La Porte du Paradis [Édition Double] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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LE CHEF-D’ŒUVRE MONUMENTAL DE MICHAEL CIMINO
ENFIN DISPONIBLE DANS SA VERSION INTÉGRALE !
À la fois épique et lyrique, porté par des acteurs prodigieux et symbolisant la plus pure expression cinématographique, La Porte du paradis est un projet d’une envergure démesurée, un monument incontournable dans la filmographie de Michael Cimino (Voyage au bout de l’enfer). Un chef-d’oeuvre intemporel présenté pour la première fois en version intégrale et restaurée à 2K, entièrement supervisée par son réalisateur !
Aspect Ratio : 16:9 – 2.40:1
Is discontinued by manufacturer : No
Rated : Universal
Product Dimensions : 13.6 x 1.3 x 19.1 cm; 112 g
Director : Michael Cimino
Media Format : Colour, Full Screen, Widescreen, PAL
Run time : 3 hours and 28 minutes
Release date : 20 Nov. 2013
Actors : Kris Kristofferson, Christopher Walken, John Hurt, Sam Waterson, Jeff Bridges
Dubbed: : English
Subtitles: : French
Language : English (Dolby Digital 5.1)
Studio : Arcadès
ASIN : B00D2TQ186
Number of discs : 2
Prix : €23.75
(à partir de Jun 19, 2025 18:39:11 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: « Ruben »
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Le désenchantement au temps du Far-West…
Review: Grâce à ce Blu-ray, tant attendu des cinéphiles, « La Porte du Paradis /Heaven’s Gate » passe enfin du statut de « film maudit » à celui de « film miraculeux » et ce, grâce à une entreprise de restauration 2K réalisée par Criterion l’éditeur américain, supervisée directement par le réalisateur Michael Cimino. Résultat, l’image a des couleurs magnifiques et offre un excellent piqué (sauf parfois sur les scènes d’intérieur). D’un point de vue technique quelques petits défauts subsistent qui, en aucune façon, porte atteinte à la qualité du travail de restauration rendu qui reste inégalé. Ce Blu-ray, au niveau du son, profite essentiellement à la qualité des belles compositions musicales de David Mansfield. Quant aux scènes de foule et/ou les séquences d’action celui-ci sert de façon assez marginale pour les enceintes arrières du Home Cinéma. Le son stéréophonique avant est net, donc parfait. Les dialogues et les ambiances ont également bénéficié de cette restauration, c’est appréciable. En résumé, un certain équilibre qualitatif entre l’image et le son est donc plus ou moins probant.Ce master Haute Définition présente une version originale en anglais VOST, DTS-HD Master Audio 5.1 avec sous-titrage français. Ce film a une durée de 217 mn, les suppléments sont présentés par Carlotta sur deux Blu-ray distincts :- Blu-ray 1 : Introduction de Michael Cimino et des Bandes-Annonces d’époque et de 2013.- Blu-ray 2 : Retour au paradis, une interview de Michael Cimino par Michael Henry Wilson, critique et historien du cinéma. Quatre interviews exclusives de Chris KristoffersonT, de David Mansfield , d’Isabelle Huppert et de Jeff Bridges. Tous offrent un certain intérêt. De nombreux extraits et d’émouvantes photographies permettent à ces acteurs d’évoquer sommairement leurs souvenirs sur ce tournage si particulier et rendent un hommage à son réalisateur.Quant à la restauration de ces Blu-ray : un extrait rend compte très brièvement de la formidable entreprise de rajeunissement du film, de la colorimétrie d’origine jusqu’au nettoyage complet de la pellicule. Enfin, cet autre Blu-ray contient un à-propos sur « La Porte du Paradis » – « Illusions Perdues et Retrouvées », un livret de 36 pages avec photos et rédigé par Jean-Baptiste Thoret, défenseur du cinéma américain des années 70 et auteur tout récemment de l’ouvrage » Michael Cimino « Les voix perdues de l’Amérique » paru chez l’éditeur Flammarion.Maintenant à propos de « La Porte du Paradis/ Heaven’s Gate », (1980), Michael Cimino nous dépeint ici une Amérique brutale, peu sociable, intolérante et prête à tout pour défendre ses propres intérêts du moment. On rappellera ici que « Porte du Paradis » a subi un échec commercial si retentissant lors de sa sortie aux USA, qu’il marqua l’histoire du cinéma américain, mettant de fait en grand péril les Studios d’United Artists (UA) qui seront rachetés par la MGM.Ce très long métrage s’inspire vaguement d’événements historiques nord-américains : un épisode relativement peu connu en Europe, rappelant au passage que la violence a toujours été omniprésente dans la construction de ce pays et que ce film, même s’il déplut à une frange de nantis de la société américaine lors de sa sortie USA, a partiellement contribué à mettre en lumière l’action déplorable et criminelle fomentée par le « Johnson County War/La guerre du Comté de Johnson », au Wyoming.En résumé, historiquement, en 1889, la « Stock Growers Association/Association des producteurs de bétail », composée d’importants éleveurs du Wyoming, des « Cattle barons/Barons du bétail », forma une milice de mercenaires dont la mission essentielle était de poursuivre et d’abattre les voleurs de bétail. En 1892, après l’entrée du Wyoming dans l’Union et la déclaration par le « Bureau du Recensement de la fermeture de la Frontière », ladite « Association » établira une liste noire de plus d’une centaine de personnes toutes soupçonnées de vols de bétail et, à ce titre, condamnées à mort par les « cattle barons » ainsi firent-ils envahir le Comté de Johnson par une cinquantaine de mercenaires venus du Texas, avec l’accord tacite de diverses autorités, y compris celui du président républicain Benjamin Harrison. Mais les petits fermiers immigrés prirent les armes, et la cavalerie fut obligée de s’interposer « pour éviter un véritable bain de sang »…Quant à la longue version du film que Michael CIMINO nous propose, globalement une nouvelle fresque, celle de la Conquête de l’Ouest par les immigrants de l’Europe de l’Est contre la puissante association de gros propriétaires du Wyoming. Ainsi, il est resté dirons-nous assez proche de la vraie histoire à ceci près qu’il fît, vous pourrez le constater par vous-même, quelques changements d’importance au scénario par rapport aux faits qui se sont déroulés à cette époque, notamment :- Le trio des protagonistes que nous retrouvons ici dans cette fiction : James, Jim Averill/Kris Kristofferson, personnage central du film a bien existé. mais dans l’oeuvre de Michael Cimino il en fit un fils de grands bourgeois que l’on voit en 1870, au tout début du film, se joindre en compagnie de William Irvine /John Hurt aux festivités couronnant la fin de leurs études au prestigieux établissement d’Harvard. Vingt ans plus tard Jim deviendra le Marshal du Comté de Johnson – historiquement ? Il exploita avec la belle « Ella dite Kate Maxwell »un modeste ranch et un saloon »très hospitalier pour cow-boys ». et furent de conditions assez modestes; Ella Watson/ Isabelle Huppert, la maîtresse de James, Jim Averill est présentée par Cimino comme une prostituée du Kansas à laquelle l’Association des éleveurs lui reprocha de faire payer ses faveurs en têtes de bétail volé. Son rôle est relativement plus proche de la réalité historique (même si Cimino en fait ici une tenancière de bordel, et la transforme du fait de la nationalité d’Isabelle Huppert, en une émigrée d’origine française).- Mais l’autre modification apportée au scénario par M. Cimino se situe en fait dans l’impossible participation de ces deux personnages en 1892, à la « Johnson County War » . Et oui ! il s’agit bien d’une pure fiction sortie directement de l’imagination de M.Cimino et de son scénariste. Pourquoi ? Parce que historiquement les faits parlent d’eux-mêmes et vous allez comprendre : par un matin d’été de 1889, tous les deux ( James alias Jim et Ella ) furent lynchés, pendus au même arbre, certes pas pour les mêmes raisons, par un certain Albert Bothwell, gros éleveur aussi riche qu’arrogant de la région de Sweetwater, aidé en cela par cinq hommes de main des « Cattle barons ». Ainsi donc, ni James/Jim Averill, ni Ella Watson ne purent prendre part ni au soulèvement, ni à la riposte de ces petits fermiers immigrants. Seul le personnage du film le plus proche de la vérité historique est bien celui de Nathan D. Champion dit Nate Champion/Christopher Walken. Dans les faits, il fut un temps un homme de main de « l’Association des éleveurs ». Les circonstances de sa mort sont dans ce film assez conformes à la réalité : il fut bien, assiégé pendant toute une journée et assassiné en 1892 devant sa cabane par 50 membres du comité de surveillance, mis en place par ses propres ex-employeurs, convaincus qu’il était lui-même un occasionnel voleur de bétail.- Mais vraiment la modification la plus significative apportée par Michael Cimino réside principalement dans le déroulement même lors de l’affrontement final entre ces petits fermiers immigrants et les mercenaires recrutés par les « cattle barons". En réalité, n’a absolument pas eu lieu de la manière dont M. Cimino l’a magnifiquement mise en scène : la « Johnson County War". En effet, selon la chronique de l’époque, « cette guerre » ne fit en elle-même que deux morts (Nate Champion et Nick Ray l’un de ses amis également voleur de bétail, tué avec lui au cours de l’assaut de sa cabane). M. Cimino, lui, dans son long métrage nous livre le théâtre d’une bataille d’une telle intensité et d’une violence inouïe, dans laquelle périt la plus grande partie des petits fermiers et des mercenaires texans. La chorégraphie de ces scènes est remarquable, la photographie avec ses ralentis est superbement mis en valeur.Ainsi donc parce que ce film montre l’opposition entre les petits fermiers venus de l’Europe de l’Est et les grands éleveurs du Wyoming comme une authentique lutte de classes au temps du Far-West, il a été dit et écrit par la critique du moment que « Heaven’s Gate » de M. Cimino était « un western d’inspiration marxiste », loin d’un simple western qui sort fort justement des sentiers battus du genre. M. Cimino fut audacieux, mais ne fut pas récompensé pour ce véritable chef-d’oeuvre!A voir avec délectation des scènes magnifiquement tournées, dans des décors naturels grandioses. Le jeu des acteurs principaux cités ci-dessus et secondaires ainsi que la mise en scène sont excellents. Les belles scènes intimistes et aussi les photographies des paysages du talentueux Vilmos Zsigmond donnent une grande force émotionnelle au spectateur. La bande-son offre une musique fort belle signée David Mansfield qui, faut-il le rappeler joue lui-même le rôle du jeune violoniste chauffant la salle de « La porte du Paradis », en patinant et jouant avec beaucoup de virtuosité une musique endiablée, puis dirigeant l’orchestre, le chaperon d’Ella c’est aussi lui).D’autres séquences, telles que celles-ci où tous les immigrants patinent gaiment au son du violon sont « d’une beauté plastique et d’une puissance émotionnelle qui confèrent à cet anti-western une dimension poétique », ou encore lorsque enfin seuls, Ella et James/Jim, valsent ensemble lentement au rythme du violon.M. Cimino use beaucoup des mouvements en rotation dans son film, la notion de cercle est prédominante ici et il s’en explique dans sa longue interview. Parmi les autres acteurs majeurs, je citerai également dans le rôle du sinistre Franck M. Canton/ Sam Waterston, de John Bridges/ Jeff BRIDGES, du vieux révérend/Joseph Cotten, de Mickey Rourke ou de Brad Dourif.A propos de Franck M. Canton, ce personnage sévère (ex-shériff) a bien existé, de son vrai nom Joseph Horner. Il fut un individu au passé trouble (changea de nom) et il fut bien, précédemment, le shérif du Comté de Johnson, puis il passa au service de l’ « Association des éleveurs du Wyoming », en qualité d’inspecteur des pâturages. Il se rendit coupable, entre autres, d’exactions envers les petits fermiers de Buffalo.Pour l’ensemble des thèmes développés et pour sa grandiose mise en scène de cette fresque qui en fait un grand film de référence de l’histoire américaine, c’est aussi le film qui a toute sa place dans une DVD-thèque de connaisseurs, de cinéphiles averti.e.s.Classé et reconnu au rang des Chefs-d’oeuvre du cinéma américain, « La PORTE DU PARADIS » méritait amplement sa restauration et enfin sa réhabilitation aux yeux du grand public en ressortant en salles de cinéma, en DVD et Blu-ray. Hélas, la joie de Michael Cimino aura été de courte durée car il nous a quittés dernièrement en juillet 2016, à l’âge de 73 ans.
Reviewer: jonas
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Un chef d’oeuvre imparfait très éloigné de la réalité historique
Review: D’abord le film. Heaven’s Gate, à sa sortie et à la suite des réactions très négatives des spectateurs testés lors des « premières », avait été totalement charcuté par les producteurs qui avaient enlevé 70 minutes au film! Ce qui fait que lorsque vu à sa sortie complète en salles, Heaven’s Gate était devenu largement incompréhensible. Cimino – passablement mégalomane – avait tant dépassé le budget initial et le film a été un tel flop que Heaven’s Gate a fini par ruiner United Artists et fait de Cimino une sorte de paria du cinéma américain.Cette édition complète (mais le film de Cimino durait en fait 5h 40mn!!!) désormais éditée en DVD dure 3h40 et rétablit un scénario et des ersonnages intelligibles. Picturalement, le film est absolument magnifique, entièrement tourné à Glacier Park dans le Montana, avec une abondance de figurants, chevaux, matériel, la construction d’une ville du Far West de la fin du XIXème siècle. Il y a évidemment énormèment de langueurs plus que de longueurs, notamment dans les relations entre les personnages principaux mais la mise en scène de Cimino, la qualité de la photographie, la formidable présence de la musique et du paysage transcendent cela et Heaven’s Gate est un film finalement très similaire à Deer Hunter, certainement un des plus beaux films sur la guerre du Vietnam et ses conséquences dans l’Amérique profonde. Un mot aussi sur les acteurs qui sont remarquables: Kris Kristofferson, Isabelle Huppert (imposée par Cimino à la production qui voulait mordicus Jane Fonda), Christopher Walken, John Hurt, un tout jeune Jeff Bridges sans oublier Sam Wasterson dans le rôle de l’abject « major » Canton. Le coffret comprend deux DVD, ce qui pousse à voir le film en deux fois et ainsi l’apprécier encore davantage. Plus de nombreux bonus, une interview de Cimino, extrêmement « étrange » dans ses réponses et des témoignages très intéressants des acteurs principaux.Maintenant, quid de la véracité historique du film? Si la guerre du Comté de Johnson (Johnson’s County War) a effectivement existé dans les années 1890, elle n’a absolument pas opposé des migrants pauvres d’Europe Centrale à de riches « barons » du bétail. Mais en réalité ces derniers aux petits éleveurs qui voulaient faire paître et boire leurs bêtes sur des terrains non délimités et légalement libres mais que les gros éleveurs considéraient comme leurs depuis deux décennies. Deux de ces petits éleveurs, Ellen Watson (jouée par Isabelle Huppert) et Jim Averell (Kris Kristofferson) qui avaient une liaison, décidèrent de combattre les prétentions des barons du bétail en les attaquant en justice et en les faisant condamner, Averell (qui n’avait jamais fait Harvard contrairement au film de Cimino) réussissant même à se faire nommer juge du comté de Johnson, au grand dam des gros éleveurs. Ceux-ci allaient vite réagir, emmenés par un gros éleveur mégalomane Frank Canton. Mettant le Gouverneur du Montana de leur côté, achetant la presse, ils réussissaient à accuser Averell de corruption (!) et Ellen Watson d’être en réalité une prostituée qui se faisait payer en bétail volé. En 1889, Ellen et Averell étaient arrêtés, jugés par un tribunal aux mains de Canton et pendus. S’ensuivirent plusieurs escarmouches entre les petits éleveurs et les employés des gros jusqu’en 1892 où Canton décida tout simplement d’engager 52 tueurs pour abattre l’ensemble des petits éleveurs, ceci avec l’assentiment tacite des autorités du Montana. Le premier sur la liste est Nate Champion (Christopher Walken dans le film), un propriétaire d’un assez gros troupeau (200 têtes) et connu pour sa grande abilité au revolver. Surpris dans sa ferme, Nate tint tête aux tueurs durant 7 heures, abattant nombre d’entre eux avant d’être à son tour abattu par la milice. Les autres petits eléveurs – dont plusieurs étaient des vétérans de la Guerre de Sécession – décidèrent alors de se constituer à leur tour en milice et cela donna lieu à la célèbre bataille rangée de T.A. Range en février 1892 qui dura trois jours (celle de la bataille finale dans le film) avant que l’armée, alertée, intervienne et arrête les survivants de la milice de Canton. Mais le Gouverneur du Wyoming, Amos Barber, très proche des barons de l’élevage, allait faire traîner le procès et même réussir à obtenir leur grâce du Président des Etats Unis Harrison, mal informé par les Sénateurs du Wyoming, de ce qui s’était passé réellement à Johnson County. La libération des mercenaires de Canton allait cependant soulever une très forte réprobation dans le Montana et les élections suivantes voyaient la défaite complète des barons et de leurs représentants et l’Association des Eleveurs qui avaient monté la guerre de Johnson County passait aux mains des petits propriétaires.
Reviewer: Den
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Excwllwnt musiqze acteurs un film impressioan
Review: J’ai souvent vu des films basé sur ds faits r réells mais rare comme celui ci lequel reflete un oint de vue d’une Amérique aurpès des gens venant de toute partie di ,pmde à la recherche d’une vie meilleure tout simplement. Hélas on découvre que ce n’est pas ainsi car au vur et à mesure que l’on voit le film on constate que la vie de gens sera pas ainsi sauf pour de fortunés comme les grandes firems indu srielles quin’hésiteront p a s à eleminier les gens non désieruex de vendre leurs t erres. Je v ous laissse découvrir le film ecrivez moi j’aimerais connairtre vptre piontde vue .
Reviewer: Armando Bernabéu Granado
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Tiene escenas impresionantes, completamente épicas, fuera del cliché clásico del género Wester, en ellas el director crea su propio universo, con una denuncia dura y dramática a lo que se conoce como « sueño americano ». El guión está basado en personajes reales -contemporáneos- pero no coincidieron todos en la vida real. Tampoco los hechos corresponden exactamente a lo ocurrido, aunque la película los ha reconstruido y relacionado de una forma magistral en beneficio del espectáculo. Tiene secuencias dignas de estudio -sin usar efectos especiales digitales- de una belleza y un movimiento admirables; otras al contrario son lentas, abiertas al silencio, a la dualidad, y que a mi personalmente me han cautivado. Hemos esperado 33 años para ver este montaje restaurado y supervisado por su director con 216 minutos (2013). Originalmente, la película llegaba a los 325′, Michael Cimino se comprometió entonces a recortarlo a 219′ para su estreno (1980), pero -ante la magnitud del desastre económico que presentó su producción- los directivos de United Artists se adelantaron y la redujeron a 149′.Advierto que sólo viene en V.O. (tiene la posibilidad de los subtítulos en Español), aún así -pues mi inglés es muy limitado- me ha merecido la pena.
Reviewer: Claire Faubert
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Great film and great director. Cimino paid a high price for his genious talent.Actors are great and the panorama of America is breathtaking. Magic and never been equalize
Reviewer: carlo montanaro
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: E’ quanto mi aspettavo dall’acquisto
Reviewer: Claire Faubert
Rating: 1.0 out of 5 stars
Title:
Review: J’ai commandé deux fois cet article par erreur et je vais le retourner pour un remboursement.
Reviewer: Marco
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title:
Review: Gran película y muy buena remasterización. Los extras son un poco pobres (hay un documental en 4/3 de los 90). La masterclass de Cimino és una rueda de prensa…
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📅 Date de mise à jour : Jun 19, 2025 18:39:11 UTC
🖊 Note du produit : 4.5/5 – Acheter l’article
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