Bubu de Montparnasse – Artia13 est rémunéré par notre partenaire Amazon

16/06/2025 Cédric 9 Views

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Nouveau master restauré
Aspect Ratio ‏ : ‎ 16:9 – 1.85:1
Is discontinued by manufacturer ‏ : ‎ No
Rated ‏ : ‎ Universal
Product Dimensions ‏ : ‎ 13.6 x 1.3 x 19.1 cm; 76 g
Director ‏ : ‎ Mauro Bolognini
Media Format ‏ : ‎ PAL
Run time ‏ : ‎ 1 hour and 37 minutes
Release date ‏ : ‎ 7 July 2010
Actors ‏ : ‎ Massimo Ranieri, Ottavia Piccolo, Antonio Falsi, Gigi Proietti, Anna Fadda
Dubbed: ‏ : ‎ Italian
Subtitles: ‏ : ‎ French
Language ‏ : ‎ Italian (Dolby Digital 2.0 Mono)
Studio ‏ : ‎ Arcadès
ASIN ‏ : ‎ B003G5MU6I
Country of origin ‏ : ‎ France
Number of discs ‏ : ‎ 1
Prix : ~~€10.60~~ - €13.05
(à partir de Jun 16, 2025 06:53:28 UTC – Details)

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Les acheteurs donnent la note de 4/5 à cet article

Avis sur le films
Reviewer: Shan
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: La prostitution, la maladie, la misere.
Review: Bolognini realise un film tres beau esthetiquement, et tres sombre, la prostitition au debut du 20eme siecle est montrée à travers son heroine Berta que Bubu ancien ouvrier boulanger qui refuse de retravailler oblige à se prostituer. Berta rencontrera un jeune etudiant aux idées genereuses, elle tombera malade victime de la syphilis, Bubu en prison apres un vol, Piero le jeune etudiant devient son seul espoir. Bolognini reussit un film de grande qualité au ton tres sombre, il montre la maladie, la misere et la mort qui peut-etre au bout du chemin pour ces femmes prostituées, Ottavia Piccolo qui joue Berta est tres attachante, elle donne sensibilité et profondeur à son personnage, admirablement filmé par un grand esthete, Bubu de Montparnasse est une oeuvre forte du cineaste.
Reviewer: Oliver f75
Rating: 4.0 out of 5 stars
Title: On n’échappe pas à son destin
Review: Ce film en costume de Mauro Bolognini traite de la misère et de la prostitution au début du XXième siècle. Il est dans la lignée de la Viaccia, précédemment réalisé par Bolognini en noir et blanc, avec Claudia Cardinale. Bubu est plus abouti que la Viaccia. La couleur donne aux splendides costume 1900 des allures de tableaux de Renoir, dans le style ‘déjeuner des canotiers’. Comme dans la Viaccia, le personnage principal joué ici par Ottavia Piccolo, n’échappe pas à ce qu’il croit être son destin : prostitution, misère, maladie, abandon des siens.Le film a été tourné en milieu naturel, à Milan, Rome et Turin et non à Paris où se déroule le roman éponyme ‘Bubu de Montparnasse’, paru en 1905.
Reviewer: jpar
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: Merveilleux….
Review: film, des images et une histoire
Reviewer: Paul Gascimeri
Rating: 3.0 out of 5 stars
Title: académique
Review: Plaisir des yeux : la photo est belle, les costumes pas mal, les décors (à l’économie) réussis, même si les affiches publicitaires murales sont un peu envahissantes. Pas mal filmé malgré un ou deux raccords hasardeux (sous les arcades), un plan flou (le long du fleuve) et un éclairage raté (à la descente du tram). Bolognini adapte sagement un roman 1900 de Charles-Louis Philippe, conservant l’époque mais transplantant l’action de Montparnasse à une Italie du Nord brumeuse et hivernale (Turin et Milan, essentiellement). Si l’auteur était italien, on le qualifierait de vériste. Le résultat sur pellicule et grand écran est joli mais vite ennuyeux, l’aspect politique anarchisant du roman (schématiquement, prostitution = exploitation capitaliste de la femme par l’homme, les bourgeois sont tous des cochons) passant au second plan et l’intrigue amoureuse (ménage à trois) au premier…Le réalisateur retrouve le couple de Metello (1970) : Massimo Ranieri et, surtout, Ottavia Piccolo avec ses vingt-et-un ans et sa joliesse singulière. Visage triangulaire, yeux noisette, chevelure rousse, peau laiteuse et « poitrine petite mais élégante »pour citer I.Sathicq. Elle interprète ici la victime par excellence, l’amour profane, l’amour vaincu–gagneuse d’un boulanger, fatigué de naissance, qui la met dans le pétrin et sur le trottoir. Victime aussi du fléau de ces années, la syphilis qui, avec l’absinthe, fit des ravages. La Piccolo se met d’ailleurs à picoler, cul sec, telle la Marizibill d’Apollinaire (… »Puis buvait lasse des trottoirs / lTrès tard dans les brasseries borgnes »). C’est alors un peu « qui a bubu, boiboira »…Jean Gili (bonus) pousse le bouchon un peu loin en comparant la syphilis au sida, faisant presque du réal un visionnaire autant qu’un moraliste. Ce qui est sûr, c’est que la maladie hante la littérature fin de siècle, chez Zola (« Nana ») comme chez Schnitzler, un peu plus tard. Il suffit de lire de près sa pièce « La ronde » qui fit scandale à Vienne, écrite par un écrivain qui était aussi médecin. L’adaptation (par ailleurs magnifique) au cinéma par Max Ophüls (1950) atténue beaucoup le propos, par peur de la censure.A ce « Bubù » nous continuerons donc de préfèrer les prostituées de « La Viaccia » du même Bolognini (« Les mauvais chemins ») dix ans plus tôt (1961), autour de Claudia Cardinale et de JP Belmondo.NB : la chanson du générique début est l’adaptation par Léo Ferré d’un beau poème de Verlaine dans « Sagesse »(« Ecoutez la chanson bien douce / Qui ne pleure que pour vous plaire / Elle est discrète, elle est légère : un frisson d’eau sur de la mousse ». Et ça, c’est très beau.
Reviewer: Patricia
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title: MASSIMO RANIERI
Review: Par amour et admiration pour et avant tout de Massimo Ranieri…magnifique comme dans Mettello et tant d’autres…un visage d’ange..merci.
Reviewer: DIDEROT
Rating: 5.0 out of 5 stars
Title:
Review: Era da tempo che desideravo rivedere questo film,anche se datato,conserva sempre lo stesso fascino.L’argomento poi non è affatto fuori tempo.