Georgia – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Contient :
Boîtier DVD avec fourreau
– le DVD du film
– un livret de 12 pages : « Georgia, ou la rencontre d’Arthur Penn et de Steve Tesich », par Antoine Sire, auteur de « Hollywood, la cité des femmes »
Aspect Ratio : 16:9 – 1.85:1
Rated : Universal
Director : Arthur Penn
Media Format : PAL
Run time : 1 hour and 50 minutes
Release date : 28 Mar. 2017
Actors : Craig Wasson, Jodi Thelen, Michael Huddleston, Jim Metzler, Scott Hardt
Dubbed: : English, French
Subtitles: : French
Language : English (Dolby Digital 2.0 Mono), French (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio : Rimini Editions
ASIN : B01N7VZFB1
Country of origin : France
Number of discs : 1
Prix : €5.53
(à partir de Jun 07, 2025 20:52:14 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: guy v.
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: une peinture nostalgique et sans fard de l’Amérique des années 60 – un film puissant et inspiré –
Review: Georgia (Four Friends) tourné en 1981 peut être considéré comme l’un des films les plus marquants et les plus intelligents d’Arthur Penn. Il est vrai que l’excellent scénario écrit par Steve Tesich, également dramaturge et romancier américain d’origine yougoslave, y est pour beaucoup sans oublier une pléiade de jeunes actrices et acteurs inconnus et hyper talentueux dont on peut se demander pourquoi elles ou ils n’ont pas fait carrière et plus particulièrement la formidable Jodi Thelen dans le rôle titre.Ce chef d’œuvre qui n’a pris une ride sait allier avec finesse et intelligence des histoires personnelles (l’amour de trois jeunes hommes pour la même jeune femme) et les événements marquants, les grandes crises et les courants d’influence d’une Amérique en pleine mutation et même en plein déclin (assassinat de JFK, guerre du Vietnam, reconnaissance du peuple noir, vague hippie, premiers pas de l’homme sur la lune). Tout véritable espoir est terni par un racisme, un antisémitisme, un rejet des immigrants de la dernière génération toujours latent et qui fait tant se ressembler l’Amérique des années 60 à l’Amérique actuelle.Ce film tour à tour et parfois en même temps cocasse, émouvant, désenchanté, violent et cruel est un bijou dramatique, puissant et inspiré à ne manquer sous aucun prétexte.En supplément une très intéressante interview d’Antoine Sire « Georgia, une jeune Américaine ».
Reviewer: Rando ski
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: ras
Review: un des meilleurs films d a. penn
Reviewer: Houbert Olivier
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Peace and love
Review: Pour reconstituer le climat des années 60 aux States, Penn transcrit le scénario de Steve Tesich et articule son récit autour de 4 personnages qui on t-en commun un rêve d’amour pour Georgia, une jeune femme délurée qui se prend pour Isadora Duncan, formidablement jouée par Jodi Thelen. Cette chronique d’une Amérique en pleine contestation reste attachante par le charme de ses interprètes, et la photo inspirée de Ghislain Cloquet.
Reviewer: Caroline T
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Merveilleux
Review: Ce film d’Arthur Penn est une merveille.Ne pas se fier à la couverture du DVD .Le titre original de ce film est Four Friends et il s’agit d’une amitié -passion entre 4 amis sur fond historique culturel économique des sixties aux USA.C’est aussi un témoignage du Rêve Américain et de l’identité américaine.
Reviewer: shuffle master
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: Anachronique des années 60.
Review: Gloria (Four friends en V.O.), sorti en 1981, est un des derniers films d’Arthur Penn, tourné après un vide d’environ 5 ans, ce que Télérama ou les Inrocks appellent tarissement de la veine créatrice.J’avais vu ce film à sa sortie, au Saint-Genès à Bordeaux pour être précis (séances à 10 francs) et en avais gardé un excellent souvenir. Un passage assez récent à la télé m’avait fait me demander s’il s’agissait bien du même film: on pouvait soupçonner que le temps avait embelli les choses.Après visionnage du DVD, j’ai toujours du mal à déterminer s’il s’agit du meilleur film de Penn (qui n’est sûrement pas Little Big Man) ou d’un bon film comme il en existe des centaines.Cette indétermination tient principalement à la date du film. Quelques années plus tôt, une quinzaine, à la louche, Georgia aurait vraisemblablement obtenu le qualificatif de chef-d’œuvre. Malheureusement, en 1981, Cimino, Coppola, Friedkin et les autres sont passés par là, et le classicisme affiché et un peu gourmé de Penn dans le film passe parfois assez difficilement. On est parfois très très proche du cinéma américain de la deuxième moitié des années 50: personnages, situations en ont la patine, et ça se voit.Pour ceux qui ne connaîtraient pas l’histoire (à leur décharge, le film a fait un four), Georgia raconte sur une petite trentaine d’années, les tribulations de trois amis amoureux de la même fille, avec en toile de fond la lutte pour les droits civiques, la ségrégation sociale (establishment contre immigrés de l’Europe de l’Est, ici yougoslaves), les Kennedy, le Vietnam, la conquête de la Lune, le mouvement hippie…etc.Ceux qui pensent immédiatement à Forrest Gump, à Deer Hunter, ou à Quand Harry rencontre Sally ont tout bon. De nombreuses scènes/situations de Georgia se retrouvent dans ces films et, à ce point-là, ce n’est plus du hasard. Entre autres: les danses traditionnelles de la communauté yougoslave, le traitement apologétique du col bleu (les aciéries de Pennsylvanie), le rôle de la malle (souvent sur le toit de la voiture), l’évolution de Gloria qui vire hippie pour finir par ne plus comprendre son époque (dernière scène complètement ratée, d’ailleurs, dans une sorte de loft improbable, mélange de la Factory, du club 54 et de backroom en carton-pâte).Les suppléments offrent le remarquable spectacle d’un « critique », en l’occurrence Antoine Sire, se ridiculisant dans une analyse du film où le contresens le dispute à une ignorance crasse. Le tout servi par une élocution laborieuse. M. Sire ne craint pas d’affirmer en effet que Penn appartient à la catégorie du Nouvel Hollywood, malgré le problème de génération (la même qu’Aldrich par exemple), en dépit du fait qu’au moins la moitié de sa carrière s’est bâtie avant ce mouvement, et en évacuant le classicisme évident de Gloria (ou les fulgurances, les explosions, voire les outrances d’un Cimino, ou d’un Coppola sont totalement absentes). Autre grand moment: celui où M. Sire assimile la scène mentionnée plus haut (le loft) à une manifestation hippie. A se tordre. Ne soyons cependant pas trop sévère: fils de, ancien élève de l’IEP, M. Sire grenouille depuis des années dans la banque: le mouvement hippie doit lui être aussi étranger que le cinéma à Lelouch, pour lequel il a tourné, lors des nombreux répits que devaient lui laisser ses activités de « communicant bancaire » (oui, oui, c’est un métier). L’insuccès notoire du film tient aussi au fait qu’aucune star ne sert de locomotive, alors que Penn a fait tourner Nicholson, Newman ou Brando: quasiment tous les acteurs principaux ont connu là un court moment de très relative gloire, avant de retomber dans un anonymat total. Dernier avis plus personnel: Jodi Thelen est souvent horripilante, et on comprend mal pourquoi elle est la seule à ne pas vieillir physiquement.Tested and approved by Shuffle Master.
Reviewer: Dominique Maillet
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Chef d’oeuvre d’Arthur Penn
Review: Ce film était jusqu’à présent très rare, belle initiative que de l’avoir édité !
Reviewer: Tizio Roger
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Parfait
Review: Un grand film méconnu sur les années 70
Reviewer: Giraud Moghli
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Chef d’œuvre absolu.
Review: Ce film est un chef-d’œuvre absolu il est impossible de ne pas être touché par l’histoire de ces quatre garçons qui résume la vie
Reviewer: Cliente Amazon
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Llegó muy rápido, bien embalado , buen precio y le ha encantado como regalo a la persona que lo recibió