.