l’appel du Destin

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Ce DVD a été fabriqué à partir de la meilleure source vidéo actuellement disponible. Le film n’a pas fait l’objet d’une restauration numérique de l’image et du son.
Rapport de forme ‏ : ‎ 1.33:1
Production interrompue par le fabricant ‏ : ‎ Non
Classé ‏ : ‎ Tous publics
Dimensions du colis ‏ : ‎ 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 83,16 grammes
Réalisateur ‏ : ‎ Georges Lacombe
Format ‏ : ‎ Cinémascope, PAL, Noir et blanc, Plein écran
Durée ‏ : ‎ 1 heure et 39 minutes
Date de sortie ‏ : ‎ 10 juin 2015
Acteurs ‏ : ‎ Jean Marais, Roberto Benzi, Germaine Pape, Jacqueline Porel, Renée Devillers
Doublé : ‏ : ‎ Français
Sous-titres : ‏ : ‎ Français
Studio  ‏ : ‎ Gaumont
ASIN ‏ : ‎ B00UKC9OUK
Pays d’origine ‏ : ‎ France
Nombre de disques ‏ : ‎ 1
Prix : 12,36 €
(à partir de May 08, 2025 14:38:48 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: claude-eric JAQUES
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: l’appel du Destin
Review: j’ai regarder le DVD et j’ai pas trouvé de défaut très bon produit merci
Reviewer: Michael
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: Pas mal
Review: bon film mais mauvaise suite
Reviewer: Andrear45
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Bien
Review: Bien grâce à la présence de Jean Marais, mais on accroche moins que lors de « prélude à la gloire », musique superbe.
Reviewer: SABLON Nicole
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Cnforme
Review: Colis bien reçu conforme à mes attentes
Reviewer: Francoise S.
Rating: 2,0 sur 5 étoiles
Title: Vieux
Review: Même remarque que pour Prélude à la gloire : le début des années 1950 est vraiment trop éloigné !je vais le renvoyer
Reviewer: Benesbisch
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: L’appel du destin
Review: L’appel du destin est la suite du Film Prélude à la Gloire. Film formidable, Jean marais est magnifique, tout comme Robert Benzi !
Reviewer: Jean-Claude BOULEY
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Recherché depuis très longtemps, pour compléter collection de films de Jean MARAIS.
Review: Très bon scénario.Interprétation de grande qualité.Jean Marais, artiste préféré de mon épouse ne se lasse pas de revoir ses films, et ses créations artistiques.
Reviewer: Carmen
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Entre irritation et émotion…
Review: Par « l’opération du Saint-Esprit », façon de parler, voici que dans ce film censé être une suite du « Prélude à la gloire » sorti trois ans plus tôt et sous la signature du même cinéaste (Georges Lacombe), notre jeune Roberto Benzi orphelin et élevé dans un aimable taudis marseillais par sa gentille sœur aînée flanquée d’un compagnon brave mais très bas de plafond se trouve nanti d’une mère très chic et d’un père à la ramasse mais ex-pianiste surdoué !Cette incohérence totale entre deux épisodes romancés de la même vie est des plus irritantes, soit dit franchement.La mère très chic (Jacqueline Porel) suit donc ici la destinée de son enfant prodige au gré de ses voyages artistiques (cela commence à Venise), accompagnée d’une femme très distinguée, professeur de musique (Renée Devillers), qui veille au plus près sur l’oiseau miraculeux.Notre Roberto est désormais âgé de quatorze ans, il a grandi mais son allure physique est la même que dans l’épisode précédent : petite taille, corps dru et ferme, chevelure dense et noire, regard grave mais doux et sourire enfantin, absolument charmant et touchant il faut le dire.Cependant, rôde dans les parages le père de Roberto, Lorenzo – ah, notre Roberto a donc un père…-, l’ex-pianiste surdoué mais déchu, abîmé dans l’alcool et dans le petit monde interlope où sa déchéance ne choque personne, surtout pas son grand ami, italien comme je suis archevêque, incarné par Fernand Sardou (savoureux !).Lorenzo est en quête de son fils, il le trouve, l’apprivoise sans lui dire qui il est, crée le lien et le conquiert, au grand dam de Madame Mère qui, d’abord, ne supporte pas que ce revenant d’une vie passée retrouve la place qu’il a désertée en la quittant.Roberto est attiré par cet homme magnifiquement incarné par Jean Marais avant même de savoir qu’il est son père et, quand il l’apprend, il se lie à lui, en bravant les foudres maternelles.Nous voici alors dans une histoire où l’enfant prodige va devenir sauveteur…Son père fut pianiste promis au plus bel avenir, c’était peu après sa naissance et avant la déchéance, Roberto va lui restituer le désir et le courage que la musique requiert pour renaître de ses cendres et s’accomplir.Le choix de l’œuvre musicale dans laquelle l’enfant prodige chef d’orchestre et le père pianiste déchu puis revenu à la vie vont s’unir est fort judicieux, il s’agit du concerto « L’Empereur » de Ludwig van Beethoven, une œuvre dotée d’une extraordinaire et bouleversante énergie vitale, quelque chose de très puissant.Il faudrait donc être diablement insensible pour ne pas être ému par l’exécution de ce concerto splendide avec notre gosse à la baguette et son père au piano, ils sont tous deux très beaux, chacun dans son genre.Reste l’irritation suscitée par l’incohérence entre deux films sortis à trois ans d’intervalle seulement (celui-ci est de 1953), comme si l’enfant prodige qui en est le héros (et c’est toujours Roberto Benzi qui joue son propre rôle, très joliment), avait deux histoires natives, et non pas une, ce qui est passablement absurde.Irritation mise à part, il y a l’émotion et elle pèse son poids ici.Alors, entre irritation et émotion, je retiens l’émotion, d’autant plus que la scène finale est vraiment très émouvante.

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