sans Laisser d’adresse
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Sans laisser d’adresse, 1 DVD, 85 minutes
Rapport de forme : 1.33:1
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Numéro du modèle de l’article : 3330240073036
Réalisateur : Jean-Paul Le Chanois
Format : Noir et blanc, PAL, Plein écran
Durée : 1 heure et 25 minutes
Date de sortie : 9 mars 2006
Acteurs : Bernard Blier, Danièle Delorme, Pierre Trabaud, Julien Carette, France Roche
Doublé : : Français
Langue : Français (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio : René Chateau
ASIN : B000E5OAVQ
Pays d’origine : France
Nombre de disques : 1
Prix : 11,95 €
(à partir de May 31, 2025 02:35:20 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Chauvet Sheppard Moni
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Beaucoup d’étoiles pour tous
Review: Simplement recommander ce film : pour une douce soirée . Sans autre commentaire,car d’autres personnes ont longuement et si bien partagé mes idées avant 🌻🤗 . MERCI.
Reviewer: JGx
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Paris, années 50
Review: Le film de Jean-Paul Le Chanois date de 1951 et est assez représentatif du cinéma de juste après-guerre où les héros sont pris dans la « classe laborieuse » dont le scénario prend une tranche de vie dans une journée ordinaire qui finit par devenir extraordinaire.Ici, c’est 24 heures de la vie d’un taxi qui prend en charge une jeune femme provinciale débarquée à la Gare de Lyon dans l’attente de son amant qui n’arrive pas. On découvrira peu à peu que ce n’est pas que son amant mais aussi le père de son enfant. Le fil rouge du film sera la recherche de cet homme d’adresse en adresse à laquelle le chauffeur de taxi, attendri par la jeune femme complètement paumée et sans un sou, se prête complaisamment.Là, il y a deux façons de voir le film.Si on analyse froidement les éléments du scénario, on peut aligner les (nombreuses) invraisemblances ou les approximations voire même des longueurs qui n’apportent rien et conclure que le film ne tient pas la route et les personnages pas trop crédibles.Maintenant, si on accepte de se laisser embarquer dans cette quête lyrique où le cinéaste se complait à montrer que Paris est une très grande ville mais qui est composée d’une myriade de gens qui ont une âme et un cœur, alors on oublie les invraisemblances ou les approximations et on suit avec fébrilité cette successions de situations en se demandant comment cela finira.La jeune femme n’a pas assez d’argent pour payer le taxi ? Qu’à cela ne tienne, celui qu’elle veut retrouver paiera bien la différence.Elle ne connait pas Paris ? Qu »à cela ne tienne, le taxi se colle derrière un bus pleins de touristes de sorte à écouter le guide raconter n’importe quoi (que le Louvre fut l’ancien siège du ministère des finances …). Elle ne peut pas profiter du spectacle ? Qu’à cela ne tienne, il suffit de décapoter le taxi. On passe d’une adresse à l’autre, d’un lieu de travail (la rédaction d’un journal) à un autre (un cabaret à Saint-Germain des Près où comme par hasard on voit chanter Juliette Gréco très en faveur à cette époque).Et quand pour finir, rien ne va plus car on n’a toujours pas trouvé l’huluberlu qui semble insaisissable alors que tout le monde semble l’avoir vu l’instant d’avant, c’est carrément tous les collègues du taxi qui sont mis à contribution.Ce que je retiens du film, c’est l’immarcescible optimisme du cinéaste où il y a toujours une solution à toutes les situations alors qu’en toile de fond on voit la vraie vie (populaire) entre la prostituée fatiguée qui rentre chez elle et l’ouvrier qui finit sa journée avec amertume car il sait qu’il ne sera pas payé.Mais parlons aussi du casting avec un Bernard Blier en chauffeur de taxi, râleur, syndiqué, bougon mais le cœur sur la main. Il aime bien les pourboires mais il les dépense pour venir en aide à la jeune femme. Il se laisse attendrir pour remplacer le collègue qui a un rendez-vous avec la future femme de sa vie. Et quand il rentre à pas d’heure chez lui, c’est pour apprendre que sa femme est en train d’accoucher. Quelle journée !Et la jeune femme, c’est Danièle Delorme dans un rôle de femme ingénue et volontaire mais fragile et complètement paumée : je comprends que ces adjectifs ne sont pas compatibles entre eux mais le film montre tour à tour ces différents aspects de son personnage. Comme si elle vivait un rêve éveillé qui pourrait bien tourner au cauchemar si elle n’avait pas son ange gardien, le chauffeur de taxi.Un autre intérêt (mineur, cette fois) du film c’est de chercher à découvrir les grands noms ou futurs grands noms qui jouent les figurants ou de tous petits rôles : Simone Signoret, de Funès (chevelu), Michel Piccoli (j’ai failli le louper), Pierre Mondy, Gérard Oury, Michel Etcheverry, Julien Carrette, Pierre Trabaud, etc …
Reviewer: DANIEL MAURICE
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: C’ETAIT PARIS ET LE PETITES GENS.
Review: Un PARIS qui n’existe plus. Un peuple ‘populaire’ qui n’existe plus. Dommage. Nostalgie quand tu nous tiens. De même, des Acteurs tel Bernard BLIER, il y en n’a plus de nos jours.
Reviewer: L’éternel sourire
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Rôle positif pour Bernard Blier
Review: Ce DVD permet à Bernard Blier de tenir un rôle positif, celui d’un brave type, chauffeur de taxi, dans le Paris d’après-guerre. Pas une intrigue policière, mais plutôt un drame de mœurs proche du mélo.
Reviewer: Client d’Amazon
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Parfait
Review: Merci.
Reviewer: Habryn Stanislas
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Sans laisser d’adresse (DVD)
Review: Très beau film avec Bernard Blier et Danièle Delorme.Une jeune fille prend un taxi conduit par B.Blier etpart à la recherche du père de son enfant…Recommandé.
Reviewer: ERIC HALLIENNE
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: chauffeur sympa
Review: Emile (Bernard Blier) a fini sa journée de chauffeur de taxi salarié. Un de ses copains (Pierre Trabaud) lui demande de le remplacer pour quelques heures, il renacle puis accepte. A la gare de Lyon, il voit une jeune fille un peu perdue, il la prend en charge. Elle cherche un certain Forestier, arrive directement de Chambéry et le jeu de piste commence. En effet Thérèse (Danièle Delorme) le cherche pour lui présenter leur enfant, un petit bébé. Brave homme, Emile l’aide dans ses recherches, car ce Forestier est un journaliste toujours en vadrouille. A son journal Catherine (France Roche) compatit mais ne peut les aider . De plus on comprend vite que le père de l’enfant de Thérèse, ce fameux Forestier dont tout le monde parle, doit être un sacré coureur de jupons. La note de la course de taxi s’allonge, Emile préfère arrêter le compteur. Ils se retrouvent dans un club de St Germain des prés où Juliette Gréco (qui a encore son nez) chante « la fiancée du prestidigitateur ». Mais point de Forestier. Cette nuit, la femme d’Emile accouche d’une petite fille, il est heureux puis s’inquiète de l’avenir de Thérèse désemparée dans la nuit parisienne…Pas de panique : il y aura un happy end.Blier est excellent dans ce rôle de taxi un peu râleur mais tellement humain. Et Danièle Delorme est belle dans sa tristesse des espoirs déçus. C’est un joli mélo en noir et blanc dans le Paris nocturne de 1951 agréable à suivre . DVD sans bonus non chapitré.
