Eva [Blu-Ray] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Eva, 1 Blu-ray, 95 minutes
Aspect Ratio : 16:9 – 2.35:1
Is discontinued by manufacturer : No
Rated : Universal
Package Dimensions : 17 x 13.6 x 1.2 cm; 80 g
Director : Kike Maíllo
Media Format : Colour, Widescreen
Run time : 1 hour and 35 minutes
Release date : 5 Sept. 2012
Actors : Daniel Brühl, Marta Etura, Alberto Ammann, Claudia Vega, Anne Canovas
Dubbed: : French, Spanish
Subtitles: : French
Language : French (DTS-HD 5.1), Spanish (DTS-HD 5.1)
Studio : Wild Side Video
ASIN : B0089LX8GU
Number of discs : 1
Prix : €19.69
(à partir de Jun 06, 2025 22:47:15 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Jord
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Bien loin des blockbusters venus d’ailleurs, un film de SF étonnant et splendide
Review: Film de SF franco-espagnol réalisé par Kike Maíllo en 2011, « Eva » traite de l’intelligence artificielle d’un façon bien plus intimiste que « AI » de Steven Spielberg et « I, Robot » de Proyas. L’action est censée se passer en 2041, mais le monde où évoluent les protagonistes du film, mis à part la présence des androïdes, est celui de notre époque actuelle (rappelant par certains cotés l’uchronie suédoise « Real Humans »). Peu d’effets spéciaux mais très réussis et très discrets, une jeune actrice charismatique et charmante, une réflexion sur notre société technologique qui ne sait pas trop où elle va (pourquoi vouloir créer des machines qui nous ressemblent émotionnellement, nous sommes loin d’être parfaits ?), un scénario prenant qui évite les débordements violents des films de SF qui fleurissent (en rouge) sur nos écrans et bien sûr le terrible secret d’Eva, lourd de conséquences…Du bon cinéma espagnol qui prouve un fois de plus que les Européens peuvent faire des films de SF bien mieux que les Américains.Présenté au public au festival du film fantastique de Gérardmer 2012, il reçut le Prix du public. Ce public ne s’est pas trompé.
Reviewer: Marithé
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Quand on fera rêver les robots …
Review: Les cinéphiles avaient apparemment bien apprécié cette histoire de science-fiction inusitée. Je voulais surtout voir Daniel Brühl, un acteur que j’aime beaucoup mais dont la majorité des films ne traversent pas l’Atlantique. Même si ce rôle d’Alex Garel n’est pas particulièrement marquant, je n’ai pas été déçue; j’aime sa façon de jouer de toute façon. Mais que dire de la toute jeune Claudia Vega dans le rôle d’Eva … Incontournable. Inoubliable. Plus je la revois, plus je me dis que, malgré la beauté esthétique du film, l’originalité de l’histoire, l’excellent jeu de tous les comédien(ne)s adultes qui la supportent, sans elle, ce film aurait sans doute été insignifiant. Elle joue de façon si naturelle et attachante, c’est la première fois que le destin d’un personnage fictif me bouleverse aux larmes ! En somme, c’est un film tout simple et sans prétention qui raconte une belle histoire décente et humaine. J’ai vraiment aimé.
Reviewer: Dav86
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Un film plus dense qu’il n’y parait
Review: Je précise que j’ai acheté le blu ray et que mon lecteur (LG) pourtant à jour niveau firmware a refusé de le lire. Je me suis donc rabattu sur ma Freebox revolution.Le film s’inscrit dans la lignée des films SF espagnols des dernières années avec des acteurs pour moi inconnus mais très crédibles y compris la petite fille. Par moment on frôle l’univers de « real humans » pour ceux qui connaissent l’univers de cette série.Pas mal de questions philosophiques et donc une SF intelligente à conseiller les yeux fermés à ceux qui ont aimé les films EX MACHINA et AUTOMATA (même si ce dernier est plus à cheval aussi sur un genre « action »)Un gros plus : les suppléments et notamment une bonne partie du film présentée en bonus et qui devait servir de flashback en expliquant le contexte entre les personnages dix ans auparavant (au final non intégré dans le montage final). Avec aussi une fin alternative qui a mon sens aurait été meilleure même si elle versait un peu plus dans le happy end et que la version définitive est plus à « double lecture » …Bon film, une vraie atmosphère , un disque BLU RAY avec des suppléments qui justifient l’achat (ce qui devient rare!) et un son DTS.
Reviewer: Alatriste
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Une pure merveille.
Review: Déjà brillant dans le domaine du fantastique, le cinéma espagnol contemporain l’est à présent dans le domaine de l’anticipation et de la SF et ce n’est pas « EVA » qui démontrera le contraire.Sans effets spéciaux « tape-à-l’oeil », mais omniprésents tout en sachant rester discrets et parfaitement intégrés à l’univers futuriste et familier dépeint dans le film, « Eva » réussit aussi bien l’exploit de transporter que d’émouvoir.Même si le thème central de l’intelligence artificielle qui y est traité peut sembler déjà usité, il l’est avec une profonde humanité et revisite la relation homme-machine tout en sachant lui donner de nouvelles directions. »Eva » est ainsi une excellente découverte exempte de violence, gore, sexe et action décérébrée davantage axée sur la réflexion et les rapports humains.L’image du dvd est tout à fait honnête et rend grâce au travail discret, mais rigoureux des ingénieurs en matière d’effets spéciaux.Quant au son DTS espagnol version originale(que je préfère de très loin pour visionner un film dans une langue authentique) il est irréprochable et restitue de façon limpide le travail de mixage des voix dans les nombreux dialogues. L’amateur d’espagnol que je suis n’a pu être que séduit par cette particularité.
Reviewer: Lafaurie Cecile
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: Beau film
Review: Je reste un peu sur ma faim avec ce film autrement très sympathique à regarder. Les espagnols me surprennent positivement par leur manière de voir et d’interpréter le fantastique et la SF.
Reviewer: Veilleur
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Les yeux ouverts et les yeux fermés
Review: Je ne peux que recommander ce magnifique film espagnol qui traite de l’intelligence artificielle et de son rapport avec les émotions, avec ce qui fait la trame profonde de l’être humain. Fable moderne sur la limite de l’humanité dans son désir de construire un alter ego, Eva nous parle aussi du rapport avec la mort pour les êtres doués de sensibilité, du rapport à la création artistique qui frôle avec la création de la vie, de la frontière entre l’être humain et la machine. Rien de de très classique somme toute dans le cinéma (Cf Métropolis) mais vu ici avec beaucoup de sensibilité puisque touchant au domaine de l’enfance et également de poésie. Le fait d’avoir filmé dans un environnement hivernal renforce l’étrangeté de ce film sans prétention mais très bien joué et avec des effets spéciaux discrets mais réussis.
Reviewer: Dario
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Pellicola originale, forte e riflessiva in una visione di un futuro distopico ed originale, dalla grande forza morale e familiare, una coppia adotta una bambina come loro figlia, ma non tutto è quello che sembra, film da vedere!
Reviewer: Ari
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Se trata de un film totalmente atípico dentro de la cinematografía europea, no sólo por el envoltorio futurista sino por los impecables efectos especiales, que nada tienen que envidiar a los que se realizan en los Estados Unidos.Algunas reseñas han resaltado que Blade Runner, Gattaca o Inteligencia Artificial ya habían abordado la misma temática, pero la diferencia está en que Eva lo hace desde el punto de vista de los sentimientos humanos y de los robots, sin caer en el melodrama. Quizás la primera parte (la mejor) de Inteligancia Artificial es la que más se aproccima a esta destacada cinta española.Tener presente que la edición francesa en Blu ray, de menor costo, viene con subtítulos en francés, no removibles.Amazon España debería confrontar las dos opiniones opuestas sobre el film que aparecen en esta página, tal como suelen hacer las otras tiendas Amazon de Europa. (Si mi memoria no me falla, así estaba esta página web hace un mes y fue modificada).
Reviewer: pinkandblue
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Nach langem mal ein Film, der mich wirklich von der ersten bis zur letzten Minute bewegt hat. Moderne Variation des « Frankenstein »-Themas. Genau wie bei diesem geht es weniger um das offensichtliche, sichtbare – das Geschöpf, als um das sonst Unsichtbare, den Menschen dahinter. Erkenne dich selbst im Spiegel deiner Schöpfung.Was mich lange Zeit davon abgehalten hat, mir den Film anzusehen, war Daniel Brühl in einer der Hauptrollen. Ich mag ihn /sein Spiel einfach nicht. Ist das Gesicht eines Schauspielers seine Leinwand, ist sie für mich bei Daniel Brühl immer leer. Ich kann darin nicht lesen. Hier hat es mich jedoch nicht gestört. Macht seine Sache ganz gut.Die Geschichte ist wunderschön traurig und stimmig und aufwendig in Szene gesetzt. Was mich ein bisschen gestört hat, war die ständige Präsenz von Robotern in den unterschiedlichsten Ausführungen. Meiner Meinung nach wäre hier weniger mehr gewesen. Warum sollte man noch einen weiteren menschlichen Androiden erschaffen, wenn man bereits über so fortschrittliche humanoide Roboter verfügt, die sich im Aussehen und Verhalten so wenig von Menschen unterscheiden, dass man (Zuschauer) es erst auf den zweiten Blick (erschrocken) feststellt (siehe Hausroboter M.A.X., Rezeptionistin)? Auch finde ich den « Emergency-Satz » eindeutig schlecht gewählt, da er zu natürlich ist. Sollte man wirklich Kinderroboter vertreiben, wären vielen davon bereits nach der ersten Nacht kaputt. Wer das jetzt nicht versteht – schaut Euch den Film an!Was der Film jedoch gut macht, ist eine Geschichte spannend zu erzählen. Ich habe den Twist nicht in einer Sekunde vorausgeahnt und war total überrascht. Es geht auch um philosophische Themen, z.B. den menschlichen freien Willen, den auch schon Kinder besitzen. Auch wenn sie ihren Eltern ähnlich sind, haben sie ihren ganz eigenen Kopf. Man kann sie nicht nach seinen eigenen Wünschen und Vorstellungen programmieren wie einen Roboter (Tatsache). Und man sollte auch nicht den Fehler machen, es zu versuchen (Rat). In dieser Hinsicht war Eva perfekt.Was habe ich am Ende geheult. Grosses Lob an die junge Claudia Vega, die einem in ihrer Rolle als Eva in so kurzer Zeit doch so sehr an Herz gewachsen ist. O.k. – am Ende wird dann schon arg auf die Tränendrüse gedrückt, aber mir wars in dem Moment egal. Die Endsequenz hätte für mich als Trostpflaster nicht unbedingt sein müssen. Manchmal möchte man auch einfach nur bodenlos traurig sein. Ist aber eine nette (für mich auch wieder unerwartete) Idee und wird auch dem einen oder anderen ganz gut gefallen.Also wirklich ein sehr schöner Film. Trotz Daniel Brühl. Empfehlung von mir: ansehen!
Reviewer: Gerhard Grabbe
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title:
Review: VorbemerkungenDer Mensch als Opfer der Evolution wird in der Cyberwelt das Opfer übermütiger Konstrukteure ohne den erforderlichen Charakter, das in Szene gesetzte Werk ihrer „Schöpfung“ bis an das Ende seiner Existenzfähigkeit begleiten und schützen zu wollen, geschweige zu können.Nicht der leise Hauch der Bescheidenheit, der Selbstzweifel an dem Motiv ihres Tuns kann ihren Hochmut kühlen – sie spielen mit ihrer Macht, weil sie wie die Magier ihre Homunculi ruhen oder sich bewegen lassen können. Bedauerlicherweise werfen nicht alle in Zorn geratenden Roboter mit einem Messer nach ihren Herren und Meistern, sonst hätte sich schon manche Hybris überraschend erledigen lassen.Während Spielbergs Konstrukteure in voller Verantwortung vor der Größe ihres Vorhabens ihren langfristigen Beobachtungsplan aufstellen und den Knaben in die Welt der Gefühllosigkeit schicken, spielt das Consortium der Chipakrobaten in diesem Film untereinander Katz und Maus und richtet mehr Schaden an, als man je einen Nutzen hätte propagieren können. Und da noch unerledigte Konflikte schmoren, brennen die Sicherungen auch mal durch – wen erschüttert da nicht der zweifelhafte Vorbildcharakter dieser Psychokrücken!Dieser Film wird mit vier Sternen beurteilt, weil zwar der Mechanismus, vom Menschen weg in den Funktionalismus der brechenbaren Technik, ausgebreitet wird, aber zu Gunsten der Technik-Freaks (= einer in der Humanbiologie nicht registriertes spcies) und deren Bewunderung für „Erfindungen“ aller Art, die Konsequenz, die daraus folgen muss, nicht in allen Formen skizziert oder sogar in Handlung umgesetzt hätte.Das WerkZu einem Dorf, in dem Roboter erprobt und verkaufsfertig hergestellt werden, stößt ein Konstrukteur, der als „genial und kreativ“ bezeichnet wird. Ihm überträgt man die Fertigstellung eines Prototypen Kind – hier eines Knaben -, dessen Äußeres noch in unverkleideten Funktionen seine Gliedmaßen bewegt und Erkundungsgänge im Labor unternehmen darf.Da unserem Forscher noch die nötigen Daten fehlen, um dem „emotionalen Gedächtnis“ (= die Seele, heißt es hier) abrufbare Reaktionen einzuflößen, studiert er, so gut es die Umstände zulassen, Kinder in ihrem Verhalten. Favoritin ist die Tochter seiner Verflossenen, die natürlich hier auch arbeitet, und die nötige Rauferei um sie begründet, wie wir später sehen werden. Diese 10-jährige heißt Eva und ist außergewöhnlich, deren Doppelbedeutung die Mutter auf ihre Art hinterhältig bestätigt. Als sich Eva auf dem Höhepunkte der Auseinandersetzungen der Erwachsenen untereinander in heftiger Reaktion gegen ihre Mutter wendet, verursacht sie deren Tod. Erst jetzt erfährt unser Forscher, dass auch Eva ein Roboter ist, und da der, wie die auftraggebende Chefin feststellt, ihre Mutter getötet habe, so müsse sie vernichtet werden. Dies übernimmt unser genialer kreativer Konstrukteur. Natürlich geschieht dies mit geballter Emotionalität: der Zau-berer spricht seinen Zauberspruch, und Eval versinkt in das große Licht, in dem sich alles vereint, sei es, was es sei.Der ethische AspektDie Forschergruppe, die sich mal wieder als Gott aufspielt, ist von der Ethik der Ehrfurcht vor dem Leben weit entfernt. Es sind Bauteile, wenn man sie passend fügt, ergibt sich das Abbild des Lebens, das man mit „emotionalem Gedächtnis“ füllt, aber nach Belieben wieder zerstören dürfe. So und nicht anders funktioniert das Rachebewusstsein der Menschheit, wenn sich Überforderte gegen die Übermacht der sie Bestimmenden aufbäumen und zurückschlagen.Eva ist sogar so „einsichtig“ und „intelligent“, dass sie ihren Freund, den Cyber-Gott, bittet, sie nicht zu reparieren, sondern sie will „ster-ben“, also verschrottet werden, und das besorgt ihr der vom Rechte der Liquidierung Erfüllte auch bereitwillig.Die Komplexität der Verbindungen aller Funktionen untereinander, die das Menschsein ausmacht, behält das Drehbuch auf der Oberfläche eines eben angelegten Niveaus, auf dem sich diese Problematik abwickelt. Der Widerspruch zwischen Konstruktion und der Verantwortung vor den Folgen eines Versuches, der aus dem Ruder gelaufen ist, weil er menschliche Interaktionen ermöglichte und daher Geschichte geworden ist, wird schlicht unter den Teppich gekehrt. Mit dem Diener Max, auch einem Roboter, führt man uns vor, wie man seinen Emotionslevel beliebig hoch und hinunter fahren kann. Es ist doch bloß eine Maschine und bildet in ihren Einzelteilen Elektroschrott, den man teilweise zu völlig neuen Nutzwerkzeugen umbauen könnte. Man ist versucht zu fragen, ob man das Problem der Arbeitsbeschaffung nicht auch über einen solchen „variablen Fundus“ regeln könnte – man müsste der Forschung nur Geld genug zuschieben, damit sie es in Angriff nähme … Auch den Genmanipulanten eröffnet sich hier die Umsetzung ihrer in den Schubladen schmorenden Pläne, den zukünftigen Menschen so zu präparieren, dass er sich bei der Erkenntnis, böse geworden zu sein, freiwillig und in voller Überzeugung seine Lebensbegrenzungspille aus der Apotheke holt – per Rezept seitens der Staatsanwaltschaft, wenn es hoch käme. Das wäre die ohnehin zu erwartende Konsequenz aus dem Kulturverfall Europas, dass man in absehbarer Zukunft über eine derartige Alterseingrenzung in den Parlamenten abstimmen wird – sehr zu Gunsten allseits gegenwärtiger Profilneurotiker, die dann Grundsatzreden halten und sich insgeheim gegen den Vollzug abzusichern wissen.Der schöpferische VollzugElekronik als Spielzeug der Menschen, als Nachbildung lebendiger Vorbilder ohne Verpflichtung ihrer Arterhaltung macht das Denken in Richtung Verantwortung vor der Natur krank. Der Virus der Überheblichkeit hat die Hypothesen angefressen, die Bedeutung für das Leben einzelner Wortführer der Macht haben konnten. Man ist nicht mehr dem Werke, dem Werte einer erschaffenen Wirklichkeit verpflichtet, sondern jeder darf seinen Spaß haben, wann, wo, wie er haben will. Warum man Roboter als Zeitvertreib braucht, zeigt allerdings der Zweck, zu dem sie erschaffen werden. Sie sollen die Illusion erwecken, menschenadäquat zu sein, nicht nur bloß Maschine, aber jederzeit ablösbar, auswechselbar, wertbestimmbar nach dem Tagesmarktpreis, der dafür noch gezahlt würde.Nicht anders verhält es sich mit dem Humankapital auf dem Arbeitsmarkte, dessen Funktion nur bedingt benötigt und eigentlich nicht gebraucht wird, könnte man ihn durch Roboter ersetzen. Im Vergleich zu Spielbergs „Künstlicher Intelligenz“ bleibt das Kind der Spielball zwischen dem Übermut der Erwachsenen und wird eliminiert, sobald seine Funktionen eigenständig und dem eigenen Willen gehorchend werden. Spielbergs Knabe, durch Haley Joel Osment verkörpert, wird den Menschen überstellt, um sich in Wchselwirkung mit deren Charakterlichkeit verselbständigen zu können, denn er ist ein liebesfähiges Einzelwesen geworden. Welche Trauer unter wahren Menschen, wenn sich das nicht erfüllte!ErläuterungErwachsene tun sich zusammen, um Wesen zu konstruieren und an ihnen experimentieren zu dürfen, wogegen kein Jurist, kein Staatswesen etwas einzuwenden haben wird. Man erschafft sich seine „Präzedenzfälle“ nach Bedarf und erprobt an ihnen, was bislang noch nicht „richtig“ funktioniert hat.Das hört sich an wie ein Erziehungsprogramm, und die Didaktik plant, was möglich werden solle, und die Methodik sagt, welche Mittel dazu bereits von der Forschung, (= Hirnforschung / Psychopathologie / Verhaltensforschung, Menschenrechtsvertreter) bereits verfügbar sind. Aber am Ende wird ein Resultat erwartet, das von den Erfindern solcher Idealtypen selbst gar nicht gelebt wird. Die Katastrophe ist uralt: Was ich nicht werden konnte, das soll mein Kind einmal können, sein und besser machen. Klappt das nicht, wird das Experiment eingestampft.Im Falle Eva geht es zunächst darum, einer Frau (!) das nun einmal geschaffene Experiment Kind nicht wegzunehmen. Von diesem kopiert unser „genial kreative“ Jungforscher Verhaltensformen, bemerkt aber nicht, wie diese sich der Bevormundung widersetzen und sogar zur Notwehr greifen. Der konstruierte Prototyp Cyberjunge entwickelt einen eigenen Willen und will seine Freiheit – Grund genug, ihn sofort außer Gefecht zu setzen, („Elternwille“?) ihn für gescheitert zu erklären und ihn zurück in die Ecke zu stellen: „In die Ecke, Besen – Besen sei’s gewesen, denn zu seinem Zwecke ruft dich nur der alte Meister!“ so ähnlich, Goethe ist eigentlich zu professionell in der Gesamterkenntnis, um ihn so lapidar zu zitieren.Die Qualität dieses Films hängt von dem Anliegen ab, das er sich als Aufgabe gestellt hat, und von der Wahl der Mittel.Das Recht auf Forschung und Entwicklung bleibt solange ein juristisch unanfechtbares, als es darum geht, Versuche anzustellen, die keinem Lebewesen schaden, es nicht beeinträchtigen oder vernichten. Auch Tierversuche sind inzwischen durch entsprechende Computerprogramme ersetzbar, und mehr kommt bei Sektionen ja wohl auch nicht heraus.Der Forscher bewegt sich an die Grenze seiner von ihm verantwortbaren Versuche, wenn er hohe ethische Zwecke vorschützt, aber vom Leben Gebrauch macht, ohne sich für dessen Wohlergehen verantwortlich wissen zu wollen. Darum versteht man den Schachzug, entsprechende Daten im theoretischen Bereiche der Berechenbarkeit gegeneinander auszuspielen, um ihre Reaktionsweisen dokumentieren zu können. Was sich in Formeln ergötzt und sich darin beschränkt, darf als humanitär unantastbar gelten, solange nicht daraus der Wunsch ableitbar wird, sich die negativen Folgen in der Realität noch einmal vorführen zu lassen.Zu gern lassen sich Skrupel darin betäuben, wenn man auf Resultate hoffen und mit ihnen weiterrechnen kann, die in totalitären Regimen in deren Laboratorien als der Forschung erlaubt gewonnen worden sind. Das ist Beihilfe zum Mord, zumindest ideell, man unterstützt die Verbrecher, indem man ihre käuflichen Forschungsergebnisse dankend übernimmt, aber offziell gegen dieses Vorgehen politisch votieren lässt. Aber das ist ja im Bereiche Wirtschaft und Industrie tägliches Gassigehen der Eigeninteressen….Geradezu unethisch wird dieser „Erkenntnisgewinn“, wenn man sich auf die Legalität des Experimentierens mit Opfern beruft, die es ja gar nicht anders verdient, die ihr Leben sowieso verwirkt hätten. Und so ist z. B. der Organhandel in Verruf gekommen, weil man aus Ländern exportiert zu haben verdächtigt wird, in denen Massentötungen durch den Staat zu profitorientiertem Ausweiden der Ermordeten führen konnte. Aber niemand will davon gewusst haben, niemand will „schuld“ sein, und niemand hat tatsächlich einen Funken Mitleid mit solchen Terrorsystem-Opfern in sich verspürt.Die wahre „Traumstraße“ aller blütenweißen Forscherwesten beschreitet man jedoch, wenn man „menschenähnliche Wesen“ konstruiert und sie unter möglichst echten Lebensbedingungen sich entwickeln lässt, um sie dann zum richtigen Zeitpunkte „demontieren“ zu können. Das Klonen war eine Zeitlang offiziell als weitere Lösung im Gespräch, aber nichts für die Öffentlichkeit, so sehr man auch über diesen Aspekt Verfälschungen und Lügen propagiert hat.Also erschafft man Eva, um zu studieren, wozu Menschen fähig sind, wenn sie nur die passende Position im akademischen Betrieb gefunden haben.Als sich nun der „Konstruktionsfehler“ auch bei Roboti Evi eingeschlichen hat, dass sie einmal „so richtig böse“ geworden sei, indem sie ihre Mama (?) geschubst habe, scheint sogar der Code einprogrammiert, sich der eigenen Vernichtung willig auszuliefern. Das ist im Erziehungsprogramm der Kinder bislang noch nicht Mode geworden. Die springen höchstens aus Verzweiflung aus dem Fenster. Half die Drohung: „… dann kommt der Weihnachtsmann nicht zu dir – der Osterhase nicht…!“ usw., dürfte das die Konstruktionspanne Eva nicht schockiert haben. Bei ihr genügt: „An was denkst du, wenn du die Augen schließt?“ – und erledigt ist die Panne – weit humaner als in Huntsville oder anderen Spritzenhäusern der staatsgewordenen Bigotterie und des konfessionellen Fanatismus, der uns vor diesen grauen-vollen Experimenten nicht schützen wird.Dieser Film dokumentiert die Gedanken- und Gewissenswelt eines technokratischen Aufstandes gegen Bestehendes. Es will Veränderung, ist aber schöpferisch nicht berufen und sondiert im Bereiche der Kopierbarkeit mit anschließender Variation. Doch Schöpfung ist nie die Kopie des Voraufgegangenen, sondern ein unablässiger Entwicklungsprozess, der die Wechselwirkung zwischen Analyse und vermeintlicher Anpassung, also Optimierung des noch Möglichen, als Kulturprinzip in sich trägt. Der Intellekt der bloßen Verstandestechnik ist also dem Kosmischen Wissen schon deshalb unterlegen – auf dieses greifen alle Lebewesen zu! – weil der Intellekt das Anliegen des jeweiligen Menschen bleiben muss, in dem er arbeitet, während das Kosmische Wissen wie das Wesen des Schöpfungsgeistes allumfassend und damit das alles Verbindende zwischen Geist und Materie bleibt, in voller „Qualität“ jedem Schöpfer-Erleben zugänglich und damit unteilbar.Wenn also Spielbergs „Mecha“ zu Denk- und Handlungsprozessen vordringen kann, verschmelzen somit seine Bausteine der Materie mit der Energie ihres Antriebes und dem Schöpfungsgeiste, der in aller Materie gegenwärtig ist, gleich, ob sich die Form erhält oder verändert. Sobald dieses elektronische Wunder Wirkungen humanitärer oder allgemein schöpferischer Qualität hervorruft, ist es zu einem Wesen erhoben, dessen Vernichtung sich verbietet, weil, wie bei jedem Leben, der Kern die Fähigkeit zur Veränderbarkeit, der Entwicklung als Prinzip ist. Wie bei jedem organischen Leben ist auch das Konstrukt eines menschlich gewordenen Roboters jetzt zur Chefsache geworden; die „Konstrukteure“ dürfen abtreten und sich ihrer Verantwortung stellen….Kein Wunder, dass deren überreiztes Ego in philosophische Turbulenzen gerät.
Reviewer: carles Domingo
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Tot perfecte!