[Elephant Films] Edition française officielle – The Taint – DVD – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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The Taint, 1 DVD, 79 minutes
Rapport de forme : 1.77:1
Dimensions du produit (L x l x h) : 13,8 x 1,7 x 19,1 cm; 80 grammes
Réalisateur : Drew Bolduc, Dan Nelson
Format : Couleur, PAL
Durée : 1 heure et 19 minutes
Date de sortie : 3 mars 2015
Acteurs : Drew Bolduc, Colleen Walsh, Cody Crenshaw, Kenneth Hall, Gabriella Herzberg
Doublé : : Anglais, Français
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
Studio : Elephant Films
ASIN : B00R6TQ8ZO
Pays d’origine : France
Nombre de disques : 1
Prix : 16,90 €
(à partir de Jun 09, 2025 01:56:46 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: JSR
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: The Taint Génération, ou « Quand meurt la singularité »…
Review: Et voilà ! L’argent est roi. Il rattrape tout. Il s’approprie n’importe quoi si celà lui permet d’etendre son règne. Le Nanar de jadis, sous genre dénigré par la majorité et qui divisait ses adeptes en catégories, les Afficionados (qui pardonnent tout) d’une part, et les différentes catégories d’Amateurs d’autre part (pas les derniers addicts de la médiocrité lorsqu’elle est revendiquée, mais dont les goûts et jugements de valeurs divisent), catégorie par ailleurs à laquelle j’appartiens, sont condamnés à disparaître, ou du moins à se confondre dans la masse. Rattrapés par la machine de production et la loi du marché, le Nanar est un sous genre en voie de disparition. Il se dissout à mesure qu’il se généralise et qu’il devient Main Stream. Adieu, donc, Pépites et Merveilles, Surprises et Raretés, qui ont fait de films sans prétentions, des monuments de notre sous culture personnelle. Pour parler de The Taint en particulier, dont l’esthétique est bien maîtrisée (Crédits, jeu d’acteurs, Photo, costumes, montage, son…) et dont seuls les effets spéciaux grotesques et chers à la maison « boîte » de production Elephant Films pour faire des économies (toujours une logique à rebours : les FX ne sont pas cheep par manque de moyens comme à l’époque, mais pour faire plus de marge sous couvert d’un prétendu parti pris esthétique) sont la seule fausse note. Malheureusement pour Elephant Films, et surtout pour le pigeon que je suis, l’esthétique ne suffit pas à assurer la réussite d’une production. Aussi pour le reste je vais me montrer nettement moins élogieux. Si l’on part du principe que par définition un Nanar est un navet, alors plus mauvais que le navet ? Je vous laisse deviner ce qui reste… Ce film c’est de la 💩 ! Aucun esprit. Pas plus d’identité. Et toujours pas d’inspiration. Dialogues pathétiques. vision navrante, juste explicable par la volonté de montrer un maximum de phallus et créer le buzz. Dieu merci, on nous a épargné les débordements scatologiques. Enfin, de mémoire, il me semble. ?? Seule la scène de Flash-back entre le protagoniste principal et une ex petite amie éconduite lui annonçant sa grossesse et la potentielle paternité du héro à quelque chose d’appreciable. Tout comme, l’abondance de scènes phalliques déplacées vécues comme une agression sert finalement à illustrer le sous-sujet qui serait la cause des femmes (on fait mine de le croire, mais encore une fois s’agissant d’un Nanar c’est presque un non-sens, le sens étant normalement presque systématiquement banni du genre, et simplement accepté lorsqu’il est laissé à la libre appréciation du spectateur et non soutenue tout le long du film ouvertement par le protagoniste …et quand bien même, je vous laisse apprécier le plaisir et l’enrichissement à suivre 1H30 durant un point de vue convenu, sans la moindre variation ou évolution dans son exposé ou dans le discours. Pire qu’un refrain entêtant. Bien plus proche d’une bonne tranche de propagande. Bref… une belle tartine de merde ce film !
Reviewer: FISH
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: beurkkkkk
Review: celui qui a pondu cette bouse devait prendre des lecons de cinema plutot que de faire du nimporte quoi avec le peut quil a tout est mauvais il ny a rien a sauver dans cette soupe les effets speciaux si ont peut appeler ca comme ca sont mauvais et grossiers les comediens sont archi nules et jouent comme des manches le scenario tient sur une feuille a cigarette celui qui a filmer les scenes doit avoir la maladie de parkinson (lol) ca bouge tout le temps cest filmer camera a l’epaule ou quoi? ca sent vraiment le budget riquiqui et l’amateurisme a 200% bien pourris enfin voila tout est dit et en plus pour couronner le tout la jacquette du blu ray est vraiment d’une laideur exeptionnelle alors apres comment voulez-vous vendre un blu ray avec une telle horreur de couverture enfin bref
Reviewer: Amazon カスタマー
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: 良いです
Reviewer: Kevin Dudley
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: « The Taint » is 70 minutes of pure unbridled, gory, reprehensible trash that also happens to be quite clever and a lot smarter than you might expect. When I first heard about this low budget independant Richmond, Virginia lensed film and checked out some positive reviews around the internet, one particular quote from the Fangoria.com review stated « The Taint is exactly what happens when smart filmmakers intentionally make a stupid movie. » The basic plot involves an experimental penis enlargement drug that turns men into oversexed misogynistic maniacs is unleashed into the public water supply and all manners of depravity cut loose.Considering how miniscule the budget was, it’s actually made well from a craft standpoint with the over the top gore being quite hilarious and impressive in many spaces. As I mentioned at the ouset of this review, the run time is just barely over 70 minutes with end credits so the movie doesn’t overstay its welcome at all. It’s very obvious why Troma picked the film up for distribution due to the copius amounts of male nudity, gore, bodily fluids flying about and extremely warped and politically incorrect sense of humor that permeates every moment of the film. Women may find this movie to be unwatchable but should recognize it as well done satire that isn’t meant to be taking at face value at all.It’s exploitation filmmaking at a highly enjoyable level that should prove to be a huge hit among brave cinephiles who like their cinematic trash to be a complete assault on good taste and decency while also exhibiting a level of talent and craft that makes me very interested in what the filmmakers plan on doing next.The blu-ray DVD combo pack from Troma presents the movie in excellent 1.78 anamorphic widescreen that is very clean and detailed particularly on the blu-ray edition. The audio is regular 2 channel lossy stereo but everything sounds fine. Extras include two commentary tracks, some deleted scenes, a behind the scenes slide show and the usual Troma trailers too.Highly recommended!
Reviewer: Aaron Petersen
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: A+
Reviewer: Dave
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: The best independent horror movie of the last decade and a half, and the first since Bad Taste to make me want to watch it immediately after it had finished.
Reviewer: Karsten Falkbøll Pedersen
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Made by the ‘Kids’ next door… But COOL Ass FOOOOK!.Really out there.. TOP Cult Home Video!. Only for Indy-flick-fans.