Phantom of The Paradise [Édition Collector]
DVD et Blu-ray > Films
Nouveau master restauré
Rapport de forme : 1.85:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Réalisateur : Brian De Palma
Format : Plein écran, Couleur, Cinémascope, PAL
Durée : 1 heure et 31 minutes
Date de sortie : 28 février 2006
Acteurs : Paul Williams, William Finley, Jessica Harper, George Memmoli, Harold Oblong
Doublé : : Anglais, Français
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (Dolby Digital 2.0), Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
Studio : Opening
ASIN : B000CR7V94
Nombre de disques : 2
Prix : 39,90€ - 24,99 €
(à partir de May 29, 2025 04:59:28 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: ANTOINE
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Réception produit.
Review: Article reçu en parfait état et dans les temps.
Reviewer: Stefy
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: De Palma d’or
Review: Voilà un film culte devenu depuis un petit classique des seventies iconoclastes et furieuses. Car voilà un film riche et foisonnant franchement fascinant par quel bout qu’on le prenne.De Palma pioche dans tous les genres cinématographiques pour ne finalement faire allégeance à aucun d’entre eux. On passe ici du musical à des scènes cartoonesques en passant par le thriller, l’épouvante, le fantastique ou la comédie. Dans le même temps, De Palma fait virevolter sa caméra en tout sens, dévoilant des plans insensés et utilisant à plein tout un langage cinématographique qu’il maitrise parfaitement. Un langage jamais gratuit puisqu’il correspond à l’exploitation la plus visuelle possible de chaque scène. Voilà pour le fond et la forme.On passe constamment ici du grotesque au sublime, du touchant au ridicule et jamais De Palma n’est intéressé par une quelconque crédibilité. Preuve en sont ces raccourcis phénoménaux que représentent l’évasion rocambolesque de la prison de Winslow Leach, la destruction pure et simple du mur érigé pour l’enfermer ou encore l’apparition de Swan, très rapide, sur le toit de sa maison pour un dialogue hallucinant avec Winslow. Ajoutez à cela un montage au cordeau et vous obtenez un pur film au visuel constamment inventif, baroque et pop à la fois, hyper coloré mais sombre dans le fond.S’il maitrise si bien les codes, De Palma se fait aussi constamment plaisir. Il peut citer une scène de « Docteur Jerry Et Mister Love » en hommage tout comme régler son compte avec son legs hitchcockien avec une scène de douche qui tourne au gag potache. On tient évidemment bien plus ici qu’un remake du « Fantôme De L’Opéra ».L’idée du film est venue à De Palma en prenant l’ascenseur et en y entendant une version musak d’un titre divin des Beatles. Le sujet du film est donc le détournement de l’art, de la création, récupéré et mis au service d’une consommation grand public sans aspérité. Ajoutez à cela la mise en scène constante de la vie (ou plutôt la mort) qui devient un spectacle de masse permanent, comme ces images de guerre (le Vietnam, bien sûr) qui font irruption dans chaque foyer, quotidiennement, via la télévision, au moment des infos. On ne sait plus ce qui est vrai, ce qui fait partie de la vie ou d’un spectacle.Bien sûr, cette situation est rendue très présente du fait que De Palma a toujours été subjugué par le voyeurisme. A commencer par celui qui est induit par la position du spectateur d’un film. Ici, le machiavélique Swan filme tout, car il veut tout voir, tout contrôler, jusqu’à cette superbe scène où le Phantom le regarde par la fenêtre tandis qu’il est lui-même filmé et vu par Swan, le troisième voyeur étant bien évidemment le spectateur. Superbe scène qui semble s’étendre en boucle ainsi à l’infini.Le casting est superbe (Gerritt Graham est inoubliable dans son rôle de Beef) avec notamment cette sous-couche de lecture: le vilain voleur Swan est joué par le légendaire Paul Williams alors qu’en vérité, c’est ce même Paul Williams qui signe et chante la musique du film. Ceci comme un ultime pied de nez concernant le thème abordé. Car De Palma n’est jamais dupe et teinte constamment son film d’une cruelle ironie narquoise. Car le sujet, bien sûr, peut être largement rapporté à son propre médium, le cinéma.Grinçant mais toujours fun et vivifiant, voilà bien un film épatant, qu’on peut visionner plein de fois, on y découvre toujours un passage oublié depuis. Un enchantement. Surtout que Carlotta le propose dans un très beau packaging, avec bouquin et version Blu-ray remarquable. Miam, slurp. Dernière chose, la respiration de Dark Vador, mais aussi son costume, hum, ça semble bien venir de ce « Phantom Of The Paradise », œuvre hors du commun, généreuse et inspirée, bouillonnante. Un film unique et une véritable et totale expérience cinématographique. De Palma fera peut-être plus beau et plus fort ensuite mais jamais plus fou.
Reviewer: Vincent Badaille
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: De Palma classique
Review: Le Fantôme de l’Opéra revisité par De Palma. Film d’époque
Reviewer: Jean Marc
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Bel objet MAIS
Review: Beau coffret, un blue ray qui rends hommage au film, un livre très sympa et intéressant MAIS pourquoi ce packaging : reste un objet IN-RANGEABLE !!!, alors qu’il aurait été si facile de joindre un coffret 3 disques ET le livre à part … Dommage. Sinon ce film reste toujours aussi « intemporel » une belle oeuvre.
Reviewer: Vincent
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: UNIQUE !
Review: Réalisé en 1973, « Phantom of the paradise » de Brian de Palma est une oeuvre unique dans l’histoire du cinéma (primée au festival d’Avoriaz).Malheureusement, à sa sortie en salle, le film ne recevra pas l’accueil escompté… Et pour cause ! Trop atypique pour le commun des mortels.Inspiré de 2 oeuvres littéraires majeures que son « Faust » et « le Fantôme de l’opéra », Brian de Palma y dépeint avec une maestria au vitriole, tout ce que la musique Rock (son business, et tout ceux qui contribuent (public compris) à la rendre si attractive et si populaire) peut contenir de personnes (vedettes ou autres) prêtes à tout (trahir, mentir, (se) corrompre) pour entrée dans la lumière, accéder à la notoriété et la gloire éternelle. Utopie ?Quel film d’avant-garde et quel vision incroyable que celle de de Palma ! Et ce bien avant que des émissions de type Star Ac’ n’apparaissent des années plus tard !- Comment ne pas penser instantanément aux auditions de « La nouvelle star » dans la scène de l’escalier ou se sont entassées (tel un troupeau de moutons) une horde de bêleuses persuadées d’être l’élue de la nouvelle COMEDIE MUSICALE en vogue ?- Comment ne pas rapprocher le personnage maléfique de Swan de celui d’un Phil Spector ?-Comment ne pas penser à certains Artistes tel que Marc Bolan, David Bowie ou même Alice Cooper, dans le seul personnage du Rocker homosexuel de Beef (irrésistible de drôlerie et de grotesque) ?- (dans la scène du trafiquage de voix) Comment ne pas penser que derrière de soit disant chanteurs/chanteuses, se cachent des arrangeurs, des producteurs, avec toute leur armada de machines « High Tech » promptes à nous faire avaler n’importe quoi ?Ainsi, le tout puissant Swan et sa maison de disque « Death record » fait et refait les modes à sa guise. S’accordant tout les droits (les bénéfices). Le film démystifie, désacralise l’idée que beaucoup d’entre nous continue de se faire du sacro saint « Monde de la musique ». En vérité: Plus dégueulasse qu’on ne voudra jamais l’admettre.- Combien d’artistes, restés anonymes, auront été dépossédés de leur musique ? Combien d’autres auront retournés leurs vestes pour rester (momentanément) en tête des Charts ?- Combien sont morts ? Combien ont été abîmés par cette machine à fric, broyeuse de talents ? »Phantom of the Paradise » c’est aussi l’histoire d’une vengeance, celle de Wislow Lich, à qui on a définitivement tout pris. Mais chez Brian de Palma, même la vengeance ce paye durement.Mêlant le fantastique à la comédie, l’opéra Rock au comique de situation, « Phantom of the Paradise » est un film à voir, à voir et à revoir pour en cerner toutes les subtilités, tous les messages qu’ils comportent.N’hésitez surtout pas à lui choisir son édition 2 DVD, les Bonus (interviews) sont fait d’incroyables révélations. Les principaux acteurs témoignent avec sincérités et émotions aux travers de moult anecdotes vraiment étonnantes et enrichissante (sal*ps de Kiss !). Et quel plaisir de voir l’acteur qui joua le rôle de Beef s’exprimer (le plus souvent possible) dans un Français presque parfait… Et plein d’humour.Je vous invite à voir le film avant, pour mieux les savourer (les bonus) ensuite.Un « Must » ! 20/20
Reviewer: M.W.
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Wurde auch Zeit, dass PHANTOM OF THE PARADISE endlich in deutscher Fassung auf DVD erscheint. Brian De Palmas Frühwerk zählt zu den gelungensten Rock-Musicals aller Zeiten und braucht Vergleiche mit anderen Klassikern dieses Genres, allen voran natürlich THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW, nicht zu scheuen.Die Handlung stellt eine wilde, aber höchst unterhaltsame Kombination aus verschiedenen Motiven der Weltliteratur dar, darunter FAUST, DAS BILDNIS DES DORIAN GRAY und natürlich DAS PHANTOM DER OPER. Letztgenanntes Werk bildet den Leitfaden der tragisch-komischen Geschichte von Swan, Winslow und Phoenix.Swan, der erfolgreichste und zugleich geheimnisvollste Songwriter und Producer der Gegenwart, hat vor Jahren einen Pakt mit dem Teufel geschlossen und ihm seine Seele vermacht. Im Gegenzug erhielt er dafür immerwährende Jugend und Unsterblichkeit. Jetzt plant Swan sein eigenes Denkmal, den ultimativen Rocktempel: das PARADISE.Natürlich bedarf es zur Eröffnung des Theaters eines ganz besonderen Sounds, und diesen findet Swan in den Kompositionen des jungen, unbekannten Winslow. Anstatt sich jedoch mit dem aufstrebenden Talent zu verbünden, zieht Swan es vor, die Partituren zu stehlen und Winslow mittels gefälschter Beweise ins Gefängnis zu bringen, wo ihm übel mitgespielt wird. Winslow gelingt die Flucht, doch als er, getrieben von blinder Wut, Swans Produktionsanlagen zerstören will, gerät er mit dem Gesicht in die Plattenpresse. Schwer verletzt und verfolgt von der Polizei, stürzt er sich in die Fluten und gilt daraufhin als tot.Fortan geschehen merkwürdige Dinge im fast fertiggestellten PARADISE, in dem die Vorbereitungen für die große Show auf Hochtouren laufen. Ein maskiertes Phantom sorgt für Angst und Schrecken und sabotiert die Proben mit gezielten Sprengstoff-Attacken. Swan erkennt jedoch schnell, mit wem er es zu tun hat: Natürlich ist es der entstellte Winslow, der, mit Umhang und Maske versehen, alles dransetzt, Swans Lebenswerk zu vernichten. Um ihn davon abzuhalten, bietet Swan dem Phantom an, seine Komposition in den hauseigenen Studios vollenden zu können, und die hübsche Sängerin Phoenix, in die sich Winslow unsterblich verliebt hat, für die Hauptrolle zu besetzen.Es kommt, wie es kommen muss: Swan legt Winslow erneut aufs Kreuz und schnappt sich nicht nur dessen Noten, sondern auch das Mädchen. Ein folgenschwerer Fehler, wie sich noch herausstellen wird, denn jetzt ist das Phantom in seinem Rachedurst nicht mehr zu stoppen. Im PARADISE bricht die Hölle los…Neben William Finley als Winslow und Jessica Harper als Phoenix glänzen vor allem Paul Williams als Swan (der auch die Songs für den Film schrieb) und Gerrit Graham als völlig durchgeknallter Rocker Beef, der – nomen est omen – bei der Eröffnungsfeier auf offener Bühne gegrillt wird (was dem PARADISE ironischerweise endgültig zum Durchbruch verhilft). Der fantastische Soundtrack, die temporeichen Kamerafahrten, die schrillen Kostüme und Outfits und nicht zuletzt de Palmas gekonnte Regie garantieren maximales Vergnügen. Zudem wirft PHANTOM OF THE PARADISE einen heiter-zynischen Blick auf das Music-Business und feiert gleichzeitig sämtliche liebgewonnenen Klischees über Sex, Drugs & Rock’N’Roll – einfach klasse!
Reviewer: RUBEN TALON
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Quiero aprovechar estas lineas para reseñar que Llamentol y otros vendedores de BD-R ¨quemados » estan tirando del impresionante catalogo de Arrow Video(zona compatible con la europea) con titulos como este, LOS CABALLEROS DE LA MOTO o LIFEFORCE, pero, ay, sin la enorme cantidad de extras que se incluyen en la edicion importada ,que es la presente:1hora de entrevista a Paul Williams por Guillermo del Toro, casi 1 hora y media de making of con entrevistas a Brian De Palma, William Finley, Jessica Harper, etc…Una autentica gozada.La unica pega es, que, si bien la pelicula esta subtitulada en ingles para sordos, los extras,no.Por lo demas, inexcusable para todo fan depalmiano que se precie.
Reviewer: Kryss
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: An amazingly underrated film fully deserving of the cult status that other films enjoy.Sometimes there comes along an entertainment experience that sadly far too few people actually get to notice, Phantom of the Paradise is definitely one of those experiences, with great music, comedic scenes and a truly engaging story.This horror comedy musical deserves to be more recognised than it is, telling the tale of Winslow Leach, a talented musician in a sea of drudgery and manufactured pop acts that has his music stolen by the enigmatic producer Swan to launch the opening of his rock palace ‘The Paradise’As Winslow attempts to gain revenge for this misdeed things take a turn for the worse and result in a tragic tale of thrills, chills and fantastic music.I would recommend this to anyone and wouldn’t be surprised in the least if a few others find themselves another cult classic to add to their collection.
Reviewer: Francisco Espinosa
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Es difícil describir Phantom of the Paradise para los no iniciados, pero baste decir que es una joya de culto para todos aquellos amantes del « Bizarro Film ». Cinta influyente en muchos cineastas y músicos que la citan como referencia directa a muchas de sus obras, El Fantasma ofrece una versión única y poderosa de 3 obras de la literatura gótica: El Fantasma de la Ópera, El Retrato de Dorian Gray y Fausto.Brian de Palma ofrece la que, tal vez, sea su obra más poderosa en emociones y fuerza narrativa, con experimentos trascendentales de dirección y edición, que aún hoy podemos ver usadas en obras más recientes y de mayor presupuesto. La cinta nos cuenta la historia de un joven compositor llamado Winslow Leach (William Finley) que busca poder llevar su obra a más gente. En su búsqueda, cae en manos del más grande productor de su momento conocido sólo como Swan (interpretado por el músico Paul Williams), quién le ofrece la oportunidad de dar a conocer su obra al mundo en la inauguración de su nuevo club; El Paraíso. En el proceso, Winslow conoce a Phoenix (Jessica Harper), cantante que se vuelve su musa y que Winslow quiere que sea la intérprete de su obra.Winslow es traicionado por Swan y, tras ser desfigurado y con la garganta destrozada, jura venganza en contra del productor. Logra colarse al Paraíso y aterrorizar a las personas que intentan montar la obra con su música, pero Swan lo encuentra y lo convence de seguir trabajando en su obra, prometiéndole que Phoenix sería la intérprete. Winslow acepta sólo para ser traicionado nuevamente, pero en el proceso descubre el secreto de Swan; el famoso productor tiene un pacto con el diablo que lo mantiene siempre joven.El desenlace de la cinta es delirante y excesivo, como toda la película. La música de Paul Williams estuvo nominada tanto a los premios Oscar como a los Globos de Oro, aunque la cinta fue un fracaso en taquilla. Sin embargo, los años le han hecho justicia a la obra siendo citada como cinta de culto y uno de los proyectos más queridos de la amplia carrera de Brian de Palma. La edición de Shout Factory es impecable, con una muy buena remasterización en HD que hace que se vea mejor que nunca, además de muchos, muchísimos extras que complementan la vista y dan más información sobre el proceso creativo detrás de Phantom, así como su perenne influencia en la cultura pop. Sobresale una conversación entre el cineasta mexicano Guillermo del Toro (gran fan de esta película) y Paul Williams.Si dudaban comprarla, mi consejo es que la adquieran, así nunca hayan visto la película, y se den la oportunidad de conoces una obra de culto que, seguro, se quedará en sus mentes y corazones por mucho tiempo.
Reviewer: andrea pirazzini
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: finalmente ad un prezzo vicino alla decenza per questa bella limited con libro di 160 pagine che comunque non giustifica i folli prezzi chiesti in giro per tale prodotto che alla sua uscita costava si e no 50 €…il film sembra anticipare futuri musicals di fama mondiale su tutti Grease e Rocky Horror ( vedasi il folle Beef) con evidenti citazioni del Faust…Imperdibile per i fans un gran bel film in definitiva