Coffret Pasolini e Amici [DVD] – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon
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Contient :
– « Accatone »
– « Les Oiseaux, petits et grands »
– « Oedipe Roi »
– « Médée »
– « Enquête sur la sexualité »
– « RoGoPaG »
– « La Fille dans la vitrine »
– « Ostia »
Rated : Universal
Package Dimensions : 19 x 14 x 4.2 cm; 100 g
Director : Pier Paolo Pasolini, Jean-Luc Godard, Ugo Gregoretti, Roberto Rossellini, Luciano Emmer
Media Format : PAL
Run time : 13 hours and 6 minutes
Release date : 24 April 2019
Actors : Franco Citti, Franca Pasut, Renato Capogna, Alfredo Leggi, Silvana Mangano
Dubbed: : French, Italian
Subtitles: : French
Language : French (Dolby Digital 2.0 Mono), Italian (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio : M6 Vidéo
ASIN : B07F53B9K9
Number of discs : 8
Prix : €27.79
(à partir de Jun 08, 2025 21:20:00 UTC – Details)
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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article
Avis sur le films
Reviewer: Marie
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Très bien merci
Review: Par plaisir
Reviewer: M. Samuel Tarin
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: A AVOIR
Review: Je ne suis peut être pas objectif dans mon titre mais c’est vrai…..Film absolument extraordinaire, à avoir dans toute dvdthèque
Reviewer: Ernestologue
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Génie du cinéma italien
Review: Grand maître du cinéma,C est bien autre chose que les jeunes producteurs d aujourd’hui qui ne font que copier
Reviewer: BUHOT
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: Pas terrible .
Review: Pour visionner ce que j ignorais et bien que la qualite numerique soit correcte je suis decue par le contenu
Reviewer: Zarak
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Oedipe-Pasolini
Review: Pour son premier film en couleur, Pasolini se plonge dans l’adaptation de l’oeuvre mythique de Sophocle, adaptation évidemment, totalement, passionnément « pasolinienne ». C’est en même temps son film le plus personnel, lui-même ayant avoué que le mythe d’Oedipe lui inspirait de fortes résonances introspectives. La réalisation est, comme toujours, brute et très aride, aussi aride que les paysages désertiques du Maroc qui composent cette Grèce antique imaginaire. Trouvaille parmi bien d’autres : l’idée de mettre des inserts pour lire dans les pensées d’Oedipe, hommage malin au cinéma muet.Pasolini ne se contente pas d’une banale adaptation théâtrale (dans ce cas autant aller au théâtre) mais encre son film dans le présent grâce à un découpage en trois parties, faisant ainsi de son oeuvre un objet également conceptuel. La première, presque vidée de toute parole, évoque sa propre naissance, dans l’Italie des années 20, l’amour de la mère et le rejet du père. La deuxième est l’Oedipe-Roi que tout le monde connaît, et la troisième est une retour au présent par ellipse, laissant planer l’idée que cette plongée dans la Grèce antique, freudienne au possible, eût pu n’être qu’un voyage dans les méandres de l’inconscient. La boucle n’en n’est pas moins sublimement bouclée ; le film s’arrête là où il a commencé, il en est de même pour la vie.On retrouve avec plaisir la chavirante Alida Valli, qui a illuminé le « Senso » de Visconti (1954) ainsi que Franco Citti, le premier rôle d' »Accatone » (1961) – premier film de Pasolini – et qu’on verra également bien plus tard dans le Parrain III de Coppola. Pasolini lui-même fait une courte apparation on ne peut plus marmoréenne…
Reviewer: jacques bénéfice
Rating: 1.0 out of 5 stars
Title: Pasolini sans intérét
Review: films rétros sans grand intérêt,Images de certains en noir et blanc et histoire longue pénible à suivre
Reviewer: Paul Gascimeri
Rating: 2.0 out of 5 stars
Title: Oedipe : complexe!
Review: La grande réussite de Pasolini : inventer une iconographie bien à lui, une manière de figurer la mythologie grecque sans aucune référence artistique aux vestiges antiques, ni à la Renaissance qui la « redécouvrit », ni à la peinture d’histoire (le genre noble) du XIXe siècle qui la figea dans l’huile des pompiers. Pasolini, c’est l’anti-péplum, l’univers du mythe, le monde mystérieux et terrible du sacré, de l’interdit. Un grand dépouillement formel face à un capharnaüm de tissus plus « baroques » ou « barbares » les uns que les autres.Le directeur artistique, Dante Ferretti, et le chef costumier (Danilo Donati) eurent ainsi carte blanche pour inventer une représentation archaïque, exotique et syncrétique empruntant autant à l’Afrique noire qu’au Moyen Orient, procédé qui sera repris et amplifié deux ans plus tard pour « Médée ». Pasolini ne tourne évidemment pas en Grèce (ce serait trop simple…) mais au Maroc, accentuant ce décalage interprétatif. De même sa « Médée hiératique (Maria Callas pour sa seule apparition au cinéma) sera en grande partie tournée en Cappadoce (Turquie), dans la lagune de Grado (Frioul) ainsi qu’à Pise (Toscane).Le cinéaste agit donc aussi autant en poète (de langue frioulane) qu’en cinéaste, un peu à la manière d’un Cocteau avec « La belle et la bête » (1946) ou bien « Orphée »(1950). A méditer cette citation tirée de « L’Inédit de New York » (1969, publié pour la première fois en 2005) : « La réalité est hiérophanie mais puisque je ne crois pas en un Dieu transcendant, ça signifie que la réalité même est Dieu. Autrement dit la réalité est une théophanie (…) une forme d’immanence ».Cela dit, remarqué et apprécié, la vision pasolinienne frôle parfois le ridicule à la manière des couvre-chefs des protagonistes et de l’interprétation même du réalisateur en grand prêtre de Zeus. Curieusement (serait-ce une énième variante de l’histoire?) le Sphinx (monstre femelle) est expédié sans avoir pu poser d’énigme. La narration en trois époques successives (années vingt en Italie, âge mythologique au Maroc, époque contemporaine à Bologne) n’arrange rien dans une boucle temporelle qui veut sans doute signifier la permanence du mythe et sa signification particulière pour l’auteur…Enfin, le tournage est parfois effectué caméra à l’épaule ce qui provoque des plans bougés assez pénibles à regarder.