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Les Deux orphelines vampires, 1 DVD, 100 minutes
Aspect Ratio : 4:3 – 1.33:1
Rated : Suitable for 16 years and over
Package Dimensions : 19 x 13.6 x 1.5 cm; 100 g
Director : Jean Rollin
Media Format : PAL, Colour, Widescreen
Run time : 1 hour and 40 minutes
Release date : 1 Dec. 2008
Actors : Alexandra Pic, Isabelle Teboul, Bernard Charnacé, Natalie Perrey, Anne Duguël
Language : French (Dolby Digital 2.0)
Studio : LCJ Éditions & Productions
ASIN : B000BU9P4G
Country of origin : France
Number of discs : 1
Prix : €17.89
(à partir de Jun 10, 2025 10:36:39 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 2.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: PARKER
Rating: 1.0 out of 5 stars
Title: Peu convaincant
Review: Ce film de Jean Rollin est peut-être un des moins réussis que je connaisse, les deux héroïnes font des vampires bien frivoles et peu convaincantes, et ce film s’essouffle sous une intrigue et des jeux d’acteurs bien maladroits.
Reviewer: Gatien
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Un film que ma mère et moi aimions beaucoup à voir et à revoir !
Review: Que nous adorions Jean Rollin et ces orphelines vampires qui chantaient sournoisement sou sla lune et toutes nues !GS
Reviewer: Black Screen
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: Sexys suceuses
Review: Depuis son premier long-métrage sorti en 1968, Le Viol du vampire, Jean Michel Rollin Roth Le Gentil – alias Jean Rollin – n’a eu de cesse de rendre hommage à un mythe qui le fascinait par-dessus tout: le vampirisme; affrontant les problèmes de financement, de distribution et de censure avec une énergie et un enthousiasme jamais pris en défaut. Placée sous le signe de l’horreur et de l’érotisme, sa filmographie, bien que très inégale, demeure l’une des plus riches du Z français. Réalisé en 1997 après une longue période d’absence, Les deux orphelines vampires marque le grand retour du Rollin gothique, le cinéaste signant une adaptation de son propre roman éponyme publié par les éditions Fleuve noir. Plus soft que d’habitude (il n’y a qu’un seul vrai plan nichons!), ce nouveau cru présente un Rollin débarrassé des impératifs commerciaux qui habitaient bon nombre de ses œuvres précédentes, enfin libre de s’adonner presque intégralement à son esthétique macabre de prédilection.Si l’on fait abstraction de l’habituel côté bricolé de l’ensemble (les moyens sont encore et toujours précaires) et de l’interprétation hasardeuse des deux héroïnes, Louise (Alexandra Pic) et Henriette (Isabelle Teboul) – qui affichent un jeu théâtral du meilleur effet ! -, ce long-métrage s’avère l’un des plus aboutis du cinéaste. Moins kitch, plus rythmé (enfin, tout est relatif avec Rollin…), mieux écrit; en un mot, plus addictif que la plupart de ses autres productions, souvent plombées par des longueurs insurmontables. En clair, il s’agit du film idéal pour s’initier en douceur à l’univers de l’auteur ! Placé sous le sceau du surréalisme et de la flânerie, Les deux orphelines vampires est une nouvelle fois traversé par une galerie de personnages improbables (la femme au fouet, la femme-louve, la goule…) qui vont croiser la route de nos deux jeunes amies, prédateurs ambigus (doit-on les plaindre ou les redouter ?) qui se servent de leurs apparente fragilité pour mieux amadouer et anéantir leurs proies. Dépassant des conditions de tournage qu’on devine très fragiles, Rollin nous offre un film très premier degré (le réalisateur a toujours affiché son dédain pour l’ironie) qui dégage un parfum de nostalgie et de poésie régulièrement poignant, l’évidente sincérité de la mise en scène et le traitement très littéraire lui conférant des allures d’ovni plutôt anachronique en cette ère marquée par l’invasion de slashers en provenance d’outre-Atlantique ! Une étrange curiosité.Retrouvez toutes mes critiques sur ecrannoir.skyrock.com
