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Fantastique

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Godzilla, 1 DVD, 133 minutes
Aspect Ratio ‏ : ‎ 16:9 – 2.40:1
Is discontinued by manufacturer ‏ : ‎ No
Package Dimensions ‏ : ‎ 18.03 x 13.76 x 1.48 cm; 80 g
Director ‏ : ‎ Roland Emmerich
Media Format ‏ : ‎ Colour, PAL, Widescreen
Run time ‏ : ‎ 2 hours and 13 minutes
Release date ‏ : ‎ 17 Jun. 1999
Actors ‏ : ‎ Matthew Broderick, Jean Reno, Hank Azaria, Maria Pitillo, Harry Shearer
Subtitles: ‏ : ‎ English, French, Arabic
Language ‏ : ‎ English (Dolby Digital 2.0 Surround), English (Dolby Digital 5.1), French (Dolby Digital 5.1)
Studio ‏ : ‎ Sony Pictures
ASIN ‏ : ‎ B00004VXXZ
Country of origin ‏ : ‎ France
Number of discs ‏ : ‎ 1
Prix : €11.88
(à partir de Jun 15, 2025 03:38:08 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: Patrick GOSSELIN
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Magnifique !!!!!
Review: Années 1960. Une série d’essais nucléaires français, aux alentours de l’archipel des Tuamotu, entraine la mutation d’un lézard. Trente ans plus tard, la créature monstrueuse attaque un cargo japonais croisant dans le Pacifique Sud. Le seul rescapé est transporté à Papeete, où il est interrogé par des agents de la DGSE. Il murmure le nom de « Gojira », d’après une ancienne légende japonaise. Au même moment, Nick Tatopoulos, un jeune scientifique américain travaillant pour la Commission de réglementation nucléaire, est prié d’abandonner ses recherches à Tchernobyl pour se rendre avec un groupe de militaires à Panama. Il découvre les gigantesque empreintes du monstre, qui a traversé le golfe et piétiné un village pour se rendre dans l’océan Atlantique.La créature ne tarde pas à refaire parler d’elle, en engloutissant plusieurs navires. Les militaires, sous les ordres du colonel Hicks, essayent de découvrir le lieu vers lequel la chose semble se diriger. Il s’agit de New York, sur la côte Est. Tatopoulos émet l’hypothèse d’un représentant d’une nouvelle espèce biologique, ayant muté sous l’effet de radiations. New York est rapidement placé en état de siège par l’armée, qui échoue, malgré son important déploiement, à stopper le monstre reptilien. Tatopoulos découvre que la bête est sur le point de pondre une centaine d’œufs dans les sous-sols de la ville. Ses informations sont volées par son ex-fiancée, la journaliste Audrey Timmonds, qui en fait un reportage. Viré de l’armée américaine, le scientifique est bientôt récupéré par l’agent Philippe Roche, des services secrets français, qui veut trouver le nid de « Godzilla » pour l’anéantir. L’armée, tente de son côté, de tuer une nouvelle fois le monstre. Suite à un combat contre des sous-marins, la créature est finalement « vaincue » par l’armée.Alors que Tatopoulos et Roche pénètrent dans le repaire du monstre, ils sont suivis par Audrey et son associé, Victor « Animal » Palotti, qui veulent faire un reportage sur le nid de « Godzilla ». Juste à ce moment-là, les œufs du monstre éclosent les uns après les autres, donnant naissance à une armée de mini-godzilla affamés. Avec les moyens du bord, les quatre compagnons diffusent en direct, les images du nid et informent Hicks de son emplacement. Ce dernier envoie les avions F-18 bombarder le nid, en laissant le temps au protagonistes de s’échapper. Alors que le nid est détruit et que les héros vont pour partir, le parent « Godzilla » émerge du sol, se révélant avoir survécu. En voyant sa progéniture anéantie, la créature entre dans une colère noire et poursuit les héros. Après une course-poursuite en taxi (au cours de laquelle « Godzilla » ravage la moitié de Park Avenue), ils parviennent à prendre au piège le monstre qui, par sa taille, s’empêtre dans les câbles du Pont de Brooklyn. Les F-18 bombardent le géant qui s’écroule dans une longue et tragique agonie. Nick se rapproche de la créature, qui le dévisage, agonisante. C’est ainsi que « Godzilla » s’éteint… Encore que, un œuf demeure survivant du chaos..
Reviewer: Client d’Amazon
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Parfait
Review: Arrivé plus tôt que prévu, très bonne qualité visuelle et sonore du dvd neuf .C est agréable
Reviewer: Sharivan
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Bon 4k !
Review: « Godzilla » de Roland Emmerich en 4k et blu-ray import, il y a bien la VF sur le 4k mais pas sur le Blu-ray… Pour ce qui est du 4k on a un vrai gain de netteté par rapport à l’édition 1080p, on gagne donc en profondeur dans les plans de New York sous la pluie , on gagne aussi en détail sur la texture du Godzilla en CGI et les bébé Godzilla à la fin du film, cette copie garde le grain du film sur certain plan, et pour cette fois ça ne me dérange pas trop, faites attention tout de même de ne pas mettre le filtre netteté de votre téléviseur au max qui aura pour effet d’accentuer le grain du film, il faut savoir un peu d’oser… Une fois qu’on à les bons réglages le gain en 4k est évident par rapport au blu-ray…
Reviewer: Dos Santos Laurent
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Differentes versions HDR.
Review: Attention le steelbook 4k est Dolby Vision les autres versions 4k amaray HDR10 seulement.
Reviewer: Anto
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: GODZILLA 98’
Review: À regarder en famille ou pas.Avec des popcorns ou pas.Un très bon moment à chaque fois.Humour et sentiments sont au rendez-vous face à la créature.Film de SF intelligent et divertissant.
Reviewer: Fifa
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Godzilla
Review: Excellent
Reviewer: Lamotte
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Super film
Review: Super film
Reviewer: Jean Bal
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: Un film qui n’était vraiment pas fait pour le Blu-Ray.
Review: Sans revenir sur les qualités artistiques de Godzilla (les goûts et les couleurs…), je dois avouer avoir été profondément déçu par cette édition en Blu-Ray. Je possédais déjà le DVD et la différence au niveau visuel n’est vraiment pas évidente. La faute en revient néanmoins plus à la nature du support qu’au travail des techniciens, je m’explique…La quasi-totalité du film se passe sous la pluie, et même si la HD gère relativement bien ce genre d’image, au final on ne gagne pas grand-chose au niveau de la définition. L’image est souvent « grainée » et que l’on ne vienne pas me parler de « grain cinéma ». C’est juste « moyen ».Mais, le pire, se situe au niveau des effets spéciaux.En une quinzaine d’années, les effets spéciaux numériques ont considérablement évolué et ce film en est la preuve flagrante.Le monstre étant essentiellement en image de synthèse (avec quelques animatronics ça et là), il ne peut être crédible qu’avec une excellente gestion des « éclairages ». Or, avec une image généralement assez complexe (nuit, pluie, etc.), Godzilla apparaît souvent – par la grâce de la HD – pour ce qu’il est réellement: une simple incrustation numérique !Si vous observez bien le film, vous remarquerez ainsi que tous les détails des écailles du reptile sont visibles… même quand il est dans le noir! Un problème particulièrement flagrant lors de la poursuite avec les hélicoptères.Au final, le film perd énormément de sa magie et devient – pour peu que l’on possède un bon écran et un bon lecteur – un simple « dessin animé » amélioré. Le passage du temps est parfois cruel avec les technologies numériques.
Reviewer: Momma Bear
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Quality of picture and sound and fantastic movie. Condition of discs were excellent.
Reviewer: Glumshanks
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Sehr guter film
Reviewer: Santi
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: ottimo servizio
Reviewer: Kairisan
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Despite the bad writing this movie had, it really needs a second chance. The practical effects still hold up quite well and the story isn’t that bad (for a Friday night popcorn movie)Most important it’s spectacular, keeps a steady pace and has a killer score and soundtrack (except when Puff violates Led Zeppelin)
Reviewer: Tue Sorensen
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Ever since the 1950s the Japanese movie industry has produced a boatload of terrible, low-budget Godzilla (or Gojira) movies. They are characterized by men in rubber suits stomping around, and production values and acting so poor that only people who have a humorous attitude to this material can possibly love it. But I guess that is frequently how cult phenomena work: they acquire substance purely on the strength of having a cult following across many decades, and people come together in enthusiastic fandom to appreciate these « classics »; to participate in the vibrant culture that forms around them. It’s the same with Doctor Who or Star Trek or James Bond.I have met many people who declared themselves big fans of Godzilla/Gojira, who love the Japanese movies and vehemently hates the American 1998 movie by Roland Emmerich. I guess there is a kind of symmetry in the fact that it is the other way around with me. I cannot endure much of the Japanese versions, but love the American version (which is currently rated a rather misleading 4.8 out of 10 at IMDb).Why do people hate this movie? I doubt it is no other but the main: it does not give them what they expect from a movie calling itself a Godzilla movie. Cult audiences generally want what they expect, and nothing else will satisfy them. Whether it’s a good movie on its own, irrespective of its prior namesakes, is apparently not even worthy of being considered. What a crime.Why do I love this movie? Mainly, it’s the (human) characters. I am a big fan of Matthew Broderick. Who cannot love Ferris Bueller? It’s true Broderick has gotten a bit chubby in recent years, and he has been a bit dull in some of his later movies, but he’s still ace here! He plays a really nice guy, and Maria Pitillo plays a really nice girl. Their performances and character histories ring so true to life that I can’t help loving these characters – they’re so adorable, and so right for each other. In combination with the highly engaging underdog/ »nice guys finish last » theme, they totally make the movie for me. I wanna hug them!In addition to the mains, we also have Jean Reno as a sympathetic (!) French intelligence agent, and Hank Azaria, one of America’s greatest showbiz talents, who’s great as whomever in whatever.Then there’s the monster. I think it’s perfectly fine. It serves its purpose in the story admirably, and there’s even a touch of pathos in its demise. I find nothing to criticize about the action structure of the movie; it proceeds by the numbers and culminates in an appropriate climax. Great. Godzilla is quite simply Roland Emmerich’s best movie. Which is perhaps not saying a lot, but still.Godzilla is a character-driven movie, not a monster-driven one, and I think this is the best choice. Like in the first Transformers movie (2007), the human characters were the more interesting ones. Because it is pretty damn difficult to make some monster or alien robot more interesting than a well-rounded human being.Great movie!

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📅 Date de mise à jour : Jun 15, 2025 03:38:08 UTC

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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