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La Guerre des Rose (The War Of The Roses), 1 DVD, 110 minutes
Aspect Ratio : 16:9 – 1.85:1
Is discontinued by manufacturer : No
Rated : Universal
Package Dimensions : 19.1 x 13.6 x 1.4 cm; 70 g
Director : Danny DeVito
Media Format : Colour, PAL
Run time : 1 hour and 50 minutes
Release date : 7 Feb. 2001
Actors : Michael Douglas, Kathleen Turner, Danny DeVito, Marianne Sägebrecht, Sean Astin
Subtitles: : French, English, Greek, Dutch, Italian
Language : Italian (Dolby Digital 2.0 Surround), French (Dolby Digital 2.0 Surround), English (Dolby Digital 2.0 Surround)
Studio : 20th Century Studios
ASIN : B000059SIH
Number of discs : 1
Prix : €2.73
(à partir de Jun 05, 2025 23:17:31 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Thomas
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Excellent film – VF sur le bluray
Review: Juste pour préciser que la VF est bien présente sur le Blu-ray (seulement 2.0 DD (alors que la VO est en 5.1 DTS-HD Master)
Reviewer: valérie CHEVRIER
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: DVD La Guerre des Roses
Review: TRES BON FILM DE TRES BONNE QUALITE
Reviewer: thomas s.
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Top
Review: Drole
Reviewer: Jérémy M.
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Il était une fois…
Review: Ce qui me frappe dans ce très bon divertissement qui résume en long et en large ce qui sera sa caricature, Desesperate Housewives – taquin, on se dit que De Vito aurait dû en faire une série et prolonger ad nauseam tout cela pour s’assurer une rentabilité financière… – est l’infantilisme généralisé de ses protagonistes. A ce titre, Douglas joue, comme souvent, impeccablement bien ces personnages propres sur eux qui finissent par sombrer dans l’hystérie, affrontant une crise qui n’a pas été vue. Il est très bien accompagné par Kathleen Turner, tour à tour dévouée et tigresse implacable.Avec le recul, désormais, on peut sans hésiter compter ce film parmi l’un des rares de son genre à refuser toute complaisance romantique, ce qui lui permet de sortir du mythe et de mieux percer son mensonge.Ainsi, l’infantilisme est même présent dès le début. Ce sont de grands enfants (qui ne veulent surtout pas être adultes) qui commencent par jouer à cache-cache, c’est doux, c’est beau – ce qui est déjà, avouons-le, s’emmerder en substance – jusqu’à finir très vite en chasse à l’homme dans leur grande maison désincarnée.En réalité, cet infantilisme dissimule ce besoin irrésistible de retomber amoureux, de réclamer du mythe, trahissant une incapacité – ou un refus… ou une peur – d’être devant une personne, non un personnage inventé de toute pièce par des modèles.L’affairisme est aussi présenté ridiculement, ce côté « overbooké » à la mode du self-made man ; tout est fait pour éviter la contemplation, goûter au silence, aux regards ; bref, à la simplicité dans ce qu’elle a de plus riche.Danny De Vito est malin et ça se voit, ça s’entend. Non seulement il se révèle habile metteur en scène avec des mouvements de caméra qui rappellent fortement Hitchcock, ne serait-ce que stylistiquement, mais en plus il s’applique à jouer un avocat ami de Douglas, avocat faussement escroc, en guise d’intermède à ce faux conte qui nous est rapporté.Son histoire, justement, repose sur l’idée que le divorce est au service d’un théâtralisme de vie où les deux conjoints jouent des « rôles » qui les dépassent bien souvent parce qu’ils n’en voient plus l’origine. Se mettre en scène, jouer à celui ou celle qui est surchargé afin de se donner une contenance puritaine de self-made man ou d’exécutive woman castratrice en puissance.Ce sont ces modèles-là, précisément, qui font le jeu de soap tel Desesperate Housewives et qui inspirent, le sachant ou non, ceux qui le regardent, jusqu’à les mettre en application dans la vie quotidienne.Ces modèles-là, De Vito prend le parti de dire qu’ils sont faux et, plus grave, pervers. C’est l’idéal de cocon bien respectable, hygiénique, sans histoire, bref le confort qui suscite une crise d’indifférenciation. Dès lors, puisque l’homme et la femme ont désormais le même statut, ils vont finir par rivaliser sans s’en rendre compte.Comme souvent, le couple a l’audace de se donner du sens dans un fétiche, un objet qui devient sacralisé parce qu’il condense tous les souvenirs de fraîcheur amoureuse (secrètement réclamée). Ici, la petite statue est le souvenir de rivalité sous-jacente entre les deux ; c’est la femme qui l’a emporté aux enchères. Pas Douglas. Très vite, lui assure qu’il est avocat et elle renchérit : elle bénéficie de sa bourse (oh !) universitaire. Egalité parfaite.Devant une telle situation, le couple a besoin de rituel, ce qui révèle qu’il sacralise, au prix de perdre l’essentiel : la personne. Cela se paie. Petit à petit, ils ressentent le besoin vital de l’indomptable un peu comme dans la séquence costaude entre Mortensen et Maria Bello dans A History of Violence – Edition Prestige. C’est un désir sous-jacent d’incarnation, rendre plus charnel la relation jusque dans sa sauvagerie, ultime assaut pour réactiver une étincelle. Ils ont besoin de danger – de la mort en face, même – pour vérifier leurs sentiments profonds et ce qui les animent. Ils ne comprennent pas que ce désir de confort est, dès le départ, l’ennemi, comme ils ne comprennent pas que l’épreuve est nécessaire pour donner de la chair à ce qu’ils sont.Ils refusent le drame, obligé et nécessaire, et ça finit en tragédie.La grande leçon de De Vito (et du roman de Warren Adler) est qu’un « divorce à l’amiable est une contradiction », assumant son côté « traditionnel » impossible dans les soap (sinon, pas de suspense !) pour finalement ajouter « Etre marié toute sa vie à une personne n’est peut-être pas naturel, mes parents l’ont fait. 63 ans. Dont quelques unes heureuses. »Cette grande leçon de vie qu’on retrouve dans un divertissement qui se voulait au départ si accueillant mais qui, jamais, ne joue avec une complaisance doloriste (ce n’est pas Antichrist de Lars von Trier, par exemple) rejoint volontiers les savoureuses leçons des films de Rohmer, notamment L’Amour l’après-midi où le mariage trouve son vrai sens, loin, très loin de l’étiquette « castratrice » qu’on a pu véhiculer à tort à son sujet.Ils ne vécurent pas heureux… Parce qu’ils avaient voulu de l’« Il était une fois »…
Reviewer: christine
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: drôle sympa et triste à la fois !
Review: Le trio Michael Douglas, Katleen Turner et Dany de Vito a nouveau sont réunis pour ce film drôle et triste à la fois : en effet le couple Rose (Michael et Katleen) va vite après leur mariage conte de fée prendre le triste chemin des disputes pour en arriver jusqu’à la haine et jusqu’à la fin pas trop réjouissante ! Pourtant il y a des scènes qui font sourire et de Vito sait heureusement ajouter sa note d’humour !
Reviewer: Patrice PHAËTON
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Superbe Film
Review: Voici des histoires de couple comme on n’en a rarement vu à l’écran (on passe du paradis à l’enfer: coups bas, injures, violences physiques etc.). Mais tout ça sur fond de comédie donc ça passe plutôt bien . Le duo Douglas/Turner fonctionne très bien dans cette comédie un brin caricaturale. A consommer sans modération.
Reviewer: béchade
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Super
Review: Bonne qualité
Reviewer: Anjayle
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Excellent film
Review: Le format son et image du film est très bien. Pas besoin de HD pour ce genre de film. La bande son n’a pas été changée pour ceux qui l’ont vu en VHS. L’histoire de ce couple de rêve qui se déchire de plus en plus avec le temps rend le film comique et tragique à la fois. Humour noir, suspens il est un excellent divertissement à voir et à revoir sans se lasser.
Reviewer: aaa
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: ローズ家の戦争 1989年ダニー・デヴィート監督マイケル・ダグラスキャサリン・ターナーダニー・デヴィート出演作品ですオリバー・ローズの友人弁護士のギャビンの回想から始まる家庭内別居の物語です。最後のオチも秀逸です。備考としてマイケル・ダグラスキャサリン・ターナーロマンシング・ストーン 秘宝の谷 1984年でも共演しております。マイケル・ダグラス演じるオリバー・ローズをAmazonにて購入した『LED(128×128) x5 表示器』にて飾っております。何度見ても素晴らしい。
Reviewer: deschuyteneer brigitte
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: rien livraison et colis superbe merci
Reviewer: Daniele
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: La Guerra dei Roses è un film che ti fa ridere e ti lascia un po’ di amaro in bocca. Diretto da Danny DeVito, è la storia di una coppia, interpretata da Michael Douglas e Kathleen Turner, che partono come un matrimonio da favola e finiscono per scatenare una guerra totale. Non parliamo di piccole litigate, ma di un’escalation di piani di vendetta e schermaglie psicologiche che sfociano in situazioni assurde e, a tratti, esilaranti.Douglas e Turner sono pazzeschi insieme, hanno una chimica che ti tiene incollato allo schermo mentre passano dall’amore all’odio in un attimo. È una commedia che ti fa pensare a quanto possono diventare complicate le relazioni, e come l’ego, la vendetta e l’orgoglio possano prendere il sopravvento in modo devastante. DeVito riesce a mantenere il giusto equilibrio tra risate e una sorta di riflessione un po’ cinica sulla natura umana.Insomma, La Guerra dei Roses è quella commedia che non ti aspetti: è divertente ma anche un po’ cattiva, ma te la ricordi per un bel po’ dopo i titoli di coda.
Reviewer: Maria Lopez
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: really happen with it. Thank you
Reviewer: Humberto Mesta Villarreal
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Una elección excelente para aquellos que les gusta el cine muy recomendable película de los 80’s