Minority Report [Combo Blu-Ray + DVD-Édition Limitée boîtier SteelBook] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
DVD et Blu-ray > Films
Edition à tirage limité en boîtier SteelBook
Contient :
– le Blu-ray et le DVD du film
Transfer supervisé et approuvé par Steven Spielberg
Rapport de forme : 2.40:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Classé : Accord parental souhaité
Dimensions du colis : 21 x 20,8 x 5,2 cm; 281,23 grammes
Référence constructeur : br93
Réalisateur : Steven Spielberg
Format : Blu-ray
Durée : 2 heures et 25 minutes
Date de sortie : 28 avril 2010
Acteurs : Tom Cruise, Colin Farrell, Samantha Morton, Max von Sydow, Kathryn Morris
Sous-titres : : Hongrois, Portugais, Anglais, Néerlandais, Français, Serbe, Roumain, Polonais, Turc, Tchèque, Allemand
Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Turc (Dolby Digital 2.0), Hongrois (Dolby Digital 5.1), Allemand (DTS 5.1), Tchèque (Dolby Digital 2.0), Français (DTS 5.1), Polonais (Dolby Digital 5.1)
Studio : Fox Pathé Europa
ASIN : B0037QGE2C
Nombre de disques : 2
Prix : 19,99 €
(à partir de Jun 02, 2025 12:26:35 UTC – Details)
AJOUTER AU PANIER
Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: TomBZH
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: minority report
Review: Le film se déroule à Washington en 2054. Il s’ouvre sur John Anderton, le chef de l’organisation gouvernementale expérimentale Précrime qui existe depuis 6 ans. Il a rejoint cette unité à la suite de la disparition de son fils, juste quelques mois après le début de Précrime.Dans cette première scène, son équipe est en train d’appréhender un suspect. On découvre qu’à cette époque on parvient à prédire les crimes à l’aide de précogs (abréviation de précognitifs, « qui ont la capacité de voir l’avenir ») : trois humains en état de stase, préservés au cœur du siège de Précrime, fournissent de manière explicite l’heure du méfait, le nom de l’agresseur et le nom de la victime. Tous les autres aspects du crime (notamment le lieu) ne peuvent être obtenus qu’en décryptant de maigres indices dans les images relayées par les cerveaux des précogs.Anderton est depuis quelque temps supervisé par Danny Witwer, un agent du Ministère de la Justice envoyé pour évaluer le système car les Américains vont bientôt être consultés par référendum pour étendre à tout le pays le programme Précrime, uniquement utilisé à Washington.Après l’intervention et le placement en état de stase du pré-criminel, Anderton retourne dans son appartement et y regarde des vidéos holographiques de son fils de six ans. Il devient évident, dans l’esprit du spectateur, que celui-ci est décédé et que l’agent vit désormais seul.Le lendemain, Witwer visite la salle où les trois précogs reposent dans un bassin rempli d’une substance translucide. Anderton, en retrait, est apostrophé par l’un des précogs, Agatha, qui émerge de l’eau et lui montre des images d’une femme en train d’être assassinée. Intrigué des circonstances inhabituelles de révélation et du fait qu’un seul des trois précogs a eu une vision, Anderton enquête.Les précogs peuvent avoir des réminiscences d’affaires intervenues plusieurs années plus tôt (les « échos »). Comme un seul précog a eu cette vision, il suppose qu’il s’agit d’une vieille affaire. Il retrouve effectivement la tentative d’assassinat en question. Elle date de six ans, avant son arrivée à l’agence, et a été une des toutes premières traitées par Précrime. Il s’agit de la tentative de meurtre par noyade d’une certaine Anne Lively (bien sûr sauvée sur le coup ; mais n’ayant plus donné de signe de vie depuis quelques années et donc portée disparue). Les images des deux autres précogs sont enregistrées. Mais celles d’Agatha, a priori la plus fiable du trio (elle a souvent les visions avant les autres), n’existent pas pour cette affaire : elles semblent avoir été effacées. En vérifiant, il constate que 12 autres cas de meurtres sont incomplets. Anderton prévient alors le richissime créateur de la cellule Lamar Burgess, en qui il a toute confiance. Celui-ci n’apparaît pas inquiet par ces absences. L’agent retourne donc à son travail.Un nouveau meurtre va avoir lieu dans trente-six heures. La victime s’appelle Léo Crow. Mais en récupérant le nom du meurtrier, Anderton voit qu’il s’agit de lui-même. Sachant qu’il va être capturé, il s’enfuit. Anderton n’a jamais rencontré ce Léo Crow et croit à un faux monté par Witwer pour discréditer le système, il parvient alors à contacter discrètement Lamar Burgess. Celui-ci l’assure de sa confiance mais lui indique qu’il est absolument impossible de trafiquer les visions des précogs. Parvenu à semer ses anciens collègues lancés à sa poursuite, mais sceptique, John décide de se réfugier dans la maison d’Iris Hindeman, cofondatrice de Précrime avec Lamar Burgess, mais retirée de la vie publique. La vieille dame lui révèle qu’il peut bel et bien arriver qu’un précog ait une vision de l’avenir un peu différente de celle de ses camarades (ce qui correspond aux 13 cas mentionnés) mais que, par souci de crédibilité, le système exclut alors la vision discordante et l’efface ! Toutefois, une trace de cette vision demeure présente dans l’esprit d’Agatha, la plus forte des précogs. Elle confirme n’être pas certaine que les meurtres auraient bien eu lieu dans ces cas de « rapport minoritaire ». Mis au courant de ce secret jusqu’ici connu des seuls Burgess et Hindeman, Anderton se met à douter pour la première fois d’un système en qui il voue une confiance absolue depuis six ans. Il y voit aussi sa seule chance de prouver son innocence : dans la récupération d’un « rapport minoritaire » de la prédiction le concernant, rapport qui aurait été ignoré par le système.En 2054, il est difficile de se déplacer incognito car toutes les personnes sont soumises à des scanners rétiniens (pour la personnalisation des messages publicitaires audios par exemple). Pour échapper à toute identification, Anderton va se faire transplanter de nouveaux yeux chez un chirurgien clandestin. Alors qu’il dort pour récupérer de l’opération le temps que ses greffes prennent, l’agent rêve d’un souvenir : on apprend alors que son fils a été enlevé. Il se réveille et découvre que des agents de Précrime sont en train de fouiller le bâtiment où il se trouve. En quête du fugitif, l’équipe sur place déploie de petites araignées robotiques intelligentes chargées de scanner les yeux de tous les êtres humains à leur portée. Ayant retrouvé Anderton, celles-ci cherchent à l’identifier mais, du fait de l’opération chirurgicale, ne le reconnaissent pas.Anderton se rend à Précrime où il arrive à pénétrer, en plaçant devant les multiples scanners d’identification rétinienne ses anciens yeux qu’il a conservés. Parvenu au cœur du bâtiment, il sort Agatha de son bassin, déconnectant ainsi le réseau de précogs qui fait fonctionner Précrime. Il s’échappe en embarquant avec lui la précognitive, et va trouver un de ses amis hacker qui scanne la mémoire d’Agatha : Anderton accède ainsi à la vision du meurtre qu’il est censé commettre. Toutefois, la vision est identique à celle qui avait été sélectionnée par le système : il n’existe pas de « rapport minoritaire » pour son cas, et il sera bien amené à tuer Léo Crow.Anderton est déterminé à ne pas commettre ce meurtre de ce pur inconnu. Mais, pour échapper à la police qui le traque, une série de péripéties va le contraindre à trouver refuge… dans l’appartement de Léo Crow. En fouillant ce dernier, Anderton y trouve quantité de photos d’enfants éparpillées et, parmi elles, certaines de son fils. L’idée qu’il n’y a pas de « rapport minoritaire » pour son crime s’affirme : il a toujours prémédité la mort du ravisseur de son fils si jamais il le découvrait, et Leo Crow s’avère être celui-ci. Il décide donc de le tuer.Sommé par Agatha (qu’il a emmenée avec lui) de réfléchir, Anderton reconsidère son envie de meurtre et décide simplement d’arrêter Crow. Il lui annonce ses droits Miranda. C’est alors que Crow annonce que s’il n’est pas tué, sa famille n’aura rien. Anderton comprend que tout cela était donc une mise en scène. Crow parvient à accrocher le pistolet d’Anderton et se suicide par police interposée en appuyant sur la main de l’agent. Anderton et Agatha quittent alors l’appartement : au courant de la prédiction, les agents de Précrime, orphelin de leur chef, n’ont en effet pas réussi à localiser assez rapidement le lieu pour empêcher le meurtre.Pendant ce temps, Witwer visite Lamar Burgess et l’entretient de ses doutes sur la fiabilité du système. Il lui montre les rapports concernant le meurtre d’Anne Lively, qui intriguait Anderton et sur lequel il a aussi enquêté : le « rapport minoritaire » d’Agatha et le rapport majoritaire des deux autres précogs. Il a remarqué des différences qui tendent à prouver que les deux visions ne datent pas du même moment : le meurtre étant commis près d’un lac, on peut remarquer que d’une version à l’autre, les ondulations de l’eau ne vont pas dans le même sens. À cet instant, Lamar Burgess tue Witwer, sans raisons apparentes. En l’absence d’Agatha, le Précrime n’a pas pu prédire ce meurtre. Lamar Burgess peut faire disparaître le corps sans être inquiété.Anderton s’est réfugié avec Agatha dans la maison de son ex-femme Lara et il comprend pourquoi il est l’objet de manipulations : la femme Anne Lively dont il a vu le meurtre n’est autre que la mère d’Agatha. Celle-ci tentait de récupérer sa fille, utilisée comme précog ; on l’a donc assassinée pour le bien du programme. Le mécanisme choisi est particulièrement subtil : l’assassin a engagé un premier tueur pour commettre une tentative de meurtre par noyade. Bien sûr repéré par la vision des deux précogs, Précrime était intervenu pour sauver Anne Lively. Mais quelques minutes plus tard, un second tueur était parvenu sur les lieux du crime, et avait reproduit la scène avec le même mode opératoire : les deux premiers précogs ont prévu ce second meurtre, mais les opérateurs ne remarquent pas les minuscules différences (le sens des vagues par exemple) et ont logiquement pensé qu’il ne s’agissait que d’un écho, classé sans suite. Agatha (sentant le peu de motivation de ce premier tueur à noyer sa victime) avait elle fait un rapport minoritaire sur la vraie tentative. Mais ignorant jusqu’à l’existence de ces rapports minoritaires inaccessibles, les opérateurs classent là aussi cette vraie vision comme écho, sans suite. Le meurtre avait ainsi bien pu avoir lieu, en toute impunité.La police intervient à ce moment et arrête Anderton. Elle récupère Agatha qui est immédiatement remise en service. Plus tard, Lara s’entretient avec Lamar Burgess au sujet du meurtre d’Anne Lively. Elle comprend que, désireux de ne pas compromettre Précrime en rendant Agatha à sa mère, c’est lui qui en a été l’instigateur, peut-être même le second meurtrier. Elle parvient à libérer son ex-mari. Anderton se rend à la rencontre de Lamar Burgess et le confronte à son crime. Fou de rage en pensant que ces aveux vont ruiner sa carrière, Lamar Burgess décide de tuer son ex-ami Anderton, vision détectée par les précogs remis en service. Juste avant que la police n’intervienne, Anderton, alors qu’il se trouve sous la menace du pistolet de Burgess, lui indique alors que sa carrière est d’ores et déjà ruinée : s’il le tue, les précogs ont raison, Précrime est fiable… mais Burgess finira sa vie enfermé. S’il renonce, le système s’est trompé et Précrime sera immédiatement arrêté. Perturbé par cette contradiction insoluble Burgess se suicide. Pour la première fois en six ans, les précogs se sont trompés.Dans la séquence finale, Anderton explique que l’expérience Précrime est arrêtée et que tous les précriminels ont été libérés sans condition. Les précogs ont été mis au secret et vivent une vie normale. Anderton s’est réconcilié avec Lara qui est enceinte…
Reviewer: loren cox
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Impeccable
Review: Livraison rapide état impeccable
Reviewer: esmeralda
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: bon film
Review: bon film des années 2000 avec tom cruise, un peu cher la location du film mais bon on ne le trouve nulle part donc heureusement d’amazon prime est là
Reviewer: Merci de livrer mon colis, au Comptoir d’Eric, rue Antonin Paris, 30250 Sommières
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Excellent documentaire !
Review: Minority report : Le rapport minoritaire n’est pas à voir comme un simple film, mais comme un documentaire. 😉
Reviewer: ALM
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: À voir
Review: Qu’on aime ou pas Tom Cruise, le film est excellent, un must, même. Les limites de la répression et du profit fait sur cette répression sont questionnés, sans que l’ambiance » action » s’en trouve amoindrie. J’adore
Reviewer: Amazon clientèle
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: VF
Review: Pas de VFQue la VO
Reviewer: Thomas
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Un film très bien pensé
Review: Un très beau film, le scénario est complexe et demandera peut-être plusieurs visionnage (ou Wikipédia ! xD) pour être compris, cela jouant sur le passé, le présent et le futur.Et sur les doubles.Mais en dehors de cela, l’ambiance est magnifique et les personnages sont attachants.A posséder !
Reviewer: Ditchovitch
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: le blu ray respectueux du film
Review: Inutile de revenir outre mesure sur la qualité du film en lui même. Ce grand film de SF méritait amplement son passage au format blu ray que ses admirateurs devaient attendre avec impatience.D’emblée il convient de préciser que la version HD du blu ray a été validée par Spielberg lui-même et qu’elle est issue d’un tout nouveau master 4K. Autant dire que la critique n’est dès lors pas aisée. Rappelons nous de l’image que nous avions vue au cinéma où Minority Report, l’air de rien avait un cachet particulier : Une image assez granuleuse, un effet de halo sur de nombreuses scènes, une surexposition régulière (contre jour) rendant une image souvent veloutée et très stylée et enfin une colorimétrie désaturée. Et bien, tous ces choix artistiques ont été parfaitement respectés pour le passage au format HD du blu ray. Du coup bien sûr, le grain volontaire est bien présent et visible sur la quasi totalité des images de même que la nature originelle veloutée de l’image. Cette image là risque peut-être de ne pas plaire aux détracteurs du grain et les amateurs d’images clinquantes risquent de ne pas être convaincus par la patine de certaines images. C’est pourtant comme cela que le film doit être vu sous peine d’être complètement dénaturé. Toutefois, il faudra vous accomoder de multiples petits points blancs assez présents sur plusieurs passages et l’une ou l’autre petite pétouille étrangement encore visibles sur le transfert (effet de style ou pellicule mal nettoyée?). Pour le reste, il n’y a pas réellement de sujet à polémique, l’image est clairement HD avec une extrême précision, un excellent piqué et des contours parfaitement dessinés. Certains plans sont détaillés à la limite du relief et la profondeur de champ est le plus souvent enthousiasmante. La colorimétrie désaturée est merveilleusement retranscrite et les scènes sombres, nanties de noirs ultra denses et stables sont parfaitement gérées. Ce transfert HD est vraiment de haut niveau compte tenu du respect du matériaux d’origine, je ne vois donc pas de raison d’enlever une étoile à cette édition surtout compte tenu de ce qui suit.Les encodages audio sont explosifs et précis en DTS pour la VF mais plus encore en DTS HDMA pour la VO.Les somptueux suppléments valident complètement cette édition blu ray avec plus de 3 heures de bonus dont de nombreux en HD.La galette est emballée dans un très beau coffret métallique dans lequel est également fourni le film sur disque DVD. Vous pourrez donc comparez les versions du film pour vous convaincre de l’excellent choix de l’avoir acheté en blu ray.
Reviewer: Barbara. Barron
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: I’ve relished repurchasing this wonderful DVD for my collection, so why have I thought it worth it? It can stay on my shelf for many months, but there will come a time when I want to watch it. So I will rely on my memory of this unusual, poignant and atmospheric performance, of a very strange tale, almost at the limit of imagination, and pulled off so well by all members of the cast and the supporting team. Its plot is exciting, and Tom Cruise takes his acting to another level to pull this off, his desperation at trying not to get caught, is vivid, as is the efforts of his fellow officers to catch him, and the story goes on at breakneck speed, through many landscapes, idyllic countryside and the opposite, the squalor of futuristic city slums, and a wonderful illegal eye transplant, to its ultimate conclusion, a very emotionally satisfying experience. I know that when I pull it off the shelf to review it, I’ll get an experience reminiscent of fine wine, although I’m familiar with the flavour, it’s still a thrilling experience.
Reviewer: Andreas
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Ottimo film di fantascienza – pietra miliare per gli appassionati del genere, ma non senza pecche. Non raggiunge l’apice proprio perché Spielberg sembra quasi compiaciuto di un futuro distopico dove regna sovrano il controllo assoluto delle azioni umane e gli effetti del capitalismo più devastanti, mentre tende a valorizzare l’aspetto più avventuroso. Anni luce quindi da un Blade Runner e per certi versi pure inferiore a Total Recall, essendo del tutto assente ogni possibile tratto ironico. Mi riferisco a questi due film perché ispirati dallo stesso autore, il genio Philip K. Dick.Ciò non di meno Spielberg si conferma maestro dell’uso degli effetti speciali (il film sembra girato ieri e si fa quasi beffa di altre pellicole ben più recenti e con budget quasi altrettanto capienti!) ed anche i gli attori si producono in un’ottima prova recitativa. Anche i più critici di Cruise ammetteranno infatti che per queste parti è l’uomo adatto.Il tutto è sicuramente esaltato dall’ottima qualità tecnica del comparto video. Da 10 e lode.Per l’audio ho optato, per la prima visione, nella superba traccia nativa ING in DTS – HD 5.1 anche perché quella ITA mi è sembrata piuttosto smorta.Tanti contenuti speciali arricchiscono il prodotto finale.Direi voto 8 e 1/2!
Reviewer: Yonah
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Muy buena película, basada en mi opinión la mejor obra de Philip K Dick. Aunque como todo habrá gente a la que le guste esta adaptación de Spielberg y a otros que no. A mí me parece más que correcta, una película con gran ritmo, buenos efectos especiales y buena masterización en blu ray.
Reviewer: cwm
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: I am obsessed with this film. I’ve watched it five times since buying the DVD about a month ago. I confess I haven’t yet checked out the supplemental material, which makes me less qualified to give a review of the complete DVD package. I want to analyze the film itself in deep detail before I watch the filmmakers tell us how they worked their magic.Let me state upfront, also, that I don’t like Tom Cruise and wanted to watch the film only because it was based on a Philip K. Dick story. (I am not a huge science fiction fan but do enjoy Dick’s work; he wasn’t a great writer stylistically but he was a fount of interesting, peculiar and paranoid ideas.) Cruise’s performance is less shallow than usual and doesn’t detract from the viewing experience, which is the highest praise I’m ever likely to give him.Minority Report is flawed, yes, but engaging from start to finish. Chase scenes dominate much of the latter part of the first hour, presumably to give us an adrenaline rush in case we felt the exposition was a bit slow. I find this unnecessary, as the exposition itself is exciting indeed, but on an intellectual level. It was as if Spielberg decided he ought to have some action scenes that he could put into the trailer in hopes of attracting a broader audience. This is primarily a metaphysical story, and–to some degree, especially in the scenes involving the abducted precog, Agatha–an emotional one. (The one line of dialogue retained from the original short story was the remark that the guilt of the pre-criminals was a « metaphysical fact ».)Also, the endless repetition of the lines « Everybody runs » and « Can you see? » seem like transparent attempts to create for the film catch phrases which the producers hoped would, like Schwartzenegger’s « I’ll be back », insinuate themselves into the popular lexicon. But these calculated attempts to improve the film’s box office don’t detract, not too much. The chase scenes, for example, are interesting as they reveal yet more technological wonders we haven’t yet seen in this believable future world.Some spoilers are coming, so stop reading if you haven’t seen the film yet.The murdered-child element was wholly a creation of the screenwriters (Spielberg probably had some input here, too–kids figure prominently in so many of his films) but it adds depth to the story. Though the fact that Crow, Anderton’s predicted victim, isn’t really a pedophile (the whole thing is a set-up, to provoke Anderton into murderous rage) drains away some of the emotional impact. Is Crow torn between wanting to survive while also feeling that maybe he deserves to die? No, it all turns moot.Some material has peculiar resonance for me, but this will not be so for other viewers. I have recurring dreams, ones which have a sped-up feel that looks very much like a DVD on fast-forward (and not entirely dissimilar to the look-and-feel of the precog’s visions), in which I am a slave being tortured. (Think it’s time for me to find another job?) The way the pre-criminals are held in the containment facility–with their bodies in stasis, but their minds « busy busy busy » as the jailkeeper says–reminds me strikingly of those dreams.Spielberg’s films always have happy endings, and this is no exception. Cruise’s resurrection is inconsistent with the impression given before, that « haloing » is permanent, but at least we have the satisfaction of seeing the villain get his comeuppance.This isn’t an action film. Philosophical and religious themes abound in Philip K. Dick’s stories. This is the first Hollywood movie to truly reflect Dick’s vision, a film which can rightfully claim to be an adapation of his narratives rather than–like Blade Runner and Total Recall, not bad films but not great either–merely « inspired by » them. Of course the film is much more detailed than the short story, but this is one of those rare cases where the original is improved upon. Those characters which were added by the screenwriters were added for good reasons, ones which advance the plot. Many here at amazon have criticized the art direction; I say it’s superb. Notice the repetition of underwater sequences–the pool where Anderton loses his son, the freezing bathtub where he hides from the spyders, the murder of Anne Lively…even the Fox logo at the beginning looks underwater, and has the same pale blue glassy look as the computer systems seen throughout.
Reviewer: Mike
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Minority Report is one of the best ‘real’ science fiction movies of all time; by ‘real sci-fi’ I mean a film that looks intelligently at the world of tomorrow and asks thought-provoking questions, rather than simply blowing up spaceships. This is hardly surprising since it’s based on a short story by the philosophical sci-fi novelist Philip K. Dick, whose works were the inspiration for the equally brilliant Blade Runner and the distinctly daft Total Recall, amongst others. The set-up here is that three ‘Pre-Cogs’ are able to see murders before they take place, allowing Pre-Crime officers to arrest killers before they can commit the crime. Tom Cruise is the poster boy Pre-Crime cop who has secretly become a drug addict following the abduction of his son, Max von Sydow is the boss of Pre-Crime who will do anything to expand the experiment across the whole of the US, and Colin Farrell is the hotshot Attorney General agent trying to find flaws in the Pre-Crime system. When the Pre-Cogs predict that Cruise himself is going to commit a murder he is forced to go on the run. As he tries to find proof that he is not a future murderer he encounters various weird and wonderful characters and ultimately discovers that Pre-Crime is not the infallible system he thought it was.Minority Report is brilliant in every regard from script to acting and from design to visual effects, all expertly marshalled by Steven Spielberg who skilfully combines the intricate, intelligent plot with dramatic action sequences. Cruise has never been better and the supporting cast is also superb, with Samantha Morton especially excellent as the Pre-Cog Agatha. There are also some really creepy sequences, such as the spyders and the eye surgeon. My only gripe is the way Cruise has to explain what has been going on rather than allowing the audience to work things out for themselves.The film looks and sounds fantastic on Blu Ray, but I have some minor gripes about the bonus features. The good news is that all the material from the previous DVD release has been carried over, though bizarrely while you can pause these featurettes you cannot scan forwards or backwards, so if you miss something that someone has said you’ll have to start from the beginning! There are some very good new retrospective documentaries looking at the life of Philip K. Dick, the props, and the real world application of the movement-controlled computer interface. There is also some behind the scenes and previz footage from various key action sequences. One featurette I could have done without though is the Pre-Crime ‘mockumentary’.Aside from not being to the control the old DVD extras this is an excellent collection of bonus material, but when you first click on ‘Extras’ the first option you see is an ‘interactive’ interview with Steven Spielberg. The interview runs for 34 minutes but along the way you have the option to watch various related interviews and photo montages and it took me a good couple of hours to get through everything. Then, to my dismay, I discovered that *everything* here is included in the other bonus material on the disc, apart from a few seconds of the Spielberg interview. In fact the vast majority of the disc’s bonus material can actually be watched via the rather cumbersome interactive pop-ups. I would suggest that you watch the Spielberg interview but don’t brother with the pop-ups, and then watch all the bonus material separately.Minority Report is a brilliant film and aside from some niggles about the bonus features this is an excellent Blu Ray and absolute must-buy for any sci-fi movie fan.