Le Monocle rit Jaune
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Le Monocle rit jaune, 1 DVD, 97 minutes
Rapport de forme : 1.66:1
Production interrompue par le fabricant : Non
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Réalisateur : Georges Lautner
Format : Noir et blanc, PAL
Durée : 1 heure et 37 minutes
Date de sortie : 31 mars 2006
Acteurs : Paul Meurisse, Marcel Dalio, Olivier Despax, Robert Dalban, Barbara Steele
Doublé : : Français
Langue : Français (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio : EVERGREEN
ASIN : B000EYJDX2
Nombre de disques : 1
Prix : 12,99 €
(à partir de May 17, 2025 23:27:19 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: G.G
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Jusqu’à présent j’ai fait ce qu’il convenait que je fisse : Adorer ce film de Georges Lautner…
Review: Maintenant je ferai ce qu’il est nécessaire que je fasse : écrire donc un commentaire sur ce Monocle qui rit jaune, édité par COIN-DE-MIRE…Le Crescendo caractérisa le développement de cette tricolore trilogie savoureuse des « Monocles » (du noir, du bleu et du jaune… En niveaux de gris).A) L’opus premier (le Monocle Noir) aborda timidement ce genre nouveau propre à G.Lautner, et posa comme premier jalon ce mélange si particulier de drame et d’humour décalé, empreint de bons mots, servis par une mise en scène esthétisante : ici un contexte gothique confiné, « sombre » et nocturne.B) Le second long métrage (l’Oeil du Monocle) élargissait l’horizon, embrassant les eaux « bleues » de la lumineuse méditerranée (en surface et sous les eaux), poussant encore plus loin l’absurde en dispensant des situations cocasses serties de bons mots jouissifs et cinglants, et toujours en privilégiant, de ci et de là, une mise en scène esthétisante souvent caractérisée par de nombreux plans en court-focale (grande angle)…C) Jusqu’à finir en apothéose avec cet ultime épisode de ce Monocle qui rit « Jaune », et sans plus de raison gardée, faire exploser le barrage de toutes les hésitation en défouraillant l’absurde jusqu’à l’os :-Un Paul Meurisse interpellant en aparté le spectateur.-Intervention éphémère de Lino Ventura (clin d’oeil aux « Tontons Flingueurs »).-Hécatombe délirante à coup de flingues (de méchants asiatiques qui trépassent en surnombre sans jamais réellement mourir, pour – de toute façon… réapparaître plus tard…[En aparté : la mort du personnage pour majeure raison parce qu’il est interprété par Marcel Dalio procure une pincement au coeur !].-Faire entonner et pousser la chansonnette au trio Meurisse/Dalban/Dalio dans le contexte surréaliste d’un cabaret asiatique…-Toujours et encore saoupoudrer des dialogues riches et souvent cyniques (aristocratique : Dromard, populeux : Poussin). et pousser le crime jusqu’à faire des démonstrations savoureuse sur la conjugaison des temps et de l’usage du subjoncif (« Jusqu’à présent j’ai fait ce qu’il convenait que je fisse, maintenant je ferai ce qu’il est nécessaire que je fasse »… ).-L’humour tient donc aussi à un usage de grande qualité de la langue français, notoirement et de manière récurrente (sur les trois opus), en prodiguant sous couvert de scènes théâtrales des citations, des oraisons, des discours déclamés par un merveilleux Paul Meurisse aux faîtes des prouesses dans l’art et la discipline de l’élocution et de la diction…[En aparté : ces qualités semblent avoir été depuis longtemps bannies de nos jours par de prétendus acteurs/comédiens qui auraient besoin de consulter des orthophonistes, PARLER « VRAI » : OUI, MAIS CORRECTEMENT C’EST MIEUX ! »].-Pousser loin l’esthétisme de certaines scènes par un cadrage qui relèvent d’un certain Art de la Photographie (la séquelle Macao et ses rues désertes)…[En aparté : On se plait à rêver d’un ARTBook qui offriraient – Si elles existent – un panel des photos des trois tournages de films].-Enfin et encore, sans parler de « ce plaisir à se faire plaisir » (presque enfantin) en abusant des possibilités d’une caméra (ralentis, marche arrière, etc).On l’aura bien compris (que les esprits chagrin vipérins économisent leur bave) : quels que soient « Les Monocles », les histoires ne sont que des prétextes à une grosse déconnade… Mais de qualité.Pour autant, il faudrait noter deux choses qui caractérisent particulièrement ce « Monocle qui rit Jaune » :1) La partition musicale signée du regretté Michel Magne (un plagiat assumé du « TAKE FIVE du Dave Brubeck quartet ») qui, de manière entêtante baigne ce long métrage dans une atmosphère fataliste…2) Ce qu’aucune grande superproduction (on ne peut s’empêcher de penser aux James Bonderies et autres JasonBourneries du passé ou du moment – puisqu’il est question après tout – d’histoire d’agents secrets) ne seront jamais parvenue à dispenser, malgré des tournages fastueux… C’est cette particularité si « attachante » qui relève de la valeur du documentaire : les déambulations et errances des acteurs au coeur (à leur insu) de vrais gens, de vrais personnes, de vrais êtres humains : rues, marchés, de jour, de nuit, etc.Une véritable incursion dans le réel, le quotidien sans artifices, en usant de toutes la gamme des longues focales de loin ou parfois caméra à l’épaule au milieu de la foule…Ce qui (en plus de toutes les raisons évoquées au long de commentaire : de l’absurde à la déconnade), marié avec la musique confère une grâce particulière, presque mélancolique ou du moins magique et sensible…[En aparté : On se plait à rêver de cette particularité si les scénarios de quelques autres des films de G.lautner, dont les « Tontons Fligueurs » avaient permis (au moins par touches) de filmer par exemples des scènes dans des rues, la nuit, le jour, les halles, les machés, etc].Bon quant à l’édition coin de mire » DVD/BLU-RAY COFFRET PRESTIGE » , Si on peut -éventuellement – regretter l’absence de scènes inédites… comme DAB RAS : »De la qualité, encore de la qualité, toujours de la qualité »…
Reviewer: Fanfan
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: indispensable
Review: C’est du Lautner, on sent déjà le style qui s’imposera plus tard dans les Tontons Flingueurs et les Barbouzes
Reviewer: L. Jay
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: sublime lautner au sommet!
Review: D abord les choses qui fache: Que les faiseurs de dvd (LCJ dans ce cas) arrete de nous prendre pour des pigeons. Sur la jacket on tamponne le nom de Lino Ventura comme l un des premiers roles et sur le dos de la jacket LCJ est tellement obsede par lino qu ils l ont imprime deux fois dans la liste des acteurs. et lino a un role de 3 secondes dans le film. De plus sur un dvd neuf la jacket est casiment ilisible. Enfin la bande son du film est tres mauvaise, presque inaudible, limite de pourrir mon plaisir.Parceque le film est un vrai bijou. Launtner j en ai fais une statue pour nombreux de ces films mais dans le monocle cŽest pour moi un vrai chef d oeuvre. Hong kong est superbement bien filme, l ambiance est reel et l odeur d opium parfume le film entier. La realisation est juste et le montage encore plus juste. L histoire est bien ficelle, le personage du commandant original et la creativite des dialogues et des gags succulents et que dire de la musique de jazz de michel magne: encore sublime! Le seul bemol reside sur le choix de marcel dalio qui m a pas vraiment convaincu…evidement Paul meurisse frise la perfection et dalban fidele de lautner ajoute une valeur au film. Les dialogues ne sont pas de audiard mais aussi claquant. En 3 mots sur l histoire: Le service d espionage francais envoie donc meurisse en mission a hong kong affronte les mechants et a partir de la on se poile durant 1h30. Un film drole: excellent!
Reviewer: Rémi
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Ultime tour de piste du Commandant Dromard, alias le Monocle.
Review: Tourné en 1964, et ultime opus de la trilogie de George Lautner, Le Monocle Rit Jaune est une comédie d’espionnage, qui parachève en beauté l’édifice du style Lautner, débuté dès 1961 avec les premières aventures du Commandant Dromard.La carte de l’humour et de l’aspect décalé est toujours privilégiée. C’est transgressif, c’est très « second degré ». C’est de l’humour noir porté par l’impeccable et flegmatique Paul Meurisse, monocle à l’oeil, cigare vissé entre les dents, et créateur d’une manière toute particulière de tenir son Colt 45 : à savoir comme un cierge dans une église.Les gags et les scènes cocasses se succèdent frénétiquement, le tout dans une grande verve parodique. Paul Meurisse nous régale avec ses imparfaits du subjonctif, disséminés entre deux danses de Saint-Guy. A ne surtout pas manquer : le numéro chantant « JE VEUX REVOIR MA NORMANDIE », impayable, hilarant.
Reviewer: Client d’Amazon
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: RAS
Review: Excellente suite de la série du Monocle, j’ai bien aimé.
Reviewer: Jean Pailler
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: un film culte, pas seulement une comédie, qui fait aussi réfléchir.
Review: De loin, pour moi, le meilleur film de la trilogie du « monocle ».Difficile de rappeler seulement les scènes inoubliables – la fusillade à Macao – l’enterrement d’Oscar Hui – le « show » des trois héros… Mais, peut-être, avec tendresse le personnage joué par Renée Saint-Cyr, et, avec beaucoup d’émotion, la mort du « petit Normand », le grand DALIO, qui, bien plus tard, dans « Rabbi Jacob » chantera encore qu’il veut revoir sa Normandie. Grande leçon d’humanisme, et preuve qu’on peut dire des choses sérieuses en faisant rire.Le double tandem Paul Meurisse/ Robert Dalban et Paul Meurisse/Olivier Despax fonctionne à la perfection, preuve qu’on a pu faire du bon cinéma sans vouloir ennuyer. Et comme dit Perceval: « il est toujours bon d’être UN PEU en guerre avec les Anglais… »
Reviewer: Client d’Amazon
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Satisfaction
Review: Produit conforme à mon attente
Reviewer: lucien renault
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Pas aussi bien
Review: Ce film n’est pas aussi bien que les deux autre (le monocle noir,l’œil du monocle).
Reviewer: VERA R. SEITZ
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Barbara Steele is my favorite actress and I accidently came across this movie with her in it. I thought I had all her movies so this was quite a pleasant surprise.
Reviewer: 4-Legged Defender
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: [THE MONOCLE – (1964) – French, dubbed in English – Fullscreen presentation] In this third installment, all of which starred director Jean-Pierre Mellville regular Paul Meurisse as Major Theobald Dromar a.k.a. ‘The Monocle’, a fey secret agent who wears a monocle (hence the nickname) and cultivates an array of other quirky mannerisms, the Major is sent to Hong Kong to track down the leader of an Asian cult that sabotages nuclear facilities around the world in hopes of stirring up a war between the superpowers as retribution for the annihilation of Hiroshima and Nagasaki. Once there, he runs into another agent for the British (Barbara Steele), gets partnered with an aging American Karate expert and a French ex-patriot who shelters them in the Chinese-held section of Hong Kong. From there, it’s off to Macau for some opium-smoking, gunplay, explosions, double-crossings, exotic locales, Asian spies dressed like they were in ‘Casablanca’, several plots that go awry, a few fistfights, a drugged dinner that culminates in a hilarious fight scene parody from ‘West Side Story’, a kidnapping, more gunplay and a concluding car-led cavalry chase led by the Brits and crafted by Major Dromar. Voilà.The French have their own unique spin with the spy film genre (among other things) and this must be among the most peculiar spy films of the 60’s. The dialogue delivered by Paul Meurisse is smug, sarcastic, witty and droll, there’s some physical comedy that even when exaggerated, doesn’t grate on my nerves the way most slapstick does. Major Dromar is exceptionally successful in his work while putting up with vulgar heathens on both sides of the law that surround him while acting like he’s wearily placating both parties, yet his agenda is entirely his own – he HAD to be the role model for the Peter Sellers character in the Inspector Clouseau / ‘Pink Panther’ series, only more clever. There’s even a scene where Lino Ventura walks into their apartment, picks up a parcel and leaves without uttering a word (Why? – Ventura was already well-known for his roles in Melville’s superb crime dramas as well). It’s a very bizarre little film that starts off slow but delivers a payoff to those who stick around for the humorous ending that calls back a line the Major stated earlier in the film – « The more I see the Chinese, the more similarities I see they have with we French ».A strange but over-qualified cast adds much to the simple storyline but extremely eccentric yet delicious humor and adequate action served up in this Asian-based, MSG-overloaded Eurospy entry featuring ‘The Monocle’- see what I’m saying?