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Fantastique

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Le Navire étoile, 1 DVD, 108 minutes
Aspect Ratio ‏ : ‎ 4:3 – 1.33:1
Is discontinued by manufacturer ‏ : ‎ No
Rated ‏ : ‎ Universal
Product Dimensions ‏ : ‎ 13.5 x 1.3 x 19 cm; 132 g
Director ‏ : ‎ Alain Boudet
Media Format ‏ : ‎ PAL
Run time ‏ : ‎ 1 hour and 48 minutes
Release date ‏ : ‎ 6 Sept. 2011
Actors ‏ : ‎ Dirk Sanders, Geneviève Casile, Pierre Massimi, René Arrieu, François Maistre
Language ‏ : ‎ French (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio ‏ : ‎ INA
ASIN ‏ : ‎ B00563YJSK
Country of origin ‏ : ‎ France
Number of discs ‏ : ‎ 1
Prix : €16.89
(à partir de Jun 12, 2025 02:09:21 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: Bruno
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Retour vers le futur
Review: Diffusée quasiment en direct le 11 décembre 1962 (quelques séquences étaient déjà tournées en studio pour des raisons techniques) cette oeuvre de science-fiction est une première pour la RTF de l’époque.Je la croyais perdue, n’en connaissant que quelques photographies de plateau dans l’ouvrage Merveilleux, Fantastique et Science-Fiction de Jacques Baudou et Jean-Jacques Schleret (édition 8ème Art).Elle est enfin accessible et on peut suivre avec intérêt une histoire forte.Amateur de sabre-laser ou autre fulguro-poing s’abstenir: effets spéciaux réduits au minimum (juste dans le rêve de Gregson interprété par François Maistre), décors minimalistes et musique futuriste.Bien sûr, il faut accepter le noir et blanc et la définition faiblarde (une caméra traditionnelle filmant un téléviseur à forte rémanence pendant la diffusion, le magnétoscope n’étant pas encore utilisé systématiquement).Le son est correct mais le sous-titrage peut être utile.Par contre je ne connais pas l’identité du présentateur de l’époque.Destinée avant tout aux amateurs de paléotélé (donc à moi)
Reviewer: Jean-Pierre Lion
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Très intéressant mais image pourrie/TV d’époque 1962
Review: Quand l’ORTF diffusa quasiment en direct (voir commentaire de Bruno du 24/11/1962) Je n’avais pas encore un an. C’était l’acte de naissance de la SF à la télévision française.Le tout récent commentaire d’Antiochus21 du 26/12/2020 contient une erreur : Le roman dont ce film constitue l’adaptation n’est nullement américain mais anglais. Il fut publié dans la revue de John Carnell, New World (avant qu’elle ne devienne célèbre sous l’égide de Michael Moorcock) dans les numéros d’avril, mai et juin 1955 sous le titre Star Ship. Il prit ensuite, en volume, celui de The Space Born. Il connut trois éditions et trois traductions françaises différentes. Tout d’abord, Le Navire Etoile (titre qui fut conservé pour ce « téléfilm ») au Fleuve Noir Anticipation N° 107 du 1° trimestre 1958 Adapté de l’anglais (Star Ship) Par A. Audiberti. Puis Objectif Pollux (l’édition connue d’Antiochus21) éditions Ditis N° 163 du 1° trimestre 1960 traduit de l’américain (C’est une erreur, en fait de l’anglais) par Georges Camici & Michel Averlant. Antiochus21 et Ditis sont excusables car la première édition en volume fut publiée aux USA en 1956 par Ace Books en paperback (format poche) dans la célèbre collection Ace Double qui offrait deux romans tête-bêche. The Space Born était couplé avec The Man Who Japed (Le Profanateur) de Philip K. Dick. Et enfin, Fils de l’Espace, plus conforme au titre en volume, The Space Born (Nés dans l’Espace) publié au 1° trimestre 1977 aux Presses de la Cité dans la collection Futurama (2° série) N° 8, dirigée par Jean-Patrick Manchette (Oui, celui du polar !) dans une traduction de Nathalie Gouyé. Quant à l’auteur, Edwin Charles Tubb, il est également anglais, né à Londres le 15 octobre 1919 et mort le 10 septembre 2010. C’était un tâcheron qui à beaucoup publié d’aventures de SF à l’instar de ses confrères britanniques John Russell Fearn (Vargo Statten) et Kenneth Bulmer. Ils étaient les équivalents anglais de nos Richard-Bessière, Jimmy Guieu, Maurice Limat, Max-André Rayjean, etc. E. C. Tubb fut publié par deux fois au Fleuve Noir : ce Navire Etoile et L’autre univers (sous le pseudo de Volsted Gridban – l’autre V. Gridban, Les mines du ciel, est du à la plume de J. R. Fearn) mais Tubb est surtout connu en France pour la série d’aventures SF de Earl Dumarest (32 volumes chez Gérard De Villiers + un 33° tardif)Cette lecture remonte à 2/3 de ma vie, soit le 28 avril 1980, plus de 40 ans; aussi n’en ai-je pas les souvenirs les plus précis. Néanmoins, j’ai l’impression que cette adaptation s’écarte plus ou moins du roman, sans toutefois le trahir, il reste tout à fait reconnaissable, pour ce dont je me souviens. Maintenant que les 3 éditions sont ressorties des cartons et étagères où elles gisaient depuis des lustres sous la poussière, je vais peut-être le relire.Ce « téléfilm » en noir & blanc – surtout en gris – dû au procédé consistant à filmer l’écran d’un téléviseur avec une caméra traditionnelle lors de la diffusion en direct. Il ne faut donc pas s’étonner de l’image pourrie. Au moins l’adaptation n’est-elle pas perdue. Pour l’esthétique, ce « téléfilm » sera à rapprocher de Ikarie XB1, film tchèque de Jindrich Polak, tourné l’année suivante, y compris la musique, qui, au final, est peut-être ce qui date le plus. D’un point de vue technique, c’est du théâtre filmé, pour l’essentiel, en direct; c’est pourquoi je mets des guillemets à « téléfilm » pour cette émission mais ce n’est pas aussi visible que, par exemple, pour Marie-Octobre (1959) avec Danielle Darrieux.L’histoire. 2000 humains, le pool génétique minimum en deçà duquel le groupe ne saurait survivre à terme, ont embarqué sur un vaisseau spatial. (Thème de l’arche stellaire, du vaisseau générationnel) Un univers clos, aux ressources limitées, dirigé par Psycho, un « ordinateur » (1962, roman de 1955). Autant de thèmes qui vont s’entrelacer. Celui de l’eugénisme, indispensable pour brasser au mieux ce pool génétique restreint et le préserver de la dégénérescence mais qui interdit toute vie affective et amoureuse, considérée comme immorale car préjudiciable à l’avenir de tous. Le thème de la machine consciente (même si ici elle ne l’est pas, c’est bien la thématique qui transparaît), et la peur qu’elle engendre. Qui la dirige ? Qui la truque? L’euthanasie rendue nécessaire par le système clos aux ressources limitées du vaisseau qui conduit à faire éliminer par la police les bouches inutiles, vers 40 ans, ceux qui en viennent à moins produire qu’ils ne coûtent et constituent par là un intolérable gaspillage. Presque 60 ans plus tard, ce thème retentit d’un écho très particulier quand les écologistes font considérer la terre entière comme un univers clos. Ce qu’elle n’est évidement pas. Sans l’énergie du soleil, la vie n’y ferait vraiment pas long feu. Néanmoins, ce concept de planète close vivifie l’idée d’euthanasie. Dans les années 80, Jacques Attali ne s’est pas prononcé en faveur de l’euthanasie – il a gagné ses procès contre ceux qui l’en ont accusé – mais beaucoup ont interprété ses écrits ainsi. En fait, il estimait que ceux qui ne produisaient moins de richesse qu’ils n’en coûtaient à la société devaient avoir la décence d’user de la liberté d’un suicide civique afin de ne point imposer leur charge à autrui. Mais pas question que la société ne tue ces gens comme dans ce « téléfilm ». L’épidémie actuelle aurait placé certains soignants dans la position de devoir choisir, en l’absence de moyens suffisants, qui soigner ou non. Peut-être cela n’a-t-il pas eu lieu mais il en a été question : le sujet n’est plus tabou. A Reims, une décision de justice a imposé à l’autorité médicale de trahir son serment d’Hippocrate et de faire mourir un individu qui survivait sous assistance médicale…Ce « téléfilm » recèle nombre d’éléments donnant à réfléchir à défaut d’effets spéciaux tonitruants, de vacarme et d’explosions. Mine de rien, E. C. Tubb avait produit là un roman de fiction spéculative.Une œuvre intéressante tant par son contenu que pour la place qu’elle occupe dans l’histoire de l’audiovisuel.
Reviewer: Antiochus21
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Très intéressant à plus d’un titre
Review: Adaptation plutôt fidèle – surtout dans l’esprit – d’un roman américain de science-fiction (titre français dans l’édition de 1960 : Objectif Pollux, d’E.C. Tubb), ce téléfilm est très intéressant, entre autres grandes qualités, par son parti-pris de traitement à la façon d’une pièce de théâtre : ce n’est nullement une trahison, au contraire. Très recommandable !
Reviewer: fuguen
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Génial
Review: C’est un excellent téléfilm de science-fiction à la qualité rare. La trame de l’histoire est bonne, les comédiens sont bons et on ne s’ennuie pas. C’est une très bonne idée de réédition.
Reviewer: Guy Lecocq
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Toute un histoire
Review: C’est en noir et blanc, le son n’est pas parfait, les décors sont simples, l’image usée… et ça n’a aucune importance car l’histoire à elle seule initera votre immagination à corriger ces petits défauts.Plus qu’un téléfilm, c’est un veritable roman parlant à illustrations animées, une histoire fantastique jouée par des acteurs de grande qualité. Un film qui interpelle toujours sur la nature profonde de l’homme, de sa capacité à s’adapter, de sa soif de liberté, du pouvoir de l’homme sur l’homme… et de sa relation trouble avec les ordinateurs et les machines.A voir pour son histoire…
Reviewer: kouque
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: aimé la fiction
Review: film a la hauteur d’une fiction qui nous font pensés a des période connue de notre présentses avec le noir et blanc que l’on se transporte dans le future avec pour l’époque une vision d’un monde modernea qui veut en faire l’achat il faut aimé être entre film et théâtre et ses très bien sur le fond et la forme
Reviewer: jean michel b
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Dvd navire étoile
Review: BonjourExcellent films de sciences fiction dvd parfait👌Jean
Reviewer: Ariel M
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: LE NAVIRE ETOILE
Review: Je ne connaissais pas ce bijou de science fiction et je reste émerveillé de la qualité d’interprétation et de la réalisation pour ce film des années 60.BRAVO.

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📅 Date de mise à jour : Jun 12, 2025 02:09:21 UTC

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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