La Main de la Momie – Combo Blu-ray + DVD – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Contient :
– le Blu-ray du film
– le DVD du film
– « Momies en folie » : livret avec affiches du film et éditorial par Damien Aubel, rédacteur en chef cinéma à Transfuge (12 pages)
Rapport de forme : 1.33:1
Dimensions du colis : 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Réalisateur : Christy Cabanne
Durée : 1 heure et 7 minutes
Date de sortie : 22 juin 2016
Acteurs : Tom Tyler, Dick foran, Wallace Ford, Cecil Kellaway, Peggy Moran
Doublé : : Anglais
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (DTS-HD 2.0)
Studio : Elephant Films
ASIN : B01DFS0WHE
Pays d’origine : France
Nombre de disques : 2
Prix : 19,90 €
(à partir de Jun 04, 2025 21:27:06 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: MJB
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Fantastic Quality!
Review: I recommend this great Blu-ray to everyone. Classic horror movie with very clear picture and nice audio. From the golden age of monster movies.
Reviewer: Marzabal
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Bon Film.
Review: Genre De Cinéma Découvert Il Y A Peu. Je Dois Avouer En Avoir Commandé Un BOn Paquet Depuis Mon Premier. Ne Pas Comparer Avec Des Films De Notre époque Dont Mieux Vaut Faire abstraction. Je Me Suis Surpris A Y Voir Dans Certains De Terribles SCènes, Mais Ne Pas Les Regarder Croyant Voir Du Sang D’Un Bout A L’Autre. Abordable Pour Un Large Public. Très Bon Cinéma. J’Y Reviendrai.
Reviewer: Wilson
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Pas de VF
Review: Très bon film, tout à fait dans l’esprit de ce que la Universal produisait à l’époque.Le coffret contient à la fois la version DVD et la version Blue Ray,Il est possible que cette dernière, que mon lecteur ne peut pas lire, propose à la fois la VOSTFR et la VF, comme annoncé ici.Mais le DVD ne comporte que la VOSTFR.Rien de bien grave mais je pense que ça mérite d’être signalé.
Reviewer: Rory
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: It’s alive !
Review: Assistant de Griffith dès 1912 puis successivement réalisateur pour la Triangle, Universal et la MGM, Christy Cabanne signait en 1940 The Mummy’s hand, sequel de The Mummy sorti huit ans auparavant. Si l’on se situe à des lumières du chef d’œuvre de Karl Freund à la photographie empreinte d’expressionisme, cette petite série B ne démérite pas avec son pitch sympathique qui embarque deux archéologues – secondés d’un prestidigitateur et de sa fille- dans la quête de la tombe d’une princesse égyptienne et qui réveillent, bien malgré eux, l’ex prétendant de la demoiselle. Le casting, sympathique (avec notamment Dick Foran), compense l’évidente chicheté de moyens comme en témoigne la restitution à minima d’une Egypte vaguement coloniale. Mais le film ne durant qu’une heure, il ne faut pas faire montre d’indulgence pour apprécier cette petite production Universal aux relents de serial. Proposé dans une copie digne d’Horus (1.33 4/3) le film, uniquement disponible en vost (dialogues limpides), est accompagné de deux bonus : une courte présentation dispensable du film par Jean-Pierre Dionnet (qui ne fait que paraphraser l’intrigue confondant noms des acteurs avec ceux des personnages) et une plus substantielle intitulée La légende de la Momie.
Reviewer: Tornado
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Elle revient, et elle n’est pas contente…
Review: « La Main de la Momie » (« The Mummy’s Hand ») est un film de la collection Universal Monsters, réalisé en 1940 par Christy Cabanne.Diffusé dans les salles huit ans après La Momie de Karl Freund (avec Boris Karloff), il ne s’agit nullement d’une suite, mais plutôt d’une sorte de « reboot ».Avec un esprit nettement plus porté sur le film d’aventure et sur la comédie que le premier film de 1932, « La Main de la Momie » inaugure néanmoins une nouvelle série dédiée à la figure du monstre en bandelettes (nommé « Kharis », pour les intimes). Quasiment conçus comme les épisodes d’un serial (chaque film dure entre 60 et 66 minutes), les autres films se suivront tous, faisant revivre la créature à chaque fois. Trois autres segments viendront ainsi compléter la série : La Tombe de la Momie (1942), Le Fantôme de la Momie (1944) et La Malédiction de la Momie (1945).Cette édition blu-ray de l’éditeur Elephant Films propose une copie restaurée de très bonne tenue, parfaitement propre, en VO et en VOST uniquement (aucune VF n’est disponible, contrairement à ce qui est marqué ici et là), avec un son de très bonne qualité aussi.Deux bonus dispensables sont au menu, tous deux présentés par le sympathique J.P. Dionnet, qui nous parle de la collection dédiée à la momie et des artisans ayant œuvré sur le film du jour.Le pitch : Dans années 1920, un prêtre égyptien hérite de la mission de veiller sur le tombeau secret de la princesse Ananka. Si jamais le secret devait être menacé par des étrangers, il pourrait alors lever sur eux la malédiction de « Kharis », la momie vivante. Pour se faire, il lui suffirait de faire absorber au monstre un breuvage préparé à base de neuf feuilles de Tana, et pas une de plus.Au même moment, une expédition d’archéologues américains se met en route, à la recherche du tombeau en question…Attention : Ce premier segment de la quadrilogie dédiée à la momie des années 40 est réservé aux aficionados ! Cette décennie marque le début de l’orientation des monstres de la Universal vers le domaine de la série B, où sont sans cesse recyclés les clichés inhérents au genre consacré.Si jadis la malédiction des pharaons ne prêtait pas à rire, il est désormais anodin d’injecter au récit une bonne dose de comédie, notamment en introduisant un personnage de comique troupier, annonçant ainsi le dernier virage effectué par le studio Universal qui se débarrassera de ses figures horrifiques en les jetant dans les pattes d’Abbott & Costello dans les années 50. Et notre momie n’échappera pas à son destin puisqu’elle finira sa carrière dans le rigolo Deux Nigauds et la Momie, réalisé en 1956 par Charles Lamont…Il s’agit donc d’un petit film de série B à l’ancienne, à la limite de la parodie, au scénario prévisible et factice, qui reprend la formule à la lettre et qui s’achève sur un final laissant au film suivant le soin de tout reprendre à zéro…En toute connaissance de cause, le spectateur peut néanmoins se laisser bercer par le spectacle, soigné, parfaitement calibré et l’on peut même dire « racé », pour un joli voyage au pays des classiques du cinéma fantastique. Une époque aujourd’hui révolue, où la naïveté et l’innocence du propos, associées à une imagerie extrêmement élégante, véhiculaient une certaine poésie gothique, dans un délicieux noir et blanc de carton-pâte…