Action et aventure

La Valse de L’empereur [Blu-Ray + Livret] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon

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Nouveau master Haute Définition
Contient :
– le Blu-ray du film
– un livret de 28 pages par Marc Toullec
Boîtier Blu-ray avec fourreau

Rapport de forme ‏ : ‎ 1.37:1
Classé ‏ : ‎ Tous publics
Référence constructeur ‏ : ‎ 223651
Réalisateur ‏ : ‎ Billy Wilder
Format ‏ : ‎ Blu-ray
Durée ‏ : ‎ 1 heure et 45 minutes
Date de sortie ‏ : ‎ 19 novembre 2019
Acteurs ‏ : ‎ Bing Crosby, Joan Fontaine, Roland Culver, Lucile Watson, Richard Haydn
Doublé : ‏ : ‎ Anglais, Français
Sous-titres : ‏ : ‎ Français
Langue ‏ : ‎ Anglais (DTS-HD 2.0), Français (DTS-HD 2.0)
Studio  ‏ : ‎ Rimini Editions
ASIN ‏ : ‎ B07WWB58LH
Pays d’origine ‏ : ‎ France
Nombre de disques ‏ : ‎ 1
Prix : 11,88 €
(à partir de Jun 04, 2025 00:01:56 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: Jean France
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Excellent
Review: Ne pas se méprendre : derrière la comédie musicale qui fait revivre l’empire Autrichien de François Joseph, il s’agit en fait de montrer la fin d’une société mesquine qui plongera plus tard dans le nazisme. Comme le disait l’auteur de ce film Billy Wilder : « Je suis un pessimiste: les optimistes sont morts en camp de concentration et les pessimistes ont un villa avec piscine à Beverley Hills »
Reviewer: Carmen
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: « Joyeuse allégresse », oui, mais pas seulement, loin s’en faut.
Review: En quatrième de couverture du coffret contenant ce film réalisé en 1947 par Billy Wilder, on lit ceci : »Préférant le noir et blanc, Billy Wilder signe ici son premier film en couleur et fait valser Bing Crosby et Joan Fontaine sur « Le beau Danube bleu ». LA VALSE DE L’EMPEREUR virevolte alors autour d’une douce romance et laisse s’échapper une joyeuse allégresse. Un vrai bonheur pour tout âge ».Pléonasme mis à part car il est rare que l’allégresse soit triste…, cette présentation commerciale de petite boutique est inepte tant elle est sotte et réductrice.Si ce film de Billy Wilder n’est pas un chef d’œuvre, il n’est pas non plus une œuvre mineure ainsi que le dit justement l’excellent Noël Simsolo dans un supplément que je conseille de regarder après avoir vu le film afin que la découverte, pour les admirateurs et connaisseurs de l’un des maîtres du cinéma américain, soit faite « sans explication de texte ».Samuel dit Billy Wilder, juif né en 1906 dans l’empire austro-hongrois (son lieu de naissance fait maintenant partie de la Pologne mais c’était avant Yalta), tôt emmené par ses parents à Vienne, qu’il quittera pour Paris à l’heure de l’Anschluss avant d’émigrer, à temps, vers les États-Unis d’Amérique, n’a jamais eu le registre de la « romance » pour registre d’élection : hors ses films noirs, aucune de ses comédies, même les plus sentimentales en apparence (Sabrina, Ariane) n’en relève.Il y a toujours chez lui l’acuité extrême d’un regard lucide porté sur la comédie humaine, jamais méchant ni amer ni tragiquement désenchanté mais oscillant entre l’humour corrosif, l’ironie et le sarcasme ; de cette comédie humaine il était un observateur aussi intelligent mais plus pessimiste que Frank Capra, et puis il avait bu à la coupe de « l’insoutenable légèreté de l’être » que lui avait tendue Ernst Lubitsch dont il fut un brillant collaborateur (La huitième femme de Barbe-Bleue notamment) et dont il disait qu’il était le seul Dieu en qui il croyait…Ainsi cette comédie n’est-elle pas une romance au sens du propos ci-dessus reproduit, même si elle en a les couleurs et la tonalité sur fond de valses viennoises dansées sous les ors et la pourpre du palais impérial. Pas davantage n’est-elle une comédie musicale bien que Bing Crosby y chante quelques jolies ritournelles, y compris en arpentant le Tyrol en costume local et en yodelisant de concert avec la population du cru, séquence surréaliste et à se tordre.L’argument de cette comédie permet à Billy Wilder de tourner en dérision les conventions sociales et les préjugés fossilisés dans un monde qui ne se sait pas encore au bord du gouffre, le vieil empereur François-Joseph (Richard Haydn) veut adopter des chiots pour se consoler d’avoir perdu son épouse et son fils, ces chiots doivent bien sûr être d’une lignée aristocratique, alors il demande à la comtesse Johanna Franziska Von Stulzenberg (Joan Fontaine) de « fiancer » Shéhérazade, sa demoiselle caniche ridiculement pomponnée et enrubannée, avec l’un des étalons de son impérial chenil, cependant que Virgil Smith (Bing Crosby), voyageur de commerce américain venu à Vienne pour promouvoir en haut lieu la vente du dernier cri de la modernité « made in USA », un phonographe, débarque dans le décor flanqué de son chien nommé Buttons, un sympathique bâtard, copie conforme de l’icône de la « voix de son maître »…La première rencontre entre Shéhérazade et Buttons est un pugilat aboyant qui vaut une patte méchamment écorchée au bâtard et un choc traumatique à la demoiselle, l’heure est grave car Shéhérazade éprouve maintenant une phobie à l’endroit de ses congénères mâles ! Le vétérinaire de l’empereur est mandé à son chevet et Billy Wilder nous sert une scène hilarante de psychanalyse canine, en… croquant l’invention alors toute neuve de Sigmund Freud (l’hypnose) , tandis que Virgil Smith, roucoulant au piano pour les beaux yeux de la comtesse dont il est bien sûr tombé amoureux, convainc Buttons d’amadouer la patiente du vétérinaire avec force diplomatie et douceur, le succès de l’entreprise est total et désopilant !La « romance » entre l’aristocrate autrichienne et le roturier américain est ainsi – idée géniale – construite sur celle qui naît entre une chienne au prestigieux pedigree et un chien de caniveau, il fallait y penser !, le tout étant bien sûr une charge comique, élégante et subtile mais doucement vitriolée aussi contre un monde en voie de décomposition et brillant de ses derniers feux, où l’intrusion du voyageur de commerce américain, sans complexe et sûr des forces neuves qu’il incarne, dit bien autre chose qu’une douce romance dans le viseur sans illusions et goguenard de Billy Wilder.Alors, « joyeuse allégresse », oui, mais pas seulement, loin s’en faut.
Reviewer: piettre
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: haute sottise
Review: mon deieu que ce film est bête ! et c’est le seul de toute la carrière de Wilder. il en fallait peut être un, et bien : c »est cette valse pas brillante. alors que même, son dernier film, Buddy Buddy avec Lemmon et Nathan est tout à fait intéressant. et drôle (remake de l’emmerdeur)
Reviewer: PAPET
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Satisfait
Review: Article conforme à l’annonce, délai de livraison satisfaisant.
Reviewer: Daniel Geerinck
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Plaisir des yeux et des oreilles
Review: Certes, le sujet peur paraitre quelque peu désuet et marque le divertissement de l’époque de sa réalisation mais il ne faut pas gâter le plaisir de réentendre le crooner Bing Crosby, de revoir Joan Fontaine actuellement nonagénaire et le savoureux Richard Haydn en empereur d’opérette. Il s’agit effectivement d’un opéresste aux airs et aux décors naturels plaisants, agrémentés d’un histoire de chiens.Daniel Geerinck
Reviewer: cognito
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Bing Crosby en vendeur de gramophone dans une autriche d’opérette
Review: Le film n’est pas le plus grand, ni le plus original de Wilder.Il est tout de même intéressant: Bing Crosby y est constamment décalé en vendeur degramophone en Autriche, toujours suivi par son chien.Il a un toupet incroyable de bonimenteur. Vraiment déconcertant dans cet univers.Pas son film le plus profond non plus (Stalag 17, boulevard du crépuscule)pas le plus ironique (kiss me stupid, 7 ans de réflexions).Mais c’est du Wilder, ses dialogues, sa hargne, son ironie, le sens de la réplique qu’on lui connait.Si ce n’est pas le film pour entrer dans son univers, il est un intéressant et amusant film d’approfondissement.
Reviewer: FANFAN
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: bof
Review: pas du tout ce à quoi je m’attendais, je ne le conseille pas

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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