Buster Keaton, coffret 4 films – 4 DVD – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon

Action et aventure

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Contient :
– « Sherlock Junior »
– « La Croisière du Navigator »
– « Les Fiancées en folie »
– « Le Dernier Round »

Rapport de forme ‏ : ‎ 1.33:1
Dimensions du colis ‏ : ‎ 19,4 x 13,6 x 1,8 cm; 240 grammes
Réalisateur ‏ : ‎ Buster Keaton, Donald Crisp
Format ‏ : ‎ PAL, Noir et blanc, Cinémascope
Durée ‏ : ‎ 3 heures et 55 minutes
Date de sortie ‏ : ‎ 6 octobre 2020
Acteurs ‏ : ‎ Buster Keaton, Kathryn McGuire, Jules Cowles, Sally O’Neil, Walter James
Sous-titres : ‏ : ‎ Français
Studio  ‏ : ‎ Elephant Films
ASIN ‏ : ‎ B08DT1FN6Z
Pays d’origine ‏ : ‎ France
Nombre de disques ‏ : ‎ 4
Classement des meilleures ventes d’Amazon : 31 930 en DVD et Blu-ray (Voir les 100 premiers en DVD et Blu-ray) 7 535 en Comédie
Commentaires client : 4,5 4,5 sur 5 étoiles 37 évaluations var dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction; P.when(‘A’, ‘ready’).execute(function(A) { if (dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction !== true) { dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction = true; A.declarative( ‘acrLink-click-metrics’, ‘click’, { « allowLinkDefault »: true }, function (event) { if (window.ue) { ue.count(« acrLinkClickCount », (ue.count(« acrLinkClickCount ») || 0) + 1); } } ); } }); P.when(‘A’, ‘cf’).execute(function(A) { A.declarative(‘acrStarsLink-click-metrics’, ‘click’, { « allowLinkDefault » : true }, function(event){ if(window.ue) { ue.count(« acrStarsLinkWithPopoverClickCount », (ue.count(« acrStarsLinkWithPopoverClickCount ») || 0) + 1); } }); });
Prix : 23,73 €
(à partir de Jul 19, 2025 21:08:27 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4.5/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: Bihel
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Coffret Buster Keaton
Review: Avec les comédies burlesques de Buster Keaton, le rire est assuré. Ce beau coffret de quatre chefs d’oeuvre inoubliables, me fera passer d’agréables moments. Ce sont des perles du cinéma muet.
Reviewer: Colibri
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Indispensable !!!
Review: Quatre bijoux absolus, dont le film « Sportif par amour » qui m’a fait hurler de rire dans ma jeunesse – les peu doués en sport me comprendront ! (Je cherchais ce film partout sous le titre « Campus », en fait les titres français varient, mais pas le titre anglais : College). Bref, vous qui aimez notre cher et stoïque héros, il vous faut absolument ce petit coffret, très lourd en talent, et qui vous dérouillera les zygomatiques !
Reviewer: ColtraneTyner1961
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Mécaniques burlesques pour poésie surréaliste (explosive!)
Review: LES BLU-RAY (+ DVD)Les films ont bénéficié d’une très belle restauration 4K pour cette sortie en Blu-ray.Les longs-métrages ont été débarrassés des impuretés (points noirs et blancs, griffures…) que l’on pouvait trouver sur les DVD de 2008 chez mk2.L’image, dans l’ensemble, est stable et les contrastes sont impeccables.On est sans doute très proche des films d’origine avec un grain cinématographique qui frise la perfection.Seul reproche : pourquoi mettre une photographie colorisée sur la couverture des jaquettes des Blu-ray (ou des DVD d’ailleurs) alors que le film n’est pas en couleurs. Mais c’est, hélas, le cas pour bon nombre de films en noir et blanc. Objectif : appâter le chaland cinéphile.LES FILMS1. «Sherlock Junior» – 1924 – durée : 44 minutesNote personnelle 10/10Buster Keaton est projectionniste dans une salle de cinéma. Harcelé par son patron, il n’a qu’une envie: devenir détective privé comme son modèle Sherlock Holmes. Après avoir été accusé à tort d’un vol chez sa petite amie, il s’endort pendant une projection. Le rêve qu’il fait pendant son sommeil le transporte à l’intérieur du film projeté dans la salle. Il devient «Sherlock Junior» et vit une histoire incroyable faite de dangers plus mortels les uns que les autres.Le film est d’une très grande originalité pour l’époque puisque le cinéaste utilise les artifices du cinéma pour raconter une histoire rocambolesque. Woody Allen utilisera (copiera?) les mêmes procédés pour son film « La Rose pourpre du Caire ». Les qualités cinématographiques de «Sherlock Junior» préfigurent aussi le Surréalisme et Luis Buñuel n’y sera pas insensible 5-6 ans plus tard en réalisant successivement « Un chien Andalou » et «L’Âge d’or».2. «La Croisière du Navigator» – 1924 – Durée : 1 heureNote personnelle 10/10Le Pacifique.Deux petits pays se font la guerre à travers les flots.Des hommes réunis en secret décident ainsi de saborder «The Navigator», énorme paquebot à vapeur que possède le pays ennemi. Pendant ce temps-là, Rollo Treadway (Buster Keaton), jeune héritier de la fortune familiale et parfait désœuvré, décide soudainement de se marier. Il demande la main de sa riche voisine qui l’éconduit. Le soir même, il décide quand même de partir en voyage de noces sur le «Navigator» même si ce dernier ne prend la mer que le lendemain. Un concours de circonstances fait que la jeune femme qu’il désirait épouser est aussi sur le bateau; son père, ancien propriétaire, vient juste de le vendre. Les hommes de main des agents secrets larguent les amarres en pleine nuit et le couple se retrouve seul au milieu de l’océan, dérivant au gré des courants.Le périple naval sera éprouvant.Ce film utilise le même principe narratif que «Les Lois de l’hospitalité». Le début dramatique se transforme ainsi progressivement en comédie burlesque. Ainsi l’énorme paquebot est au départ synonyme de dangers qui pourraient rappeler le drame du « Titanic ». Puis « Le Navigator » se transforme en accessoire comique, le plus imposant de la carrière de Keaton. Celui-ci en explore toutes les ressources pour imaginer un nombre impressionnant de gags délirants. Mais le plus réussi n’est pas cette accumulation de situations comiques, c’est la qualité de leurs enchaînements rendant le récit très fluide. Le montage brillant (Keaton est orfèvre en la matière) accentue Les qualités narratives. L’heure est passée à vitesse burlesque.Le dénouement du film est comme souvent chez Keaton une démonstration spectaculaire d’acrobaties, cette fois-ci sur et sous l’eau.Le cinéaste-comédien atteint encore une fois la perfection visuelle et burlesque et on peut utiliser à propos de ce film le terme de « chef-d’œuvre », son troisième en deux ans.3. «Les Fiancées en folie» – 1925 – Durée : 56 minutesNote personnelle 7,5/10 pour l’ensemble10/10 pour le premier quart d’heure et pour la scène finalePar une belle journée d’été, James Shannon (Buster Keaton) rencontre Mary Jones. Il tombe éperdument amoureux de la jeune femme mais est trop emprunté et maladroit pour lui déclarer sa flamme. L’hiver a remplacé l’automne qui a lui-même succédé à l’été, et James ne parvient toujours pas à lui dire qu’il l’aime. Au printemps venu, alors qu’il croule sous les dettes, victime d’une arnaque, un avocat apprend à l’amoureux transi qu’il va hériter. Mais pour que cet héritage de sept millions de dollars lui soit légué, il doit remplir une seule condition: être marié au plus tard le soir de son vingt-septième anniversaire avant sept heures. Et comme le hasard fait bien les choses, c’est aujourd’hui même qu’il doit fêter ses 27 ans. Il décide de se déclarer à Mary en lui demandant sa main. Vexée par ce soudain engouement, elle décline sa requête. Dépité autant par ce refus que par sa propre maladresse, James Shannon et Billy Meekin, son associé de courtage, cherchent alors à partir d’une liste la perle rare. Tandis que James erre dans les rues de la ville, Billy et l’avocat passent une petite annonce dans «The Daily News», le journal de l’après-midi. James finit par se retrouver face à des centaines de fiancées.Dès lors, une course-poursuite s’engage et le compte à rebours dramatise cette situation.Ce film de Keaton est un peu à part dans sa filmographie puisqu’il s’agit d’une commande à partir de l’adaptation d’une pièce qui se situe entre le vaudeville de situations et la farce extravagante.Ce n’est pas vraiment l’univers de Keaton qui préfère s’ancrer dans le réalisme pour mieux le pervertir par la suite.L’ensemble est d’un bon niveau malgré quelques gags sur la communauté noire. Aujourd’hui, ils peuvent paraître racistes mais ils s’inscrivent dans la perception que la société de l’époque, pleine de préjugés et au passif lourd, avait des Afro-Américains.On peut plus sûrement se délecter des gags avec l’avocat ou l’horloger.Une scène d’anthologie: Keaton poursuivi par une avalanche de rochers de toute taille (certains dépassent largement en taille notre acrobate).4. «Le Dernier round» – 1926 – Duréé : 1 heure 11Note personnelle 9,5/10Le début du film se rapproche de «La Croisière du Navigator».Alfred Butler (Buster Keaton) est un jeune homme de la ville, riche et désœuvré. Ses parents, inquiets de son oisiveté, l’envoient à la montagne pour chasser et pêcher. Mais Alfred est incorrigible puisque, toujours accompagné par son servile valet, il ne peut vivre à la dure. Un jour, les deux hommes rencontrent une jeune fille des montagnes. La femme ainsi que sa famille modeste sont un peu étonnées par leurs attitudes précieuses et ampoulées. Alfred tombe amoureux de la montagnarde et fait dire à son valet qu’il veut l’épouser. Pour impressionner favorablement la famille, le valet leur divulgue le métier d’Alfred: son maître est un boxeur professionnel; dans le journal, un homonyme, le vrai boxeur, doit combattre le lendemain pour parvenir en finale des poids légers. Englué dans le mensonge car le boxeur Alfred Battling Butler accède à la finale, l’oisif Alfred ne veut pas décevoir la belle qu’il vient d’épouser. Il fait semblant de se préparer à affronter le champion du monde. Mais une suite de quiproquos l’amène à devenir le véritable challenger du «Tueur de l’Alabama».On trouve moins de gags burlesques dans ce film mais le scénario d’une richesse incroyable compense très largement ce manque. Le spectateur pense ainsi pouvoir deviner la suite de l’histoire mais c’est sans compter sur l’imagination de Buster Keaton.La mise en scène est époustouflante d’inventions visuelles.Le montage est, comme depuis le premier film du cinéaste Keaton, d’une perfection qui rend le récit fluide, coulant de source.Le casting est impressionnant. Une mention particulière est à accorder à Snitz Edwards, comédien qui joue le valet et qui a déjà joué l’avocat dans «Les Fiancées en folie». La subtilité de son jeu permet à l’histoire d’avancer de manière claire.J’hésite à mettre 10 sur 10. Ce d’autant plus que Chaplin a emprunté et détourné à sa manière quelques gags pour son film « Les Lumières de la ville ».L’UNIVERS DE BUSTER KEATON À TRAVERS CES 4 FILMSBuster Keaton a rapidement connu son apogée artistique avec ses longs-métrages.Dès son deuxième film («Les Lois de l’hospitalité») en tant que metteur en scène, il parvient à créer un univers à la fois cohérent et absurde.Cohérent car ses histoires s’inscrivent dans le réalisme. Tout est plausible.Absurde car l’enchaînement des gags burlesques et les courses-poursuite épiques font dérailler le récit et le réel.Sa science du montage permet de lier ces deux aspects, a priori contradictoires.C’est ce qui en fait un grand poète du 7e Art.C’est un génie inventif qui est capable de s’approprier n’importe quel thème, n’importe quelle époque, n’importe quelle intrigue, et qui réussit à se renouveler, même si tous les films ont bien sûr des points communs.Une fois que l’on a regardé ces 4 films, le spectateur arrive à la conclusion que son œuvre est d’une homogénéité impressionnante mais sans redondance.Cette impression est due à la qualité de sa mise en scène qui magnifie des moyens de locomotion, des décors et des paysages très différents.Dès la première moitié des années 20, c’est un artiste complet (acteur, cinéaste, scénariste, décorateur, accessoiriste, jongleur, acrobate, cascadeur…).Mais, hélas, il sera broyé par le système hollywoodien, de plus en plus avide de rentabilité immédiate.En tout cas, le cinéma comique français ( Jacques Tati et Pierre Etaix en tête) est très largement redevable de son univers poétique et absurde.
Reviewer: EB
Rating: 4,0 sur 5 étoiles
Title: Incomplet mais suffisant
Review: pour faire connaissance avec cet étonnant comique du muet. Les enfants l’adorent et les grands ne peuvent que rester admiratifs devant l’imagination et la qualité des « gags ». Ce n’est jamais ennuyeux, souvent cocasse et toujours de bon goût. Bien de nos comiques actuels devraient en faire leur DVD de chevet !.. A voir et revoir, notamment pour les innombrables détails qui échappent à un premier regard.
Reviewer: Borrel
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: Films gâchés par une bande son indigne
Review: Excellents films massacrés par une bande son indigne qui gâche tout le plaisir du visionnage. Je ne recommande pas ces CD., contrairement à la compilation de Harold Loyd accompagné par des compositions et un orchestre à la hauteur.
Reviewer: david P
Rating: 1,0 sur 5 étoiles
Title: DVD décevant
Review: DVD plus que décevant, qualité de l’image médiocre, image floue et trouble, manque de netteté. Bande son décevante et peu convaincante.
Reviewer: Legrain
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title: Génial Buster Keaton!
Review: Excellent coffret comportant des films parmi les meilleurs de Buster Keaton
Reviewer: Movie-Friend
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: Man wird sich wohl noch in 1000 Jahren streiten, wer der bessere Komiker und Filmregisseur in dem Komödien- Genre war: Charlie Chaplin oder Buster Keaton.Fakt ist, beide schufen sie Meilensteine der Filmhistorie.Meisterwerke der Filmkunst die mehr waren, als nur reine Slapstick-Komödien.Beide hatten ein Gespür für schwere Melancholie, ja fast schmerzlicher und zugleich zärtlicher Humor, mit einem Hang großen oder weniger großen Realismus.Ihre Werke sind sehr Poetisch und von filmischer Rafinesse, die noch heute Ihresgleichen suchen.Viele Komödien habe ich gesehen, ob mit Laurel und Hardy, Louis de Funes, Jim Carry, Peter Sellers, Jerry Lewis oder Rowan Atkinsons oder von Billy Wilder (Som Like It Hot-Manche mögen’s heiß=Originelle Gangsterkomödie) und Stanley Kubrick (Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb-Dr. Seltsam oder: Wie ich lernte, die Bombe zu lieben=sehr Originelle Antikriegssatire).Was Keaton und Chaplin von den Anderen unterscheidet, sind ihre zum größten Teil, sehr anspruchsvollen Geschichten, in ihren Filmen.Fernab jeglicher Albernheiten.Buster Keaton wird in « Sherlock Jr. » des Diebstahls bezichtigt und träumt sich in einen Film hinein, nur um bei seiner Angebeteten zu sein, in dessen Geschichte er ein Detektiv ist, der den wahren Dieb überführen möchte.Aber auch in dem Traum geht alles schief.Während Buster Keaton über die Leinwand in den Film eintritt, tritt Jeff Daniels in « The Purple Rose of Cairo » aus den Film, in dem er gerade spielt, über die Leinwand in die Realität um bei seiner Angebeteten zu sein.Hier wird klar, woher Woody Allen seine Idee zu « The Purple Rose of Cairo » hatte und er gab unweigerlich zu, dass er Buster Keatons Werk so sehr liebe, das er eine Homage inszenieren wollte und das ist ihm mit « The Purple Rose of Cairo » auch durchaus gelungen.Obwohl das Kino noch sehr jung war, zur Zeit von « Sherlock, jr. », schuf Buster Keaton bereits 1924 eine Homage an das Kino und führte das Thema Film im Film hier schon ein. »Sherlock, jr. » ist der beste Beweis, wie weit Buster Keaton seiner Zeit vorraus war.Die Kameratricks verblüffen noch heute, da es zur damaligen Zeit weder Greenscreen (erstmals in King Kong 1933) gab noch Bluescreen.Es kamen leider zwei Kinokassen-Desaster auf Buster Keaton zu und somit mußte er seine eigens-gegründete Filmfirma aufgeben.Zum einen « Steamboat Bill, jr », der gegenüber « Sherlock, jr. », nicht mal die Herstellungskosten einspielte.Noch schlimmer war es mit « Der General-The General » von 1926, denn dieses Meisterwerk wollte niemand sehen.Erst in den 1950iger Jahren schrieb der Film auch schwarze Zahlen, da der Film bei den jüngeren Cineasten, mit Begeisterung aufgenommen wurde.Der Flop von 1926, beendete Buster Keatons filmische Unabhängigkeit.Heute gilt « Der General-The General » als Buster Keatons bestes Werk.Auf diesem 4-DVD oder auch als 4-Blu ray-Set, erhältlichen Medien sind « Der General-The General » und « Steamboat Bill, jr » nicht enthalten.Aber beide gibt es auch schon 2-K-restauriert auf DVDs.Folgende Filme sind auf den vier Medien enthalten:1924: Sherlock, jr. (Sherlock, Jr.)1924: Der Navigator (The Navigator)1925: Sieben Chancen (Seven Chances)1926: Der Killer von Alabama / Buster Keaton – Der Boxer (Battling Butler)Alle sind 4-K-Restauriert und Ungeschnitten.Die Inserts liegen im Original-Englisch vor, wobei die französischen Untertitel, zugeschaltet (optional) werden können.Als Extras gibt es Kurzdokus zur Restauration, Kurzfilme und Trailers.Da die Inserts pro Film nicht viele sind, kann man auch mit Hilfe des Google-Übersetzers, wer der englischen Sprache nicht Mächtig ist, ins deutsche übersetzten.Man kann auch warten und hoffen, dass auch in Deutschland diese tolle Box, mit deutschen Untertiteln erscheint.Fazit: Würdevolle Box des Filmgenies Buster Keaton und Unverzichtbar für alle Cineasten!
Reviewer: Victor Sandoval
Rating: 5,0 sur 5 étoiles
Title:
Review: El cine mudo es parte de la historia del mundo

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📅 Date de mise à jour : Jul 19, 2025 21:08:27 UTC

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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