Le Corps et le fouet [Édition Collector Blu-ray + DVD + Livret] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Nouveau master Haute Définition
Contient :
– le Blu-ray du film
– le DVD du film
– un livret de 16 pages par Marc Toullec
Rapport de forme : 1.78:1
Classé : Tous publics
Réalisateur : Mario Bava
Durée : 1 heure et 27 minutes
Date de sortie : 5 février 2019
Acteurs : Daliah Lavi, Christopher Lee, Tony Kendall, Ida Galli, Harriet Medin
Doublé : : Anglais, Français, Italien
Sous-titres : : Français
Langue : Italien (DTS-HD 2.0), Anglais (DTS-HD 2.0), Français (DTS-HD 2.0)
Studio : ESC Editions
ASIN : B07KZ4H9K7
Nombre de disques : 2
Prix : 6,99 €
(à partir de Jun 03, 2025 17:11:50 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: maximilien renaud
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Très belle qualité jolie Blu-ray bravo
Review: Quelle belle restauration aucun mot ne peut dire à quel point le travail de restauration sur ce film est magnifique bravo aux équipes techniques qui ont fait au mieux avec ce qu’ils avaient formidable en plus il y a de nombreux bonus et la couverture est superbe ça n’est pas un livre mais un très bon combo Blu-ray DVD qui m’a ravi les yeux toutefois à ne pas mettre devant tous les yeux réserver à un public averti voir avec accord parental indispensable sinon le film peut se voir avec plaisir pour ceux qui sont suffisamment adulte pour le comprendre….
Reviewer: David
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Presque parfait, à l’esthétique réussie et raffinée, son climat de terreur légère reste prenant
Review: Sur la jaquette figure le dessin caractéristique des années « Hammer », résumant en quelques vignettes les moments clés afin d’attirer le public.Durant le lent générique l’on note l’américanisation des noms et s’en étonne. Rafik Djoumi rappelle dans sa présentation que ce but était destiné à faciliter l’exportation des films au US. Et donc contrairement au générique, le film est bien réalisé par Mario Bava, et en italien en VO (sans version américaine donc).Belle esthétique proposée dans ce huis-clos obscur qui distille mystère, en cette année 1963. D’une plus courte durée que le standard 90’ (ici 1h23) l’on repère bien sûr la voix de Roger Rudel dans la première parie, qui double Kurt alias Christopher Lee.Le grand Christopher Lee (par la taille notamment) est ci affublé d’une surprenante chevelure et n’est pas le bienvenu dans son retour à cette demeure. Le passé nous est inconnu. Il se déplace toujours subrepticement, silencieux et avec mystère. Immobile derrière un rideau il écoute les critiques et manifestations courroucées sur son passage, provoquant aussi quelques frictions, comme lors de son petit-déjeuner écourté, contrariant les hôtes.L’on savoure de superbes décors et riches costumes dans cet immense château placé à l’aplomb d’une falaise, le parfum d’érotisme ou du moins séducteur des jeunes filles fraiches et séduisantes, dans ce huis-clos inquiétant où tout le monde peut être coupable. Distillant ombres, goût du fouet, passage secret, amples cheminées avec feux généreux, bruits de portes sépulcraux et pas de bottes comptés sur les pierres, longs corridors déserts et escaliers s’enfonçant dans les ténèbres, quelques toiles d’araignées habilement saupoudrées près d’une grille rouillée, bougies parcimonieuses que dominent le bruit constant du vent explicite d’une presque tempête, mêlant il va de soi pluie et orage propices et permanents, une musique adéquate et magnifiant le trouble, l’obscurité contre la blancheur des tenues.Mystère des événements, malédiction, demeure raffinée, vengeance latente, musique romantique lyrique : tout est agrémenté pour que l’on marine dans une étrange réunion qui tourne au drame, dans ce château qui devient comme une prison : un espace clos propice à décupler les phénomènes inquiétants…Sans indication temporelle ou de lieu on dirait un pope qui dirige l’office funéraire, et d’ailleurs le signe de croix est bien inversé à la manière des pays de l’Est de l’Europe. Le prénom Novenka nous oriente aussi dans ces contrées. Jean Tular dans son « Guide des films » avance la Baltique comme lieu de l’action.Ambiance latente étouffante de suspense et la lente attente en vase clos, aux bruits de serrure amplifiés, les fantômes de l’ombre entraînent des cauchemars ténébreux lorsqu’ils apparaissent en sortant de l’ombre… Il ne manquerait que les crocs aux gros plans du héros surgissant de nulle part… Il y a juste le brouillard qui n’est point ici convoqué.La musique distille aussi son mystère avec ce thème romantique lyrique au piano, récurrent et réminiscent, procurant un enveloppement gothique à souhait. Et cet appel du fouet… avec comme deux clans qui s’affrontent au fur et à mesure.Avec les codes de l’épouvante et du frisson, un motif musical tel un battement permanent oppressant de cordes ou piano est très légèrement audible (en tout cas suffisamment…) et devient comme un leitmotiv de motif qui confère une atmosphère progressive de terreur, tel une sorte de rituel macabre. L’air de rien il compte beaucoup dans cet effet suspendu d’éclat mystérieux.Tout le monde devient coupable et a ses visions. Comment tout cela finira-t-il ? Le dénouement ultime au dernier moment fait comprendre l’histoire et nous fait revoir le déroulé avec une soudaine logique.On dirait l’histoire d’un revenant « sans dentier » (signature légendaire de l’acteur principal) sous forme de cache-cache, à la présence fantomatique.Ce métrage aborde étonnement l’inceste, le SM par touches ; en somme un voile de légère perversion mais le tout paraît maintenant Grand public bien qu’il se trouvât amputé lors de son exploitation aux US. L’on apprécie les bons trucages lors des coups de fouet donnés : on y croit et les marques s’incrustent bien dans la chair presqu’offerte. Lors des coups de poignard on sort habilement du champ afin d’éviter un trucage de plus.Lorsque des protagonistes sont surpris (en intérieur et extérieur) la caméra reste sur eux afin de montrer leur réaction naturelle, sans filer tout de suite au contre-champs imposé. La caméra est alors posée et non inutilement agitée.Avec ce grain si cossu et envoutant des années 1950 à l’esthétique léchée, à la musique très importante pour la constitution de ce règlement de comptes suspendu, ce cru italien reste prenant et étonnant.Comme regrets ou petites critiques on voit parfois les ficelles, les acteurs sont parfois un peu empruntés, point complètement naturels et se retiennent ; on use aussi un peu trop du thème romantique à la Rachmaninov qui aseptise la portée sulfureuse et a contrario la musique n’explose pas lors des entrées en scène de l’intru : tout reste principalement sur la réserve et le qui-vive.On eut souhaité davantage d’érotisme, de violence ou d’épouvante, moins de compromis. Mais savons reconnaître un cadre intéressant, brossé, des superbes décors avec de réelles qualités plastiques et qui évitent le carton-pâte. « Une aura trouble, une ténébreuse splendeur gothique » [comme il est écrit sur Bava au sein de sa biographie] éclairée aux bougies et dont tous les bruits amplifiés participent de cette saveur à la fois glacée des interactions, chaude des décors, aux riches tenues raffinées qui s’opposent aux cols féminins parfois offerts.On sent juste aussi un peu trop le studio utilisé pour la chapelle, qui semble si petite de l’extérieur et terriblement grande de l’intérieur.Même si on le frise et qui est parfois la faiblesse de ce genre cinématographique, on évite la pente du ridicule, du poussif ou de l’invraisemblable avec une fin décevante qui ruinerait le bel édifice. Le passage de la cheminée est crédible, bien qu’on voie peu la porte pivoter. La scène du squelette est moins réaliste, et l’héritier et l’aide de la maison ne tomberont pas dans le panneau. L’horreur n’en est pas vraiment une et le sang ne coule pas à flots : au contraire l’on apprécie cette retenue pour nous maintenir dans l’étrangeté des lieux et situations.Côté expressions des acteurs l’on évite avec justesse le sur-jeu : on reste plutôt dans le sous-jeu, sans effets grimaçants et Daliah Lavi que l’on voit la plus à l’écran (et dont le nom apparaît le premier à l’écran) compose une palette d’amoureuse, à la fois apeurée et irrésistiblement attirée, indéniablement tentée puis qui passe de l’autre côté… Par son regard multiple et ses mains elle réussit brillamment à créer l’épouvante et l’attirance. Les autres acteurs/trices sont aussi dans des masques dignes, moins le valet par sa fonction. On varie aussi les points de vue en proposant des scènes mêlant tour à tour l’ensemble de cette petite « famille » : ainsi, bien qu’on en garde constamment la sensation fantomatique à l’esprit, Christopher Lee alias le non-bienvenu n’accapare pas tous les plans : comme Dracula il ménage ses apparitions par ses entrées agiles et fréquentes de chasseur, tournant autour de ceux et celles qui en viennent à agir ou réagir.« Sa passion pour les images ciselées, composées à la manière de tableaux, Mario Bava la cultive tout au long de sa carrière » lit-on lors de sa juste présentation. Et la pénétration à travers de lents plans nous les laissent admirer.Par cette qualité, ce genre de films dépasse le « sous-genre » dédié, pour se hisser à un véritable film mêlant habilement suspense, désirs et meurtres dans une trame fantastique habituelle.Comme bonus de cette nouvelle édition (le 3ème opus du label « Mad movies ») figure la présentation éclairante du film par Rafik Djoumi et le rappel instructif des parcours biographiques et filmographiques de Mario Bavo et Christopher Lee, ce dernier à la longévité exceptionnelle. On eut souhaité d’autres bonus portant davantage sur la critique à proprement parler du film.Pour finir, l’avis de Jean Tular, op. cit : « Dissimulée sous des noms anglo-saxons l’équipe de Bava a tourné l’un des meilleurs films fantastiques italiens : nécrophilie, sadomasochisme, sang et épouvante forment une superbe symphonie de l’horreur. »Aux côtés de ceux de Roger Corman, Terence Fisher et autres volets de la Hammer, un DVD à posséder dans toute DVDthèque du mode fantastique, et à se repasser régulièrement pour le savourer de nouveau et se faire plaisir. Ce n’est pas qu’il a « bien vieilli » : c’est qu’il était déjà bon à l’époque…Evaluation : 4,5 / 5.
Reviewer: Sonny
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Mario Bava enfin mis à l’honneur comme il se doit !
Review: Jolie édition pour ce classique de Mario Bava…comme quoi ,tout arrive ! Bravo à ces éditeurs indépendants qui comprennent enfin les fans collectionneurs de films . Bon c’est sûr, c’est quand même pas donné, mais vraiment chapeau, du bon boulot ! La qualité du bluray est bonne, le pied de revoir ces vieux films dans de bonnes conditions !
Reviewer: Client d’Amazon
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Joli packaging
Review: la copie du film m’a décue,pour un blu ray,et surtout un film de mario bava,meme si il est de 1963,j’avais la sensation de visionner un dvd
Reviewer: georges
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Je suis toujours très satisfait de vos services
Review: Bonjour je suis très satisfait de ce dvd vous êtes toujours parfait et au top merci rafoni
Reviewer: Nagar
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Le retour de Mario Bava au film gothique
Review: Histoire d’amour fou, incestueux et sado-masochiste, le Corps et le fouet était un film très osé pour l’époque. Il demeure un excellent film d’épouvante gothique, avec de superbes décors intérieurs et réalisé avec conviction par le grand Mario Bava. La performance des acteurs est excellente en particulier la troublante Dalhia Lavi et le remarquable Christopher Lee.
Reviewer: Nachtschatten
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Le fleuron du cinéma gothique italien
Review: Le Corps et le fouet (1963) est sans doute l’un des plus beaux films d’épouvante de la première moitié des années 60, période essentielle pour le cinéma fantastique gothique.Œuvre du grand Mario Bava, ce film est un véritable cauchemar que vit la superbe Daliah Lavi, harcelée par le fantôme de l’immense Christopher Lee, alors dans sa période italienne. Mais est-elle vraiment la victime ? … Le Corps et le Fouet est un long-métrage à l’atmosphère trouble et morbide, qui n’hésite pas à aborder des thèmes délicats, notamment le sadomasochisme. De plus, la relation entre les personnages du château est ambiguë, entre sensualité et dépravation. La photographie est magnifique, avec des couleurs incroyables.Un chef-d’œuvre !
Reviewer: l’hallucynogene
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: esc editions….toujours pareil…
Review: cette maison d’edition sort de vraies perle rares jamais editees en blu-ray en france avec un packaging souvent tres beau…ça c’est les bons points. l’image de ce grand film de maitre bava est IMMONDE!!! surtout pour un blu-ray… » jericho 73″ a entierement raison. je n’arrive pas a comprendre leur façon de fonctionner. promettre monts et merveilles a des cinephiles adeptes de cinema bis pour ,au final, apres avoir payé 29,90euros, se retrouver avec la meme image que le dvd qu’on possedais deja…l’objet est beau mais le contenu…l’interet d’acheter un film en blu-ray est au minimum d’avoir un master retravaillé, une qualité d’image superieure. a bon entendeur….