La Mandarine [Version restaurée 4K]

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La Mandarine, 1 DVD, 81 minutes
Rapport de forme ‏ : ‎ 1.33:1
Classé ‏ : ‎ Tous publics
Dimensions du colis ‏ : ‎ 18,03 x 13,76 x 1,48 cm; 100 grammes
Réalisateur ‏ : ‎ Édouard Molinaro
Format ‏ : ‎ Couleur, Plein écran, PAL, Cinémascope
Durée ‏ : ‎ 1 heure et 21 minutes
Date de sortie ‏ : ‎ 4 août 2011
Acteurs ‏ : ‎ Annie Girardot, Philippe Noiret, Madeleine Renaud, Murray Head, Marie-Hélène Breillat
Langue ‏ : ‎ Français (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio  ‏ : ‎ LCJ Éditions & Productions
ASIN ‏ : ‎ B005CJBX64
Pays d’origine ‏ : ‎ France
Nombre de disques ‏ : ‎ 1
Prix : 8,09€ - 8,09 €
(à partir de May 28, 2025 08:59:46 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: Carmen
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: « Colère de tristesse ».
Review: L’une des plus heureuses et éloquentes expressions que je tienne de mes lectures romanesques provient de « La Mandarine » de Christine de Rivoyre : « colère de tristesse ».La colère est une émotion négative dirigée contre autrui, la tristesse est une émotion afflictive dirigée contre soi.Mais la « colère de tristesse », c’est bien plus subtil.Dans le roman de Christine de Rivoyre, la « colère de tristesse » est éprouvée par Mémé Boul, une vieille dame vibrante d’ardeur juvénile mais confrontée aux outrages du temps.Cette « colère de tristesse », elle l’éprouve quand son miroir lui renvoie de la femme ravissante qu’elle fut et sémillante qu’elle est encore une image flétrie, alors qu’elle se pare pour une soirée festive lui rappelant un temps irrémédiablement révolu.Elle en pleure, rageusement, ses larmes ne sont pas narcissiques mais tristement coléreuses.Mon seul regret à propos de ce film excellemment adapté du roman de Christine de Rivoyre (qui a participé à l’adaptation), c’est que cette « colère de tristesse » n’y soit pas explicitement énoncée, parce que ces mots disent tant de choses.Il reste que le film d’Édouard Molinaro est très fidèle, dans l’esprit sinon dans les détails, à un roman qu’il est difficile d’oublier tant son charme est puissant.Dans un hôtel, l’hôtel Boulard, vit une famille recroquevillée dans les séquelles d’un deuil fracassant.Mémé Boul est la grand-mère de trois enfants orphelins car sa fille et son gendre ont été victimes d’un accident mortel de la circulation alors que Séverine, l’aînée, était adolescente, et que les cadets, Alain et Baba, étaient hauts comme trois pommes.Cette famille fracassée est aimablement cinglée mais absolument soudée.La fantaisie débridée y règne, incrustée dans les cicatrices du malheur.Séverine a épousé le bon Georges, amoureux entier, débonnaire et bienveillant, qui essaie non sans mal de mettre un peu d’ordre dans le bazar ambiant…Séverine est passionnée, exclusive, intransigeante et vorace.Alain et Baba sont deux bébés vieillis, ils vivent en osmose comme des jumeaux lovés dans le ventre d’une mère disparue, cloîtrés dans une chambre où ils dorment beaucoup et écoutent leur musique préférée : l’opéra !Il faut bien qu’un tiers s’interpose dans ce huis-clos : ce sera un client anglais dans le film, tandis qu’il est espagnol dans le roman, mais qu’importe.Cet « intrus » séduit ensemble Mémé Boul, Séverine et Baba… laquelle découvrira ingénument que la séduction de Tony va faire d’elle la mère d’un enfant.Autant dire que Tony fait exploser le huis-clos et, parce qu’il le fallait bien, remet à l’heure les pendules de la vie dans une histoire déréglée.Lu il y a très longtemps, le charme du roman m’avait conquise.Vu à sa sortie, le film avait prolongé ce charme.Revu récemment : le charme est intact.Annie Girardot en Séverine, Philippe Noiret en Georges et l’extraordinaire Madeleine Renaud en Mémé Boul forment un trio gagnant ; les autres rôles sont très bien tenus avec, notamment, un adolescent abondamment chevelu nommé Jean-Claude Dauphin dans celui du frère siamois (mais non incestueux) de la petite Baba dont il est l’indéfectible chevalier, une histoire de gosses reclus dans un chagrin qui a figé les aiguilles de leur horloge existentielle.Profondeur et légèreté, gravité et folie douce, rien n’est lourd, tout est charme.Reste la « colère de tristesse ».
Reviewer: 123
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: a girardot
Review: grande satisfaction d’obtenir un autre dvd de cette actrice ou il est tres difficile de se procurer des films , et pourtant elle a su satisfaire un grand nombre de personnes , bref il faut etre un produit commercial pour etre pour etre dans les « kiosques »
Reviewer: françoise Etourneaud
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: humour
Review: un vrai plaisir de revoir ces acteurs et cette joyeuse époque!rafraîchissant!
Reviewer: Annette marti
Rating: 2,0 sur 5 étoiles
Title: Trop vieux
Review: Un film qui à tellement vieilli que ce n’est plus regardable.
Reviewer: David Desjouhières
Rating: 3,0 sur 5 étoiles
Title: curiosité post 68
Review: Une famille soudée tient un hôtel parisien. La grand-mère (M. Renaud), et ses trois petits enfants dont A. Girardot et son époux P. Noiret. Cela déborde d’affection, d’ennui, de stress jusqu’à l’arrivée d’un jeune Anglais (Murray Head) au charme tel qu’il fait exploser la cohésion. C’est drôle et étrange, avec un parfum d’immoralité Les personnages à la limite de la caricature, ont une identité grâce aux bons acteurs qui les incarnent mais on se perd dans un scénario déstabilisant.
Reviewer: Leonard Catherine
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Parfait
Review: Parfait
Reviewer: rougier
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: comédie super
Review: film piquant léger avec une madeleine Renaud géniale bref un moment de pur bonheur pour ceux qui aiment les comédies qui ressemblent a qq chose en dehors des clous !!!!
Reviewer: t ahille
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: la mandarine
Review: ce film la mandarinemontre deux acteurs monstres du cinema sensationel.c’est le seul pont que je retiens.pour le reste a l’poque c’etatit deja immoral.

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