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Vaudou (I Walked With A Zombie), 1 DVD, 95 minutes
Rapport de forme : 1.33:1
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Réalisateur : Jacques Tourneur
Format : PAL
Durée : 1 heure et 35 minutes
Date de sortie : 18 octobre 2000
Acteurs : James Ellison, Frances Dee, Tom Conway, Christine Gordon, Edith Barrett
Doublé : : Anglais
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (Dolby Digital 1.0)
Studio : Éditions Montparnasse
ASIN : B000051ZMZ
Nombre de disques : 1
Prix : 17,45 €
(à partir de May 31, 2025 18:10:20 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: phm
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Image et sujet extrêmement bien traités pour un film des 40’s
Review: Culte, presque un classique
Reviewer: Tornado
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Du naturel au surnaturel
Review: Une jeune infirmière est convoquée dans une île des caraïbes afin de veiller sur l’épouse malade d’un riche propriétaire terrien. Jessica, la jeune épouse, a semble-t-il perdu la raison. Mais une ambiance familiale tendue et des tambours dans la nuit semblent indiquer que les choses sont bien plus compliquées et qu’un mystère effroyable plane sur cette île tropicale…Ce n’est pas seulement au réalisateur Jacques Tourneur qu’il faut allouer la réussite de « I walked With A Zombie » (titre original de « Vaudou » !), mais également à son producteur Val Lewton. Ensemble, ils produiront et réaliseront la trilogie d’épouvante composée chronologiquement de La féline (1942), « Vaudou » (1943) et L’Homme léopard (1944), soit trois classiques également disponibles dans le superbe coffret Jacques Tourneur : La Féline / Vaudou / L’Homme léopard.Lewton était le maître à penser de l’école de la « suggestion », où la peur devait être indicible plutôt que manifeste. Ce parti-pris était né d’une obligation de dépasser les impératifs commerciaux d’un studio, la « RKO », que son propriétaire Howard Hughes avait mis dans le rouge. C’est donc le talent combiné de ces deux artisans passionnés qui réussit à transcender les limites imposées par le budget de la production afin de créer des œuvres puissantes à la beauté et à la fascination intemporelle.La réussite de leur second opus, « Vaudou », se joue sur deux tableaux :- Le scénario, qui adapte très librement Jane Eyre, de Charlotte Brontë, est un petit bijou qui mélange mélodrame et mystère vaudou sur fond de film d’aventure colonialiste. En définitive, il finit par échapper à toutes ces composantes pour posséder un statut unique à la dimension onirique et envoutante. Les dialogues prennent largement le pas sur l’action, les non-dits laissent planer le mystère jusqu’au dénouement final qui se joue sur une révélation échappant complètement aux habituelles histoires manichéennes de bien contre le mal, qui rappelle le splendide et méconnu Les Amants Du Capricorne, qu’Alfred Hitchcock tournera six ans plus tard… Tout au long de l’intrigue, la plongée dans le vaudou se fait croissante. D’abord rejetée par des considérations scientifiques, cette dimension se fait de plus en plus pressante jusqu’à se révéler sans lourdeur, laissant le spectateur presque perplexe à l’idée de son existence, comme s’il était passé du naturel au surnaturel sans s’en apercevoir… Une vision du vaudou exemplaire, presque documentaire, sans jugement, sans effets racoleurs ni manifestation théâtrale ampoulée.La version finale du scénario est de Curt Siodmak, mais l’idée de départ revient à Jacques Tourneur, sachant qu’il participait étroitement, en compagnie de Val Lewton, à son écriture…- La réalisation est une nouvelle fois, après « La Féline », un modèle d’angoisse à peine perceptible (qui se joue d’ailleurs surtout une fois le film terminé). La voix-off de l’héroïne se fait murmure, l’horreur attendue laisse la place à la mélancolie, et bien entendu, les jeux d’ombres et de lumière assurent quasiment à eux-seuls le spectacle. Telle était la méthode du tandem Lewton/Tourneur : Un noir et blanc expressionniste directement issu des films d’horreur de la Universal des années 30, une atmosphère onirique, mélancolique et infiniment romantique, ici accentuée par un voyage exotique particulièrement envoutant. Le son des tambours résonne ainsi longtemps après la vision du métrage, distillant une angoisse diffuse mais réelle, plus fascinante que terrifiante.Alors certes, le film a vieilli, il ne fait plus peur et il est très lent (indolent et langoureux devrais-je dire plutôt…), mais il a su préserver une incroyable pouvoir de fascination surannée.Un chef d’œuvre du genre.
Reviewer: Rory
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: La porte des secrets
Review: Second des films fantastiques du cycle initié par Val Lewton, I walked with a zombi réalisé en 1943 par le talentueux Jacques Tourneur fonctionne à l’instar des deux autres opus sur la suggestion, les décors plongés dans le noir devenant une tabula rasa sur laquelle chaque spectateur est libre d’imprimer ses peurs les plus intimes. Frances Dee (postulante au rôle de Scarlett O’Hara et épouse à le ville de Joel McCrea) y interprète le rôle d’une infirmière canadienne venue aux Antilles s’occuper de Jessica,la femme alitée de Paul Holland (Tom Conway le frère de George Sanders), un planteur qui entretient une relation conflictuelle avec son frère (James Ellison). Le comportement étrange de la malade va très rapidement interpeller Betsy qui a succombé au charme de son employeur…Véritable fable sur l’antagonisme entre le jour et la nuit, la connaissance et l’obscurantisme, le film s’impose comme une succession de tableaux nocturnes et diurnes où même les robes des deux femmes deviennent les métaphores poétiques de l’impossible cohabitation entre colons et colonisés. Les scènes quotidiennes alternent avec les passages oniriques (la confrontation des deux femmes dans la tour, la marche hypnotique de Jessica calquée sur celle d’une poupée, la noyade des deux anciens amants)dans une relecture fantastique du chef d’œuvre de Charlotte Brontë Jane Eyre. D’une durée de soixante-huit minutes Vaudou est présenté en vo et vost avec une introduction de Serge Bromberg.
Reviewer: Dubois
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Court et vieilli mais a du charme
Review: Le film dure moins de 1h10, le film a assez mal vieilli mais conserve un certain charme si on est bon public. En revanche la qualité de l’image est pauvre pour un DVD, cela gâche le plaisir du visionnage.
Reviewer: Nachtschatten
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Le pouvoir de la suggestion
Review: Bien supérieur à La Féline, Vaudou (1943) est le second des trois films produits par Val Lewton pour le compte de la RKO dans les années 40.On retrouve ce beau noir et blanc hérité de l’expressionnisme allemand, entre ombres et lumière, et Jacques Tourneur propose une vision quasi documentaire des rites vaudous.Le fantastique est toujours aussi implicite, mais Vaudou est plus captivant, n’hésitant pas à nommer le problème et à le montrer.Devenu célèbre depuis sa sortie, Vaudou est un des derniers bons films du fantastique américain de cette période.
Reviewer: VERSTREPEN
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Un des meilleurs films de cette époque!
Review: J adore là plupart des films de Jacques Tourneur et me plonger dans cette époque où les effets spéciaux étaient limités, c’est là tout le talent de ces réalisateurs qui ne avait pas ce support et devaient utiliser leur imagination pour faire frissonner les téléspectateurs ce qui a sûrement été le cas à l époque.
Reviewer: bobbyschanno
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: I walked with a zombie.
Review: Forts du succès de Cat people, Val Lewton et Jacques Tourneur enchaînent avec un nouveau film fantastique où tout – ou presque – est suggéré. Pas de monstres grandiloquents, donc, mais des forces et des personnages étranges qui s’agitent sous la surface. Dans cette île des Antilles, le monde n’est pas ce qu’il semble être et la fatalité s’y déploie comme dans un film noir : les personnages sont piégés par leur passé et n’échapperont pas à leur sort. Un film envoûtant.
Reviewer: Mohe
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Hatte den Film vor Jahrzehnten gesehen und fand ihn damals voll gruselig. Obwohl dazwischen viele Horrorfilme liegen, Ist dieser Film heute immer noch ein bisschen zum gruseln, auch wegen der Darsteller. Ich liebe „ alte“ Filme – und dieser gehört für mich zu den Filmjuwelen.
Reviewer: Alex_1970
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Anders als hier ein anderer Schreiber, habe ich weder zu tiefe Tonprobleme bemerkt, noch habe ich am Bild etwas auszusetzen. Für mich eine perfekte Umsetzung, wenn man eben das alte 4:3 Formate mit den schwarzen Balken links und rechts als original Format akzeptiert.
Reviewer: el-brazo
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Unglücklicherweise nicht so gelungen wie « Katzenmenschen », erfreut die Blu-ray von « Filmjuwelen » zwar mit sehr gutem Bild, Originalton und informativem Zusatzmaterial, enttäuscht aber durch das Fehlen der englischen Untertitel, die an manchen Stellen hilfreich gewesen wären und die sich heutzutage meiner Ansicht nach sowieso als Pflicht und nicht als Kür verstehen sollten. Vier, geschweige denn fünf Sterne sind zumindest nach meinen Maßstäben also schon aus Prinzip nicht mehr drin.Ich bewerte an dieser Stelle ausdrücklich nicht die deutsche Tonspur, die möglicherweise falsch (Tonhöhe) umgerechnet wurde (siehe dazu andere Rezensionen oder auch die OFDB), weil ich diesen Film sowieso nicht synchronisiert ansehen möchte – da mögen diejenigen, die davon betroffen sind, gerne ihre Meinung kundtun. Von mir gibt es zusammenfassend drei Sterne für eine Veröffentlichung, die sehr gut hätte sein können, aber durch die fehlenden englischen Untertitel leider mit einem äußerst störenden Makel behaftet ist.