Drive My Car – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Boîtier DVD avec fourreau
Contient :
– le DVD du film
– un livret contenant des interviews, des textes sur le film, des photos inédites… (24 pages)
Aspect Ratio : 16:9 – 1.85:1
Rated : Universal
Product Dimensions : 13.8 x 1.6 x 19.1 cm; 120 g
Director : Ryusuke Hamaguchi
Media Format : PAL, Colour, Widescreen
Run time : 2 hours and 52 minutes
Release date : 1 Mar. 2022
Actors : Hidetoshi Nishijima, Toko Miura, Reika Kirishima, Park Yoo-rim, Jin Dae-Young
Dubbed: : Japanese
Subtitles: : French
Language : Japanese (Dolby Digital 2.0), French (Dolby Digital 2.0), Japanese (Dolby Digital 5.1)
Studio : Diaphana
ASIN : B09HG19FT7
Number of discs : 1
Prix : €19.90 - €9.99
(à partir de Jun 18, 2025 13:30:13 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: seb
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Très bon film
Review: Très bon film
Reviewer: Hargrove
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Surprenant
Review: Un must pour votre vidéothèque… Un voyage nippone Tchekkovien…
Reviewer: Albertine
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Curieux et apprenant
Review: Ras.
Reviewer: Marseille
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Film magnifique
Review: Acheter juste parce que il est sélectionné au Oscar 2022 comme meilleur film étranger, j hésitais mais étant fan de certains film asiatique, j ai dit je vais le précommander et vraiment pas dessus y a 3h de film mais quel émotions, tout par doucement pour aboutir à un film d une intensité rare. Très émouvant on pense beaucoup au personne qu’on a perdu le long de notre vie. Je vous recommande vivement ce film, même si je pense certains vont décrocher par manque d’action mais les sentiments et les non dit son tellement fort. Pour ça reste un des meilleurs film de cette année 2021. Bravo
Reviewer: lessthantod
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: Drive My Saab 900 Turbo rouge
Review: Sorti en 2021 et réalisé par Ryusuke Hamaguchi, Drive My Car est une œuvre largement saluée par la critique lors de sa sortie en salle et qui en outre, a reçu de nombreuses récompenses et autres nominations lors des cérémonies de fin d’année (Festival de Cannes, Césars, Oscars, Golden Globes, BAFA …). Et pour cause, Drive My Car est un vrai bon feel-good movie. C’est avec ce film que je découvre les œuvres du réalisateur japonais Ryusuke Hamaguchi et maintenant, je n’ai plus qu’une seule envie, explorer toute sa filmographie. Le film dure prés de trois heures, mais on ne s’ennuie pas une seule minute. C’est un drame captivant et hypnotique, maitrisé de A à Z.Dans Drive My Car, on va suivre les aventures de Yûsuke Kafuku (Hidetoshi Nishijima) un metteur en scène et acteur de théâtre. On sait peu de choses sur lui, si ce n’est qu’il aime sa femme (Reika Kirishima) elle aussi autrice de théâtre et que tous les deux ont perdu un enfant en bas âge. Toujours est-il que, très tôt dans le film, il va subir un drame personnel qui va beaucoup le marquer et que je ne dévoilerai pas ici (pour ne pas spoiler). Et c’est après une longue introduction de prés de quarante minutes, que le film commence enfin (le générique apparaît à ce moment là). On se retrouve donc deux ans plus tard, avec notre homme qui est invité à Hiroshima pour adapter la pièce de théâtre d’Anton Tchekhov, Oncle Vania, qu’il avait déjà mis en scène en plus d’interpréter le rôle principal. Il va alors faire passer des castings, y compris pour le rôle principal qu’il ne veut plus endosser, pour des raisons propres qui ont à voir avec le drame subit deux ans plus tôt. Les acteurs et actrices vont donc être recrutés de différentes nationalités, puisqu’ils vont être amenés à interpréter leurs personnage avec leurs langues propres (y compris un rôle avec le langage des signes).Mais voilà, pour des questions d’assurance, les responsables de la pièce imposent à Yûsuke un chauffeur féminin Misaki Watari (Tôko Miura), qui va assurer les long trajets entre le lieu des répétitions et le lieu où il passe ses nuits. Et c’est donc au volant de sa voiture « vintage », une Saab 900 Turbo rouge des années 80, que Yûsuke se fait conduire (d’où le titre du film). Il n’a accepté qu’avec réticence de « lâcher le volant », puisque pour lui conduire c’est un moyen d’apprendre son texte grâce à une cassette que lui avait enregistré son épouse. C’est alors qu’une relation spéciale va naitre entre l’homme blessé et la jeune femme de 23 ans, le même âge qu’aurait eu son enfant s’il était encore en vie. Les deux âmes en peine vont apprendre l’un de l’autre et essayer de tirer le meilleur de cette relation, dont je ne révèlerai pas les teneurs (pour ne pas poiler encore une fois).A partir d’une histoire apparemment simple, le film brasse un nombre conséquent de thématiques intimes. Et l’émotion prend très vite le dessus sur le récit, plongeant le spectateur dans un univers de sentiments complexes et de questionnements existentiels․ Mais plus tout, Drive My Car c’est un film sur le deuil, ou plutôt les deuils …Pour le protagoniste principal, ce sera le deuil de son enfant bien sûr, mais aussi celui de sa femme qui l’avait trompé avec un jeune acteur, acteur qui postulera deux ans plus tard pour un rôle dans sa pièce et à qui il confiera le rôle difficile de Vania. Et cet acteur, qui est donc l’amant de sa défunte épouse, lui-même essaie d’oublier son passé, puisque c’est une ancienne vedette de série TV qui aurait dérapé dans sa vie privée, aboutissant à son licenciement. Et pour la chauffeuse aussi, on en saura plus sur son vague à l’âme, puisqu’elle aussi essaie de faire son deuil, à savoir la perte de sa mère dans des conditions tragiques.Et puis le film n’est pas seulement profond, il est beau aussi. Tous les cadres sont ultra léchés, les paysages sont magnifique et puis il y a cette Saab rouge qui semble sortir d’un autre temps. Cette voiture, de marque suédoise, nous ramène aux années 80 et elle possède une symbolique forte. Déjà, une voiture étrangère au japon, qui plus est des années 80 et en parfait état, ça interroge. C’est en soit un personnage à part entière du film, c’est le lieu dans lequel nos deux principaux protagonistes se laissent aller à des confidences (des scènes très fortes). C’est aussi le véhicule qui va les emmener pour un voyage sur la route, dans un road movie qui consiste à laisser derrière eux ce qui n’est plus, pour continuer à vivre. L’évolution de la relation entre le personnage principal et la chauffeuse est vraiment le centre émotionnel du film.Bref, aussi beau sur le fond que sur la forme, Drive My Car est un film qui, à l’instar du cinéma de Wong Kar-Wai, joue beaucoup sur les silences, les regards et les non-dits, ce qui est suffisamment rare pour être apprécié. Et sans vouloir paraitre élitiste (ce n’est pas du tout le genre de la maison), c’est un vrai film pour cinéphiles, de part sa mise en scène subtile et raffinée, couplée à un scénario riche et profond.
Reviewer: Guillaume guerre
Rating: 1.0 out of 5 stars
Title: Le film est en VO et sous titres FR
Review: L histoire est un peu ennuyeuse et la location est trop courte 72h se serait bcp mieux
Reviewer: François F
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Très belle histoire
Review: La rencontre improbable et belle de deux personnes. Une histoire d’acteurs et de théâtre, une histoire d’amour, un drame terrible et un espoir. Les presque trois heures du film passent trop vite.
Reviewer: Roberto Trejo
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Maravillosa, valen la pena las tres horas de duración, un estudio muy detallado sobre el duelo.
Reviewer: James Chambers
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: This package is well wsrth buying … beautiful picture quality. It’s a really good film about the acting process, infidelity, sudden death and two lost people connecting.
Reviewer: Phred
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: If the original Murakami novel, Drive my Car, had read as long as this movie feels, it is possible I would not have finished it and maybe never watched the Hamaguchi movie. I would have missed something. The push pull for me is the inability to state for certain that this would be a better movie if it had been shorter. Objectively there has to be rehearsal scenes that need not be included. A huge amount of time watching scenery flash by the car (correction The Car) is lost time. Agreed. But life is not lived from climatic reveal to climatic reveal, and the space between these often-magical moments provide an ineffable something. Actors and the director have achieved delicate, fragile moments. Small even tiny images of reading of the play clearly mean things for the actors, especially to lead actor Hidetoshi Nishijima.For orientation a summary. Yûsuke Kafuku is our central character. He is a famous actor and director. In particular he is known for using an international cast, each speaking their native language performing in classic plays. He is hired to put on a production of the Chekov play, Uncle Vanya. In the pre movie we see him in a loving marriage with a woman who is unfaithful to him. They had lost a daughter to disease, before the move starts and he will lose his wife taking us to the end of the movie’s preliminaries.The film festival that has hired Kafuku has a standing rule that he must not drive while under their employ. He is given Misaki Watari a young woman played by Tôko Miura as his driver. She is a fine driver, but tightly self-contained.Skipping the rest of the story, one of the finest and most touching performances in the movie is by a Korean woman chosen for the cast. She is Lee Yoon-a, played by, Park Yu-rim. She can only communicate using Korean Sign Language. Her performance is wondrous, emotional and in two separate scenes achieves a whole new definition of ineffable. It is not possible for me to say it was her face, or the lighting or the words. This actress can act. All comes to together in silence, even as I was focused on the English subtitles.Without going into details, Murakami’s book and the movie he co-wrote make fools of the too many who criticism him, bandwagon style, for things alleged of his books. They are not here, nor were they in the original text.Text is a key word. The main character and several in the supporting cast are seeking personal realizations from the Chekhov’s text. We will hear passages, perhaps too often, but we have to listen and internalize and relate them from their original context, into the context of the movie and just maybe into our own lives. Let us re-read the book is something the actors do without demure. Maybe we should take that advice.
Reviewer: j w d
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: I am a big fan of the books of Haruki Murakami, and this film is based on one of his short stories, so when I saw it on Amazon for quite a cheap price I bought it. I’m very pleased that I did, I enjoyed it a lot more than most films I have seen recently, and don’t doubt than I will watch it again in the future.
Reviewer: dev govender
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Excellent Korean movie. Bluray has English subtitles.
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📅 Date de mise à jour : Jun 18, 2025 13:30:13 UTC
🖊 Note du produit : 4.5/5 – Acheter l’article
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